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Construction du crois-

5ant( !, 2. Centres).

D’argent au

croissant montant

de sinople.

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anciennes, soit partout à la fois (formation simultanée), s(Mt à uu niveau dôtoriuinô (formation successive, avec ses variétt^s basifupe, basipède et mixte). La croissance d’un or^’ano cylindrique (tipe par exemple) peut être inégale suivant SOS diverses f^^énôratricos, d’oii la mttation et la circumnutation ; si ellu est plus jurande à la surface que suivant l’axe, il y a torsion. Dans un organo dorsiveniral, elle peut Hyo inéfir^ilo sur les deux faces dorsale et vuutralo, d’où Vépmastie et Vhyponastie. La croissance est soumise à l’iiiUuonce do la pesanteur, qui l’augmonlo ou la diminue {(/l’anxisme, accélérateur ou retardateur) de maiiii>re à imprimer aux organes diverses courbures {géotropisme), et à celle de la radiation {actinaiLxisme, avec Vactinotropis/ne qui en est la consé(|uenco) ; on a détermine spécialement l’intîuence des radiations caloritiquos (^thermauxismc et thermotropisme) et des radiations lummeusos {p/iotauxisme et phototropisme ou héliotropisme ) : uno lumière d’intensité moyenne a généralement un ctTot retardateur sur la croissance. CROISSANT {kro-a~san — subst. participial de croît7-e) B. m . Astron. Temps qui s’écoule de la nouvelle à la pleine lune, et pendant lequel la partie éclairée, visible pour nous, croît d’une manière continue ; La lune est à S071 CROISSANT. I l

Forme appa-

rente de la lune, lorsqu’elle nous présente moins de la moitié do son hémisphère éclairé : Le croissant de la lu7ie. il Chacun des jours d’une lunaison.

Objet avant la forme du crois-

sant de la tune ; Le croiss.

t est

formé par detix arcs gui se coupent et qui ont leur concavité tournée du même côté.

Par plaisant. Cornes dont on est convenu d’affubler les époux trahis : Porter le croissant, il Loger au croissant. Appartenir à la classe des maris trompés. {A Paris, on dit, dans le même sens, Habiter la rue au Croissant )

Hist. Armes et étendard de l’empire turc, parce qu’ils sont décorés d’un croissant : Arborer le croissant, il Empire turc : Le CROISSANT a vaincu, a été vaincu.

— Art vét. Tumeur en forme de croissant, qui se produit sur la sole, et qui est causée par la fourbure chronique.

Blas. Pièce héraldique figurant sur les écus, seule ou en nombre, et représentée le plus souvent horizontalement, la convexité regardant la pointe de l’écu {croissant 7ïîovtant). Quand le croissant tourne cette convexité vers le chef, il est dit versé ou renversé ; quand il tourne ses pointes vers le côté sénestre, il est dit contourné ; quand il les tourne vers le côté dextre, il est dit tourné

Corara. Papier dont le filigrane porte trois croissants.

Ichtyol. Nom donné à un poisson du genre labre et à un autre du genre tétrodon.

Mar. Massif de bois dur établi à l’arrière des affûts, et servantau pointage des canons, ii Sorte de grosse tringle courbée en demi-cercle, qui supporte la mâchoire du gui en arrière du mât d’artimon, ii Chacune des diverses tnngles destinées à détourner les eaux le long du bord, au-dessus de chaque sabord, n Nom donné à diverses autres tringles courbées, il Arc de cercle décrit par la barre du gouvernail. I l Disposition ancienne des flottes de guerre en vue du combat : Ordre en croissant.

Mus. Chacun des enfoncements semi-circulaires sur les côtés de la table d’harmonie d’un instrument à cordes.

Techn. Pièce de métal poli, analogue à un crochet, placée horizontalement en dedans des jamoages des cheminées pour maintenir les pincettes et la pelle, il Evidement dans une platine de serrure ou de verrou, ii Outil dont les forgerons se servent pour parer les congés des pièces cylindriques, ii Petit pain dont la forme est celle d’un croissant, il Instrument à fer recourbé et tranchant, placé au bout d’un long manche, et qui sert à élaguer les arbres.

~-

Encvcl. Archéol. Les anciens ornaient d’un croissant le front d’Astarté ou Vénus, et de Diane ou Artémis. Le croissant était le symbole de la ville de Byzance, et, quand les Turcs s’en emparèrent, ils le conservèrent comme emblème do leur empire. Le croissant des Turcs ornant leurs étendards, surmontant leurs minarets et leurs mosquées, fut ainsi opposé à la croix des chrétiens. Le croissant est demeuré, jusqu’à nos jours,

!o signe distinctif do l’empire ottoman. Le croissant anpa 

raît très fréquemment, dès le moyen âge, dans les omolômes ; c’est ainsi qu’au xvi’ siècle il ligure sur les livrées et les armes do Henri II, qui le porte en l’honneur do Diane do Poitiers, ot il est pris en môme temps par Catherine de Médicis. A cotte mémo époque, lo croissant est assez commun parmi les marques dos forgeurs d’épéos, à Solingen, comme à Mdan ot à Tolède, ot on le trouve, encore aujourd’hui sur des lamos orientales, aranes ot indiennes. Dans les ostensoirs on lanterne du moyen âge était monté un croissant d’or ou d’argent, sur lequel reposait l’hostie consacrée. Cette disposition resta en usago Jusqu’au XVI» siècle, mais alors on prit 1 habitude d’exposer l’hostie entre doux lamos do cristal.

On appelait autrefois « croissants >• les

crochets do métal servant à retenir, ù. relever les rideaux et portières, et, sous Louis XV, accessoires employés dans la coiffure des femmes,

Ordre» du Croissant. Le plus ancien dos ordres do chevahîrio qi’i aient porté ce nom fut fondé en 1208, à Messine, par Charles d’Anjou, frèro de saint Louis, en mtSmoiro de la victoire qu’il venait do romjiorter ù Tagliacozzo sur Conradin, son compétiteur au royaume de Nupics. L’insigne était un croissant d’or, qui ornait lo collier, Croliaant turc.

,

dos

et était entouré de la devise Voncc impleat orhem. Cet ordre eut une très courte existence. Un autre ordre du Croissant fut fondé on 1448, à Angers, par Ronô d’Anjou, roi do Naplos. Il avait également pour insigne un croissant annexé au collier, et sur lequel ligurait lo premier mot do la devise de l’ordre : Loz en croissant, ce qui signifiait quo tous les « nobles cuours " (les chevaliers) devaient de jour on jour « croistre et augmenter leur bien faire, tant en courtoisie ot débonnaireté quo en vaillance et glorieux faicts d’armes ». Cet ordre disparut avec la maison d’Anjou. V. couronnes (planche en noir). Signalons aussi un ordre du Navire d’Outremer ou au Douhle-Croissant, qui aurait été fondé par saint Louis au moment do son départ pour la croisade do Tunis. V. Navihk (ordre du).

Entin. il a existé en Turquie une décoration connue sous le nom de Croissant, et que l’on regardait comme un ordre. Fondé, en 1799, parSélim III, il fut, en 1831, supprimé par Mahmoud II, qui le remplaça par le Nicham Iftikhar. L’amiral anglais Nelson tut le premier chevalier de cet ordre. L’insigne consistait en un médaillon, au centre duquel se voyait le chiffre du padischah, entouré d’une garniture de diamants.

CROISSANT (kro-a -san), ANTE adj. Qui croît, qui s’augraoïito : Force , Fortune croissante.

Mar. Echelle de latitude croissante. Echelle au moyen de laquelle on évalue les vraies distances, qui se trouvent défigurées par la projection de Mercator usitée dans les cartes marines.

Mathéra. Fonction croissante.

V. maximum.

CROISSANTE, ÉE(^-ro<2-san) adj. Blas. Se dit de l’écu chargé de croissants. {On dit plus généralement semé de CROISSANTS.)

De gueules crois-

santé d’argent.

CROISSEL {kro-a-sèV — du bas lat. crucibulum, même sens) n. m . Lampe en usage au moyen âge, et dont le vaisseau, do terre ou do cuivre, était souvent façonné à quatre lobes, de ma-

nière àrappeler la forme d’une

croix. (Dans les croissels affectant cette dernière disposition, chacun des lobes se relevait en bec et pouvait supporter une

mèche, tandis que la région

du milieu s’élevait en lanter-

non surmonté d’un crochet ser-

vant à suspendre le croissel.)

CROISSEMENT(ATo-a -sma«)

n. m . Action de croître.

GrOISSY- SUR- SEINE,

comm. de Seine-et-Oise, arr.

et à 16 kilom. de Versailles, sur la Seine ; 1.990 hab. Asile do convalescence pour les femmes ; machine élévatoire pour les eaux. Eglise du xiii* siècle ; château du xviii". GrOISSY (Charles Colbert, marquis de). V . Colbert. CROISURE n. f . Techn. Tissure d’étoffe croisée qui s’appelle serge, tandis que, dans lo drap, la tissure s’ap-Itclle ^^ure. ii Opération du tirage des cocons, qui consiste à croiser deu.x brins de soie, ou quelquefois à replier un seul brin sur lui-même, il Opération qui consiste à croiser, avant d’arriver au dévidoir, tous les brins dont se compose un fil de soie, afin de les faire adhérer ensemble, de les arrondir, les sécher et les empêcher ainsi de se coller sur les extrémités des ailes de l’asple. n La plus large des lovées de terre ou le plus large des chemins qui coupent un marais salant.

Blas. Point d’intersection dos deux lignes qui coupent un écu en quartiers.

Littér. Disposition des vers par rimes croisées, n Disposition des vers de mesures différentes employés dans uno mémo pièce.

Mar. Position relative des vergues et des mâts, lorsqu’ils sont placés en croix, ti Endroit où so rencontrent les doubles d’un cordage, il Croîsure des lignes, Lo point de jonction, ii Se dit aussi pour Croisée, lorsqu’on veut désigner l’envergure des voiles ou la longueur des vergues. CrOISY {Onésimo-Aristido), sculpteur français, né et mort â Eagnon (Ardonnes) [1840-181)9]. Elève de Duniont et il’*r ;iiinory,ilacxposé,on 1878, un groupe en marbre, /*«« ; ^falatesta et Françoise de

/iituini. Au Salon de 1879,

Croisy envoya une statue,

la Fille aux raisins ; en 1881,

uno figure allégorique, la

/)huf/s, destinée i la mairie

du XIX» arrondissement, et,

en 1882, son œuvre la plus

connue, ^e A’irf, qui fut ac-

quise par l’Etat (muséo du

Luxemoourg). Depuis, Croisy

a exposé le Général Chansy

sur son lit de mort, statue

on plâtre ; Ernest liradfer,

statue on plàtro (1883) ;

Chanzif, modèle de la statue

en bronze érigée à Buzancy

[i>^8l) ; l’Armée de la Loire

,

L’^roupo formant lo soubasse-

ment du monument érigé,

Croisy.

. ui Mans, à la mémoire de

Chanzy, et de la deuxième armée do la Loiro (1885) ; le Général Chanzy, statue en bronze, érigée à Nouart par souscription publique {188G) ; Méhul, statuo bronze pour Givet (1892) ; Bayard, statuo â Mézières (1893) ; un Calvaire, marbre destiné à la Russie (1894) ; lo Monument do SeJan, â la mémoire des soldats morts on 1870 (1897) ; otc. CROÎT (kro-d

rad. croître) n. m . Accroissement, objet qui s’ajoute ù un autro, par lo dévoloppomont naturel do celui-ci : Le croît d’un troupeau.

Encyci.. Dr. Croit des animaux. Lo croît des animaux est un fruit (C. civ., art. 547). A ce titre, il appartient au propriétaire par droit d’accession. Si lo mâle ot la femollo upparlionnont âdos propriétaires différents, c’est lo propnéiairo do la fomoUo qui a droit au croît. Il on était ainsi & Homo, pour los enfants dos osclavos. L’usufruitier jouit du croit des animaux iC. civ., an. t>»iï, 583). ^ï l’usu CROISSANT — CROIX

fruit n’est établi quo sur un animal et si l’animal périt sans la faute do l’usufruitier, celui-ci n’est pas tenu d’eu rendre un autre, ni d’en payer l’estimation (art. ei5) ; il n’est pas tenu, par conséquent, do lo remplacer par uno tête do cruît. yi l’usufruit est établi sur un troupeau, et si celui-ci périt partiellement, l’usufruitier est tenu do remplacer, jusqu’à concurrence du croît, lestâtes des animaux qui ont péri (art. GiG). A la fin de l’usufruit, l’usufruitier doit représenter un troupeau contenant un nombre do tètes égal à celui qu’il a reçu ; il est tenu do rembourser au nu propriétaire la valeur des bètes qui manquent, à moins qu’il ne prouve qu’elles ont péri par cas fortuit et que le croît a été insuftisant pour les remplacer. Dans lo cheptel simple, lo croît est commun entre les bailleurs et le preneur, qui ne peuvent en disposer sans être d’accord (art. 1812). Dans le cheptel à moitié, lo bailleur n’a droit qu’à la moite du croît (art. 1819).

Anton. Déchet.

CROÎTRE du lat. crescere, mémo sens. — Je croîs, tu

crois, il croit, nous croissons. Je croissais, nous croissions. Je criis, nous crûmes. Je croîtrai, nous croîtrons. Je croîtrais, nous croîtrions. Crois, croissons, ci’oissez. Que je croisse, que nous croissions. Que je crusse, que jious crussio7is .

Croissant. Crû, crue) v. n . So développer, gagner de l’étendue : La rivière a crû. La marée croît. Enfant, arbre qui CROISSENT.

Il

Augmenter : l " en intensité : Le bruit croît. Le vent croît. La pluie croît. La vitesse croît ; 2" en durée : Les jours croissent en hiver et au pi’intemps ; 3" en nombre ou on qualité : Famille qui croît rapidement.

Naître et se développer : Le bouleau ne croît que dans tes pays froids. Le blé croît presque partout.

Fig. Etre produit ; prospérer.

Impersonnell. ; Il croît en France des plantes de tous les cli7nats.

Loc. div. Croître en ou dans, Gagner en, se développer sous le rapport do : Croître en largeur, ENi-o/ume. Croître en sagesse, en vertu. Croître dans la vérité, dans l’estime de quelqu’un. Fam. Ne faire que ci’oitre et embellir, Gagner rapidement de la taille et de la beauté. — Fig. et souvent ironiq. Se développer, augmenter : La sottise loïis les jours ne fait que croîtrk et embellir. (Mol.) ii L’herbe y croit, C’est un endroit peu fréquenté. — Fig. C’est une chose oubliée, négligée, dédaignée.

Prov. : Mauvaise herbe croît toujours. Se dit, par plaisant., pour expliquer la croissance rapide d’un enfant de mauvais caractère, et, par ext., d’un entant quelconque.

— V . a . Accroître, augmenter, développer : Croître les 7nalheurs, l’audace, la gloire de quelqu’un. (Vieux.)

Gramm. Ce verbe prend, dans ses temps composés, l’auxiliaire avoir ou l’auxihaire être, selon que l’on a en vue l’action seule ou l’action envisagée commo suivie d’un état qui s’est maintenu plus ou moins longtemps ; En quelques heures la rivière avait crû de plusieurs pieds. Voyez co7nme elle est crue depuis l’orage a’hicr.

Syn. Croître, augmenter, s’augmenter. V . augmenter.

Anton. Décroître, diminuer.

CROIX {kro-a

du lat. crux, même sens) n. f . Instrument de supplice formé queh|uefois d’un seul pieu, plus souvent de deux pièces ae bois placées en travers 1 une de l’autre, et sur lequel on attachait des criminels condamnés à mort : Etre attaché à ^a croix. Etre mis en croix.

Par ext. Passion do Jésus-Christ, ses souffrances sur la croix : La croix cha7igea le monde. (Chateaubr.) n Religion chrétienne ; Eglise de Jésus-Christ : Combattre, Mourir pour la CROIX, ii Prend7’e la croix. S’engager à faire parl^* d’une croisade.

Par anal. Objet de piété ou de simple parure, ayantla figure d’une croix : U7ie croix d’or.

Insigne en forme de croix d’un ordre de chevalerie :Za CROIX de la Légion d’honneur ou simplement, aujourd’hui, La CROIX d’honneur, et même La croix : Gagner, AJériter la CROIX. (V. DÉCORATION.) Il Granrf-crojx n. m . Haut dignitaire décoré do la grand* croix, dans divers ordres do chovalorie. (S’est dit, autrefois, du premier dignitaire après le grand maître, dans l’ordre de Malte.) il

Grand’croix

n. f . Insigne en forme de croix, que porte le grand-croix. I l Insigne en forme de croix, avec lequel on récompense les écoliers do mérite : Enfant oui a souvent la croix. 1 1 Disposition des objets placés do façon à figurer uno croi.x : Mettre des bâtons en croix, i : Lattes en croix, quo les couvreurs et les maçons placent près do leurs chantiers, pour avertir los passants de Sf tenir à l’écart, il Traits croisés : Marquer un mol d’une croix.

Fiç. Peines, afflictions ; spéclalom., dans lo langage do l’Eglise, Eprouves quo Dieu envoie au chrétien, il Porter sa croix. Etre sujet à. dos peines journalières, à. des douleurs habituollos.

Pop. Personne à charge, ou qui causo do grands chagrins : Jeune honwte qui est une croix pour ses parents.

Loc. div. : Croix ansée, Croix formée d’un T surmonté d’une anso. il Croix d’épée. Croix formée par la gardo ot la poignée d’une épéo do chevalier, il Mariage sur la croix d’épée. Sorte do mariage qui so faisait brusquement ot sans les cérémonies ordinaires, ii Croix grecque. Croix à quatre branches égales, il Cro/x latine. Croix dont uno branche est plus longue quo los trois autres, ii Croix de /,urrai7ie, ou russe, ou patriarcale, Croix ù deux croisillons inégaux, ti 6VoKcrfeiV/«/if,Croixquolcschevaliersdo .Malto portaient sur leur vêtement. Il Croix de par J)icu, Tableau Croix ; 1. Amilo : S. Grcccliio ; 3. Lutine ; . Gnmmee ; S. Eu tau ; 6. Do Solnt-Anilr* ; 7. Do Lorroloo. dos lettres do l’nlplialiet, à cause do la croix dont on lo faisait autrefois préci’dor : ^nrorV sn croix dk par Diko.

Premiers (^h^nicnts d’un art ou d’une scienco ; diVbut d’une alVaire. n Croh- pectornle. Petite croix qu’un évftquo iiorto suspendue sur la poitrine, ii Croix procvssionnrlle. Croix que Pou porte au liant d’un niauctieon tAto du cort^f^o qui forme uno procession, it Croix tie Saint ~ Andrt^, en sautoir, en X, Croix de llowijoi/ne. Croix oblique ou en forme do X. il Privilège de la cmix. Privilège qu’avaient les croisés do no pouvoir *tre poursuivis pour dettes, de no point payer d’intéri^t pour l’argent qu’ils ompruntaiout, do no payer ni collectes ni tailles. K3