Page:Nodier - Inès de Las Sierras, 1837.djvu/189

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pour laquelle les trois damnés n’ont pas paru comme à l’ordinaire, c’est une question plus difficile, mais à laquelle je ne prends d’autre intérêt que celui de la charité chrétienne. Elle concerne plus particulièrement, selon toute apparence, ceux qui les ont représentés.

— Alors, dit Boutraix, que Dieu veuille prendre pitié de nous !

— Étrange mystère, m’écriai-je en frappant la table du poing, car je m’étais rendu à ces raisons. — Qu’est-ce donc, je vous le demande, que nous avons vu tout à l’heure ?…