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Page:Noailles - L’honneur de souffrir, 1927.djvu/134

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L’HONNEUR DE SOUFFRIR

LXXXVII


Puisque tu veux laisser survivre
À son extravagant plaisir
Ce sein que ta chaleur enivre,
Je songe à l’horreur des loisirs,

À l’ennui qui se substitue
Aux instants pleins d’éternité.
Faut-il qu’aucun destin ne tue
Le corps par l’autre corps quitté !