Page:Normand - À tire-d’aile, 1878.djvu/174

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Lorsque sur votre émail voltige une pensée
Pour un monde banal elle n’est point tracée,
Et du premier venu peut braver l'œil moqueur :

Car votre éclat discret est si faible et si tendre
Qu’il faut pour le saisir et surtout le comprendre,
Sans s’arrêter aux yeux, descendre jusqu’au cœur.