Page:Normand - Le Laurier sanglant, 1916.djvu/232

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Des fleurs à ce rustique, à ce simple, à cet homme
Que la douleur torture et que la fièvre assomme…
Peut-il goûter leur grâce et leur charme si doux ?

Je lui demande, hier : « Tu les trouves jolies ?… »
Il me répond, du bout de ses lèvres pâlies :
« C’est surtout qu’ça m’rappell’ notre jardin d’ chez nous ! »