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Page:Noailles - L’honneur de souffrir, 1927.djvu/176

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L’HONNEUR DE SOUFFRIR


Je vois l’immense espace et mon vœu ne s’abîme
Qu’en l’exigu séjour où dort ton front timide,
Tant mon pensif esprit, inverse pyramide,
Va de l’ample univers à ta retraite infime !