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Page:Noailles - La Nouvelle Espérance, 1903.djvu/28

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Sabine lui savait gré d’aimer les livres, non pas comme elle les aimait, elle, d’une manière impatiente et destructive, mais de s’intéresser à en acquérir et à en réunir les plus rares.

Enfin, l’accueil que lui fit Marie de Fontenay acheva d’incliner mademoiselle de Rozée à ce mariage, où elle abandonnait une âme lasse et combattue…