Page:Normand - À tire-d’aile, 1878.djvu/119

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


Elle se penche… Furieuse,
La vague de son flot amer
Vient baiser sa bouche rieuse :
Que je voudrais être la mer !

Et cependant par gouttelettes,
Doucement, en petit ruisseau,
L’eau glisse sous sa collerette :
Ah ! que ne suis-je goutte d’eau !