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Page:Normand - Le Laurier sanglant, 1916.djvu/234

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À l’ambulance, autour de lui, chacun s’empresse…
Un officier accourt, lui parle avec tendresse,
Le serre dans ses bras : « Mon enfant !… Mon ami !… »

Et lui, très simplement : « Merci, mon capitaine…
» Mais je me souviendrai, quand j’aurai trop de peine,
» Que mon dernier regard a vu fuir l’ennemi ! »