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Page:Noailles - L’honneur de souffrir, 1927.djvu/178

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L’HONNEUR DE SOUFFRIR


Nous étions scrupuleux et pourtant sans remords.
Ma vie, à tout instant, de vos yeux renaissait.
Vous étiez ma candeur, mon pouvoir, mes essais,
Et nul ne me connaît puisque vous êtes morts…


Novembre 1923-Février 1927.