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Page:Noailles - La Nouvelle Espérance, 1903.djvu/260

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Il pressa le jeune homme contre lui, de ce geste subit, adroit et emporté qu’il avait, et qui prenait tout l’être dans l’étreinte ; d’une voix basse et douce, la bouche collée au cou de son fils, il lui disait maintenant :

— Mon petit, mon petit, ne demande rien… Va-t’en !…