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Page:Normand - À tire-d’aile, 1878.djvu/154

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XI

SOUHAIT.


J. MASSENET


Si vous étiez fleur, ô ma bien-aimée !

La fleur parfumée
Au corselet vert,

Je serais zéphyr, et viendrais, fidèle,

Vous frôler de l’aile
En glissant dans l’air.


Si quelque beau soir vous étiez l’étoile

Qui brille sans voile
Dans les cieux discrets,