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du Libertinage.
d’habiter. Elle en connut bientôt toute l’horreur. On lui coupa d’abord ſes beaux cheveux qu’elle chériſſoit tant ; on lui raſa la tête. Elle fut obligée de ſe vétir d’un habit de Sœur-Griſe, de porter une grande coîffe qui lui tomboit ſur les yeux. On la força de travailler de ſes mains délicates à des ouvrages rudes & groſſiers.
La malheureuſe Lucette gémit ſur ſes fautes ; elle ſe repent d’une vie paſſée dans les plaiſirs ; elle éprouve à quoi nous conduiſent ſouvent les progrès du libertinage.
FIN.