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veur particulière de son tempérament, il n’était jamais tombé dans cet état grossier qui rapproche l’homme de la brute ; mais il faut convenir qu’il s’endormait à propos.
La vie intellectuelle se réduisait, pour Boutraix, à un très petit nombre d’idées sur lesquelles il s’était fait des principes invariables, ou qu’il était parvenu à exprimer par des formules absolues, fort commodes pour le dispenser de discuter. La difficulté de prouver quelque chose par une suite de bons raisonnements l’avait déterminé à tout nier. À toutes les inductions tirées