a rapport à la bibliographie. (Bi-bli-o-grafic-e. ) BIBLIOMANE, s. m. Celui qui a la manie des livres. BIBLIOMANIE. s. f. (Bibtion, mania, gr.) Manie d’avoir des livres» BIBLIOPHILE, s. m. {Billion, philos, gr.) Celui qui recherche les livres rares et précieux, les éditions bonnes et correctes. (Bibli-o-fi-le. ) BIBLIOTHÉCAIRE, s. m. (Bibiiotkecarius. ) Celui qui est préposé au soin d’une bibliothèque. (Bi-bli-o-tec-ère.) BIBLIOTHÈQUE, s. f. (Bibliotkeca.) Lieu où l’on tient un grand nombre de livres rangés en ordre. | Les livres mêmes qui sont contenus dans une bibliothèque. | L’assemblage méthodique d’une certaine quantité de livres. | Fig., Recueil, extrait, catalogue raisonné d’ouvrages. (Bi-bli-o-tèc-e.) BIBLIQUE, adj. des a g. Qui appartient à la Bible. (Bi-blic-e.) BIBUS, S’emploie avec De pour designer Une chose qui mérite peu d’attention. Fam, BICEPS, s. m. T. lat. Muscle dont la partie supérieure est divisée en deux. (Bi-sëps.) BICHE, s. f. {Buccus.) La femelle du cerf. | Pied-de~biche, Instrument de dentiste. — Objet dont l’extrémité ressemble au pied d’une biche, i BICHET, s. m. {Buccus.) Ancienne mesure de capacité pour les grains , contenant en blé-froment environ vingt-deux livres, (Bi-chë.) BICHON, ONNE. s. Petit chien, qui a le nez court, et le poil long, ondoyant, (-o-ne.) BICHONNER, v. a. Boucler la chevelure, attifer, pomponner. Fam. (Bi-cho-rié.) BICOQUE, s. f. {Ficus.) Petite ville de peu d’importance et de peu de défense. | Fam., Très-petite maison. (Bi-coc-e.) BIDET, s. m. Petit cheval. | Petit cheval qui n’est point destiné à être attelé à la voiture. | Meuble de garde-robe, dans lequel est renfermée une cuvette longue. (Bi-dë.) BIDON, s. m. Broc de bois qui contient environ cinq pintes. [Vase de fer-blanc propre à contenir un liquide, à l’usage des hommes de troupe. BIEF, s. m. r. Biez. BIEN. s. m. (Benè.) Ce qui est utile, avantageux, agréable. | Les biens du corps , La santé, la force, Les biens de l’esprit, Le* talents. | Les biens de tdme, Les vertus, | Les biens terrestres Les biens de ce monde. | Biens étemels , La béatitude éternelle. | Le bien public , L’avantage de tous. | Dire du bien, Parler avantageusement, | Ce qui est juste, honnête, louable. | Ce qu’on possède en argent, en fonds de terre. ,| Àbsol., Bien de campagne, propriété rurale. | Fam. , Avoir du bien au soleil , Avoir dus biens* fonds, des maisons. | Adv., Marque Un degré de perfection } un état heureux, BEE agréable, avantageux, convenable. | Impers., // est bien, Il est juste, il est convenable, il est bienséant. ! Absol., Bien, Marque Adhésion, approbation ; — Exprime Qu’on a compris un avis, une explication, ou qu’on ne veut pas continuer l’entretien sur l’objet dont il s’agit, | Beaucoup, fort, très. [ Formellement , expressément. | À peu près , environ, | Par redondance , donne plus de force à ce qu’on dit. | Hé bien, Marque exhortation ou interrogation. | Bel et biew, Bieit que. loc. Si BIEIT QUE. loc. bieji et heau. V, Beau. conj. Encore que, quoique. conj. Tellement que, de sorte que, (Biin.) BIEN-AIMÉ , ÉE. adj. et subst. Qui est aimé de préférence à tout autre. (Biin-nèmé. ) BIEN-DIRE. s. m. Fam. Se mettre sur son bien-dire, Affecter de bien parler. Hors de là , il s’écrit sans trait d’union. Le bien faire vaut mieux que le bien dire. BIEN-DISANT, ANTE. adj. Qui parle bien et avec facilité. ( di-zan. ) BIEN-ÊTRE. s. m. Ce qui contribue à une existence agréable ; Cette existence même. | Situation agréable du corps et de l’esprit. (Biin-nê-tre.) BIENFAISANCE, s. f. Inclination à faire du bien aux pauvres ; pratique des bienfaits. ( Biin-fè-zan-se ; fam. , Biin-fe-zan-ce. ) BIENFAISANT, ANTE. adj. Qui aime à faire du bien aux autres , et qui en fait. | Salutaire. ( Biin-fë-zan. ) BIENFAIT, s. m, ( Benefactum. ) Bien qu’on fait ; service, grâce, faveur. (Biin-fè.) BIENFAITEUR, TRICE. (Bene/actor/) Celui, celle qui a fait qq. bien. ( Biinfë-teur ; tri-se.) BIEN-FONDS, s. m. Biens immeubles. ( Biin-fon. ) BIENHEUREUX, EUSE. adj, et subst. Fort heureux. | Qui jouit de la béatitude éternelle. ] Ceux que l’Église reconnaît et déclare avoir été admis à jouir de la béatitude éternelle. ( Biin-neu-reu ; ze. ) BIENNAL, ALE.^adj. (Biennalis.) Qui dure deux ans. ( Bi-ën-nal, ) BIENSÉANCE, s. f. Convenance, rapport de ce qui se dit ou se fait, avec ce qui est dû aux personnes, à l’âge , et avec les. usages reçus , etc. ( Biin-sé-an-se. ) BIENSEANT , ANTE. adj. ( Bcnè , sedens. ) Qu’il sied bien de faire, de dire, etc. (^Biin-sé-an. ) BIEN-TENANT, ANTE. s. Celui, celle qui possède les biens d’une succession, ou des biens grevés d’hypothèques. (Biiu-te-nau.) BIENTOT, adv. Dans peu de temps , incessamment. (Biin-tô. ) BIENVEILLANCE, s. f. ( Bcnevolentia. } Affection, disposition favorable envers qqn. ( Biin-vë-llan-se [II m,]. ) „ BIENVEILLANT , ANTE. adj, ( Benevo-
