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Page:Noailles - Poème de l’amour, 1924.djvu/171

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CXXXVII


Je n’aime pas que tu me plaises,
Que ton image permanente
Me tente, me trouble, me hante ;
Ah ! connaître encor d’autres aises !
Échapper, adroite hirondelle,
À ton enjôleuse faiblesse !

C’est par ta grâce qui me blesse
Que je pourrais t’être infidèle…