Page:Noailles - Poème de l’amour, 1924.djvu/74

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Ou le bonheur plus grand encore
De dépasser ce brusque émoi,
— Quand les jours chauds, brillants, sonores
Prendront ton parti contre moi,

Que ferai-je de mon courage
À goûter cette heureuse mort
Qu’au chaud velours de ton visage
J’aborde, je bois et je mords ?…