de beaux-arts. | Se dit absol. De .1 ! Académie française* | Académie royale de musique , Le théâtre deM’Qpéra’ à Paris, j, Lieu où les jeunes gens apprennent l’équi talion, et d ’autres exercices du corps. | Divisions de l’université tie France , dont chacune est dirigée par un recteur. ] Université.] Figure isolée et entière ,, qui est peinte ou dessinée diaprés un modèle nu/ ’ J V 1 ■ ’ ACADÉMIQUE. *adj. des a g. (Académie eus.) .Qui appartient ou ; qui convient à des académiciens. (A-ca -dé- mic-e.) ’ ACADÉJVllQUEMENT.ady. D’une manière académique. (A-ca-dé-mic-e-man.) ACADÉMISTE, s. m. Celui qui, dans une académie,. apprend ses exercices. [Celui qui tient une académie. ! ( ’"■’»■ ACAGN ARDER. v. a. Accoutumer quelque ?
à mener une vie fainéante. ( A-canar-dé
[n. m.].) ’ 4 " ; ACAJOU, s. m. Arbre d’Amérique, dont te bois est- blanc , et qui porte une noixen forme de rein, contenant une amande emulsive et savoureuse. | Sorte de bois rougeâtre, qu’on emploie dans Tébériisterie , etc., et qui est fourni par un arbre l de l’Amérique méridionale, ,• ACANTHE, s. f. (Achanthus.) Plante à fleur ’labiée , dont l’espèce commune est vulgairement nommée Branche-ursirie. | Or T nement d’architecture imité de la feuille d’acanthe. (A-ca n-te.) ACARIÂTRE, adj. des a g. Qui est d’une humeur fâcheuse et criarde. ’ . ’ ' * ACATALEPSIE. s. f. (Acatalepsia^gr.) Doctrine de qq. philosophes anciens , qui n’admettaient aucune certitude dans les con- ? naissances humaines. - *’ ACATALEPTIQUE. adj. des a g. (AcataUptoS ) gr.) Se dit Des partisans de la doctrine philosophique appelée Acatalepsie , et De cette doctrine même ; (A-ca-ta-lëp-tic-e.) ACAULE. adj. (Akaulos ; gr.) Se dit Des plantes dont la tige est tellement courte ou • rabougrie qu’elles semblent en être dépourvues.
- (A-cô-Ie.)
ACCABLANT ; ANTE. adj. Qui accable, ou qui peut accabler. | Importun, incommode. ( A-ca-blan. ) -’ ACCABLEMENT, s. m. État d’une personne accablée par la maladie oii par l’af-’fliction. (A-ca-ble-inan.) . " : * -^ ACCABLER, v. a. Faire succomber soiw
- le poids. (A-ca-bléi) • - ■ -•
- ACCAPAREMENT, s. m. Action d’acca-
•parer, ou Le résultat de cette action. (A-capa-re-man. ) JJ ’ ' ACCAPARER, v. a. Acheter une quan-’ tité considérable d’une denrée , pour là rendre plus chère en la rendant pliis rare. |-Fig. et fam. , Accaparer tes suffrages t Se Ie$ assurer. ( A-ca-pa-ré. ) *■ :,... ACCAPAREUR , EUSE. s. Celui , celle qui accapare. ( A-ca-pa-reur ; ze.) ACC t ACCÉDER, v. n. (Aceedere.) Entrer dans les engagements contractés déjà par d’autres. ] Accéder à une proposition^ Y adhérer. (Acsé-dé. ) . ACCÉLÉRATEUR, TRÎCE. adj. Qui accélère. (Ac-sé-lé-ra-teur ; tri-se.) * t ACCÉLÉRATION, s. f. ( Acceleratto. ) Augmentation" de vitesse. ( Ac-sé-lé-ra-sion. ) ACCÉLÉRER, v. a. ’( Acceterare. ) Augmenter la vitesse.) (Ac-sé-lé-ré.) *
- ACCENSES : s. m. pi. (Accensus.) T.
d’antiq.. Officiers publics à Rome qui avertissaient le peuple de s’assembler, marchaient devant, le* consul lorsqu’il^ n’avait .point- de faisceaux, etc. (Ac-sân-se.) ACCENT, s. m, (Accentus.) T. de grain. Élévation ou abaissement de la voix sur cernai nés syllabes* ; modification de la voix dans le ton des syllabes et des mots. |Se dit Du langage même. Les accents de la douleur. "| Petite marque qui se met sur une voyelle , soit pour indiquer l’accent tonique, s’oit pour distinguer le sens d’un mot d’avec celui d’un autre mot qui s’écrit de même. (Ac-san.) . * ’ ACCENTUATION, s. f. Manière d’accentuer. (Ac-san-tu-a-sion.) ACCENTUER, v. a. Marquer -d’un de* cent. // ne sait pas accentuer, j Prononcer suivant les véri taules règles dé l’accent tonique ; ou Augmenter lés tons de la voix, pour donner plus de force à son langage. (Ac-san-tu-é.) • • -* ( /ACCEPTABLE, adj. des a g. (Acceptabilis. ) Qui peut être accepté. ( Ac-sëp-ta-ble.) ACCEPTATION, s. f. Action par laquelle on reçoit volontairement ce qui est proposé. (Ac-sëp-ta-sion.) * ACCEPTER, v. a ; ( A ccep taré.) -Agréer ^ce qui est offert. 1 S’emploie aussi absol. (Acsep-te. ) * * ACCEPTEUR^ s. m. (Accepter.) T. de banque. Celui qui accepte. (Ac-sëp-teur.) ACCEPTION, s. f.’lAcceptlo.) Égard, préférence. | En termes de grammaire, sens dans lequel un mot se prend. (Acrsëp-sion.) ACCES, s/ m. (Accessus.) Abord. Place de facile, accès ,’ de difficile accès. Sè ait De ce qui se pratique au conclave", lorsque, dans le scrutin aucun cardinal n’ayant eu le nombre de voix 1 requises pour ’/être elugpape, on fait un ballottage entre ceux -qui ont été proposés au scrutin. J En médecine, Certains phénomènes morbides qui se montrent à des intervalles ordinairement réguliers. | Au sens moral , Mouvement intérieur et* passager en conséquence duquel on agit. (Ac-sè.) - ACCESSIBLE, adj. des a g. Dont on : peût approcher. Se dit Des lieux et des personnes. (Ac-së-si-ble.) - .rj* ■ ACCESSlbN. Si f. (Accessio.) Consentement par lequel une puissance entre dans un engagement déjà contracté par ’d'autres. l’Action par laquelle on adhère à . ni* ■ acte ,
