Page:Normand - Paravents et Tréteaux, 1882.djvu/245

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LE MARI.

Mon honneur ? Morbleu ! J’en ai plus
Que vous et que tout le surplus
De mon lignage et de ma race !

DEUXIÈME NEVEU.

C’est raison, mais…

LE MARI, furieux.

C’est raison, mais…Videz la place,
Car ma maison vaut mieux que vous !

PREMIER NEVEU, s’en allant.

Mon oncle, adieu ! Pardonnez-nous !

DEUXIÈME NEVEU, de même.

De cela, jamais de la vie
De vous parler n’aurons envie.