Page:Nodier - Thérèse Aubert, 1896.djvu/70

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C’était quelquefois le transport d’une gaieté si franche et si ingénue, l’expression du bonheur facile d’un enfant content de peu de chose ; c’était plus souvent je ne sais quelle tristesse indéterminée qui ne semblait pas se nourrir d’un objet réel et qui s’égarait dans des pensées étrangères