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Page:Noailles - L’honneur de souffrir, 1927.djvu/34

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L’HONNEUR DE SOUFFRIR

Qui soutient, bouleverse et résorbe les corps.
N’ayant plus de souhaits, être toujours instable.
Avec aucun humain ne rechercher d’accord.
— Ô toi dont je n’ai pas suivi la sombre pente,
Voilà ce que ta mort accorde à ta vivante !