Page:Normand - Paravents et Tréteaux, 1882.djvu/228

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LE MARI.

N’importe ! Je veux m’en instruire !
Dis, sans mentir d’un demi-mot !

LA FEMME.

Je le dirai, puisqu’il le faut.
Vos parents… leur audace est haute
Disent…

LE MARI.

Disent…Quoi ?

LA FEMME.

Disent… Quoi ?Ce n’est pas leur faute…

LE MARI.

Mais qu’est-ce donc, par saint André ?

LA FEMME.

Les prendrez-vous à mauvais gré ?