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Page:Normand - À tire-d’aile, 1878.djvu/231

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VIII

LA VEUVE.


À ABRAHAM DREYFUS


I


Sur sa figure pâle et sur son front pensif,

Qu’auréole le flot massif
De ses lourdes tresses dorées,

On lit de fins sillons tracés par le malheur :

Si, du visage, on pénétrait au cœur,

On y découvrirait des douleurs ignorées.