Page:Nouveau Larousse illustré, 1898, IV.djvu/418

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

EXIMIESS-HIFLK — EXSLTl- R ANTIUS

U naiuro Ju b«au im*ra«, co un mot, d’aboracr 1 osthéiiquo

p*r 1* -^s--l^-’. ■^ :’-- ^ l’.-irtt^tc. l/ouvrap*» rnt ilivi^f^ i»n iroi% *^’

ao 1

rxr..^->- ... : — --^ - ■•■’"•

A irajiv to ro irt’t trnauo.

CZPRIMABLC r-iii^ adj. Susceptible d’Atro exprimiS ^Qoii î’iit : Toute pensée n’est pas exprimaulk.

— ) limablo.

TLX : • I — Ut. espiimere, mol qui sipnitlo pro-

>M •) V. a. Excrairc, faire sopiir p :ir la . it d’un suc ou (l’uD liijuiUo : KxrRiuF.ii /f j.„ , (iniMKR />ii« li’un caleçon de b*un.

_ l .-. traduiro au drhors par le prsio,

|»ph ■’.etc. : Kxi’KiMKR i<i (/ou/oi/’/wr

i/jj f - ’ ' /(imirJ, #a joie par des i/ii’n-

4^,, vjua uno fomio sensible. /-<•

Hi^ . iv çutf le bien, l’enfer qitc te

para

SV ’ l’f. Etre exprima, tir* par cofnpros !iion :

/■*i.. rii- fofif^. - V.’.rr ron’hî, traduit, niani-

’le saurait s’rx- ^ on SOS sonli-

u. avec élégance.

— ^ïN Cxprmicr, enouccr. N . i :>l'>i kr.

EX PROrESSO oxpr. lat. signif. ouvertement, on liomnio

Juif :’,' •■ " 1 ./ufif fA'>iir). En exposant d’une maniôro oc’. ■ Kx pROFKSso. Il Kxposcr avec compé-

(coi ivtposcrun sujet d’une manière complOlc,

appro : : ; . -, • V tiOQ en passant : Traiter une question bx

CXPROMISSION ’"Jt-ïï. mi n-on — lat. exi)romiMio,in^me sens) n. f. Ûr. r» n par lanucllo les Roma us

p&raiS500t avoir espace do novation, ot dont

les commoDtatriir ait io sens à l’un des cas de

Dovation par changomout di ? dtJ-biiour. celui où le nouveau débiteur s’engage sans s ’^iro préalablement entondu avec celui ouil rempUce. .C’est on cela que rexpromissloii litTéreraii de la dAëgatîon. L’on^agorocnt de ce Douvel uMikré ’ expromissor] est un cas iX’intercessio.)

EXPROPRIATEUR, TRICE ëkss) n. et adj. Qui exproprie.

EXPROPRIATION ^kss. $t-on) n. f. Action d’exproprier. . !o doi-'>--tMer U’j<al«’ment quelqu’un de la propntHé d’un bien. I Expropriation forcée. Expropriation par saisie des biens d’un débiteur. ■ Expropriation pour cause d’utilité jnttUiqve. V. la parue encycl. a Jury d expropriation, Jury chafg*^ de fixer Vindemnit»^ due & Tcxpropriti.

— E.NCTCL. L’expropriation est uno dt^roçaiion au principe de la propri(ïi«>, on vertu de laquotlo l’Etat peut dcpotséder un proprii.Hairc de son bien pour cause d’utiliiô et arec une juste iodemnité. On retrouve l’exercice du droit d’expropriation en France, sous tous les régimes ; mais, saur on cas de travaux pour la défense dos places, l’expropriation fonctionnait rarement. Avec les chemins de ter et les transformations (jui en résultèrent dans les Tilles, les expropriations devinrent très fréquentes. La loi de li^tl a llx les conditions do l intor^’cntiun do l’Etat.

C’- ■’ l’ouverture d’une enquête préalable, au

cou- lott étro démontré le caractère d intérêt

gén-- :-,- ..ivaux projetés. La commission d’enqtiéto

examiuo le prujet ot entend les dires des intéressés. Quand la loi ou te décret déclarant l’utilité publir^uo a été rendu, le plan dos terrains ou dos édirtccs expropries doit être tenu à la d) !sposition des propriétaires ot du public. Au bout do buit jours, une commission présidée par le préfet du département prend connaissance des dépositions, et toutes les pièces sont transmises au procureur do la République, qui requiert le tribunal de prononcer l’expropriation des terrains ou immeubles indiqués dans le décret. Lo jugement est afrtcbé. Alors, l’administration fait connaître ses offres aux intéressés. Si ces derniers no les acceptent pas, l’administration cite les parties devant un jury spécial avec loffre réelle ; do leur c6té. les parties exposent leurs demandes. Au i .r .-i ;>[).irtioni l-* fixer le montant do l’indemnité, î ’^ fixée par le jury no peut étro L Iministration, ni supérieure à la - - - -

Cette loi do 1*41 ri’tjlo d une fa( :on équitable les très délicates questions que soulève le droit d’expropriation ; mais elle a donné heu A de nombreuses critiques. D’un côté, on lui a reproché de porter une atteinte trop directe au droit de propriété, et, d’un autre côté, on lui a reproché de donner trop do latitude à l’appréciation du jury. Il est certain, on r-ffoi, quo dans beaucoup do cas lo jury s’est montré infiniment trop large dans ses estimations. Cette tendance a eu un contre-coup fùchonx au point de vue économique. Ainsi, beaucoup de travaux do chemins de fer, on Corso notamment, ont dû èlro abandonnés parce qae lo jury avait accordé aux propriétaires dos indemnités trop grandf^s.

ETPPApnrrp . :.« — Kt préf. priv. ex, et do proprm*, a} id deux i do suite aux deux

pr l’iod. et du prés, du subj. :

’ • ’-ronriie :]) v. a. Priver

léfc . biens : ExpRorRiRR h’i

df’ 'jur cause d’utilité pu-

bl’ , ,0 d’un intérêt public et

prifltaires qu’on exi’RO-

[.ass. lu v. Exproprier. ’•xpropriée, Maison dont lo proprié-

!■» : 

Exfjro.

— Par taire a • -

— Substani/.. Personne expropriée : Indemnité due aux

BXPROPRIKI.

EXPUGVf*>îr ’-•• — ’-■» "■ ’^•tfrnahilis ; io expugnare, prendre re pris d’assaut ou do

vire for k.

— AnI’-' inrxpu :in<)ntc, ini[Trnabto.

CXPUmON ékss. Si-fin — -iti la - r</)ui(ro, même sons’i n. f. Crachement qui seffectue par simple mouvement des joues ot dos lèvres, n On écrit aussi Exsl’I :ITIo^t.

EXPULSER >*k»$ — lat. fxpulsnr^. fréqtinntntir Ha tpetiere, s. -. "- ’^ "’ " ’"' -.-.-..

Dite ou ,’. : Km-llskr un > ic--

— Méd. Evacaer, faire sortir : Expulskr U mueus des bronches.

Expulsé, ée part. pass. i Sabstantiv. : Les sxpLxafts.

S’êXpuls^i*, V. pr. Etre expulsé : Une mauvaiie habitude ne SKXrfi.SK /wi aisément.

EXPULSEUR. EXPULTRICE (êkss, triss) adj. Qui expulse : .li-/t(in KXl’lLTRU K.

EXPULSir, IVE [t^kss) adj. Qui aido à expulser, qui pousso un dehors : Hanâage KxrCLSiP. U Douleurs cxpnlsurs. Douleurs qui accompagnent les contractions par lesquelles l’utérus expulse le fœtus.

EXPULSION (ékss) n. f. Action d’expulser, de chasser des lieux un-upés ou des biens possédés : /.’kxpci.sion des itourbtiris. /.’kxiti^ion des Anglais du royaume de France. Il ExiIuMou, élimination, renvoi : ^-expulsion d’un élève d’un /yc(’e.

— Dr. Action juridique par laquelle on contraint un locataire, un tenancier & vider les lieux qu’il occupait.

h Droit d’expulsion. Droit quo se réserve un Etat dexpulser les étrangers résidents.

— Méd. Evacuation : /."kxpulsion des urines.

— Encycl. Dr. intern. Dès que lo séjour d’un étranger devient un danger ou uno mcnaco pour l’Etat qui la re« ;u, il peut être expulsé. Il en est ainsi dans tous les pays, sauf en Angleterre, où les étrangers jouissent du droit do l’inviolabilité individuelle comme les nationaux. L’expulsion no doit pas avoir lieu arbitrairement ; on ne doit pas la pratiquer ou masse. Elle ne doit pasétro pratiquée d’une inimièro olFensanle pour l’Etat dont dépend l’étranger. Eu général, à moins do raisons particulières qui exigent lu secret, les motifs do l’expulsion sont communiqués à l’Etat expulsé. Les formes dans lesquelles on pratique l’expulsion varient suivant les pays : en Franco, commo dans do nombreux pays, l’expulsion a liou en vertu d’un arrêté du ministre do l’intérieur ou même du préfet, dans les départements frontière, et l’étranjjer n’a aucune e^^rantie contre la mesure dont il est 1 objet (loi du 3 déc. 1819). Une expulsion arbitraire peut donner lieu, toutefois, & uno réclamation diplomatique.

Un Etat peut aussi expulser ses nationaux en ce sens qu’il peut les condamner au bannissement, peino qui est inscrite dans de nombreuses législations. Dans les pays hors chrétienté, les consuls ont lo droit d’expulser du territoire ceux de leurs nationaux qui se conduisent mal ; co droit, ils ne l’ont qu’à l’égard des nationaux ; lo consul ne peut lexorcor vis-i-vis des sujets dos nations étrangères placés sous sa protection, à moins que la nation intéressée ne lo lui ait reconnu expressément. (V. édit français do juin I"78, art. 82.)

Co qu’on vient do dire ne s’applique qu’en temps do paix. Eu temps do guerre, chaque Etat belligérant peut expulser en masso les sujets de son adversaire établis sur son territoire : c’est une mesure de sûreté narfaitcment licite. On doit, toutefois, accorder pour leur départ un délai raisonnable. Telle est la pratique généralement suivie. Parfois, cependant, les Etats belligérants autorisent les sujets de l’ennemi à rester dans lo pays, pourvu (luo leur conduite soit bonne ot régulière. Ainsi procéda la France, au début do la guerre do 1870.

Expulsion I L*) ou la Sortie du paradis terrestre, fres- (lue exécutée d^ns l’une dos logos du Vatican, par Jules Romain, d’après un carton do Raphaël. — L’archange, vêtu d’un manteau rougo ot armé d’une épéo flamboyante, chasse Adam et Eve du paradis. Adam se cache le visage avec les deux mains ; Eve cherche à voiler sa nudité et lève les yeux au ciel. Ces deux figures sont empruntées à la fresque de Masaccio, dans l’église des Carmes, à Flo-

ExpuUlon d’Adam et d’Eve du paradis, d’après Julu^ Romain.

ronce. C’est là un de ces hommages que lo plus illustre des peintres se plaisait à rendre à sos précurseurs. L’esquisse originale do cotte composition, dessinée par Raphaél, se trouve dans la collection royale d’Angleterre ; ello a été gravée par C. Metz. Quant à la pointure attribuée à Jules Romain, ello a été gravée dans les diverses suites d’estampes où a été reproduit l’ensemble des Loges ; 11 en a été fait, on outre, une gravure séparée par un anonyme néorlanlais du xvi* siècle, ot uno gravure au trait par Réveil.

EXPULTEUR. TRICE adj. Syn. de expulsif, ivb.

EXPURGADE ëkss) n. f. Opération consistant à couper dans une fuiaie les arbres qui. par leur proximité, gênent le développement d’autres arbres do plus belle voduo. b On

dit aussi RXPDROATION.

EXPURGANT {èkts, ghan) n. m. Médicament qui, dans l’ancienno nn’^leoiue. serait, contrairement aux cmphractiques, à ’lébarrasser les pores des matières qui les obstruaient Inusité actuellement.)

EXPURGATION ékss, si-on) n. f. Action d’expurger ; corre-tions faites dans un livre.

— -Sylvie. .Syn. do expurgadb.

EXPUROATOIRE [èk$s — rad. expurper) adj. n Index expurifatoire, Cataogue de» livres prohibés par l’Eglise catholique, jusqu’à co qu’ils aient été expurgés.

EXPURGER {êkss. jé — lat. expurgnre ; du préf. ex, et do punjarc, purger. [Prend un e après le g devant a ou o : J’ex}iur<i^in. Sous expurgeons’) V. a. Corrige rpar des suppressions, en parlant d’un livre soit au point de vue do la

402

(Kcooce, soit au point do tqo do la religion : Ex.pi ;boer ttfi ouvraqCt une t’itition. S’expurger, v. pr. litro cxpurgi*.

EXQUIS ck3t-ki), ISE Mal. eiquiailiis, choisi, rochorchéj a<lj. ijiii a un goût iliMicieux, qui est tr6s délicat : Dei met ; Des vins Kxquis.

— Par anal. Qui produit sur los sons uno impression douco. dt^icato ot distinguée : Vn parfum, Dvs «on« RXijuis.

— Par ext. Fait, tourné, conllguré, exécuté avec beaucoup do délicatesse et do distinction : Une main, Une taille, Une beauté kxquise.

— Fig. Délicat, distingué, plein à la fois do âncsso ot do douceur ; Ce sont des douceurs KXQC1SK.S que des louange» éclairées. (Mol.) n Qui est doué d’uno sensibilité tino ol délicate : Un poète, Un peintre nxcji’is. Un sens Exgois.

Il Qui produit uno impression, uno sensation douco et délicate ; <jui proiluit une impression de nature quelconque, mais distinguée on son genre : />'KXyl’lsKs jouissancrs.

— Sts. Exquis, délectable, délicat, etc. V. délectaulb.

— Anton. Détestable, exécrable. Insipide.

EXQUISEMENT rliss-ki} adv. D’une maniéro exquise.

EXQtlISITÉ (. ?Aîj-Ai) n. f. Qualité do co qui est exquis.

EXSANGUE (fk’-sangh’ — lat. eiianguis ; du préf. priv. ex, ot (le sanquis, sang) adj. Pathol. Qui n’a quo peu do sang, qui a perdu beaucoup do sang : Blessé EXSANaue. Il D uno pùlour ((Ui indique t’anémio : Pâleur exsaniiue.

— Fig. Dépourvu ilo vio, do force, de vigueur : Des romans KXSANIII ES. (l)idor.)

— Antun. Plétboiique.

EXSCRÉATION (èAis-Ar»’, si-on — lat. exscreatio, même sens) n. f. Craclicmont produit par uno exjnratioD forcée, sans toux.

Exsecrabilis, bullo publiée par le pape Pie II. en 1459. Kilo défend, sous peino d excommunication, d’en appeler d’une décision pontificale à un futur concile œcuménique. Pie II y rétracte les opinions contraires à la suprématie du saiut-siége, qu’il avait lui-mémo professées dans sa jeunesse, au concile do Bâle.

EXSERT [dk’-sèr’), ERTE [du lat. exsertu», mémo sens], ou EXSERTILE {èk-sér’ — rad. eisert) adj. Qui fait sailli» au dehors. (Se dit surtout des étamiuos, des styles plus longs que leurs enveloppes.)

EXSERTION (cAr’-sér’-si-on) n. f. Ilist. nat. Etat de ce qui est exsert.

EXSICCATA {èk’-si-ka — mot lat. qui signifie choset dcasf’rhées) n. m. pi. Nom donné quelquefois aux plantes oa parties de plantes dont la collection forme un herbier.

EXSICCATEOR n. m. Chim. Syn. do dessipcateub.

EXSICCATION n. f. Chim. Syn. do dessiccation.

EXSPUITION n. f. Physiol. V. EXPUITION.

EXSTIPULÉ, ÉE {èk’-sli — du préf. priv. ex, ot do stipule) adj. Bot. So dit des feuilles ou, en général, des organes foliacés qui sont dépourvus de stipules. Il On dit aussi BXSTt-

fULACI- : ot EX.STIPULAIRB.

EXSTROPHŒ :èk’-stro-ft) n. f. Vice de conformation d’u» organe qui se présente retourné, sa faco interne devenant externe. Ii On dit aussi extroversion.

— Encycl. Vexstrophie de la vessie est le plus fréquent de ces défauts do développement ; elle se rencontre surtout chez les garçons. La paroi abdominale semble manquer au-dessus du pubis, et l’on aperçoit le fond de la vessie, d’où sourdent constamment par les uretères de» gouttes d’urine. Quoique non incompatible avec la vio, cette infirmité grave e.vige lo port d’appareils compliqué» pour recueillir l’urine et entraîne souvent l’impuissance. Les chirurgiens ont cherché bien des moyens palliatifs, sans arriver à des résultats toujours satisfaisants.

EXSUCaON ou EXSUCTION (ék’-suk’-si-on — du préf. ex, et de succion) n. f. Action do tirer au dehors par la succion.

EXSUDANT (èk’-su-dan), ANTE adj. Qui provoque l’exsudation : Une potion exsudante.

EXSUDAT {èk’-su-da — rad. exsuder ) n. m. Produit qui se trouve dans les tissus et les organes, par suite de la -■iortio à travers los parois vasculaires de certaines parties du sang. (On distinguo les exsudats séreux, fihrineux, muqueux. L’cxsudal eroupal est un exsudât muco-librineux qui se rencontre à la surface dos tissus malades.)

— Exsudât diphtérilique. V. uiruTÉRiE. EXSUDATION ièk’-su, si-en — rad. exsuder) n. f. Méd.

Action lie suer : Cirlaines maladies amènent de fortes BXSO-DATioNS. Il Suintement morbide sur une muqueuse ou une séreuse.

— Exsudation plastique. Suintement hors dos vaisseaux de la substance qui produit les éléments anatomiques.

— Par anal. Kxtravasation quelconque ; matière cxtravaséo : La miellée se manifeste par une exsudation risgueuse qui couvre la feuille des végétaux. (Math, do Dornb.)

— Bot. Nom donné, en physiologie végétale, à toute émission do liquide à l’extérieur du corps do la plante, soit à travers uno membrane minco et perméable, soit par l’ouverture d’un stomate ai|uifère. (Parfois, los liquides exsudés ont un pouvoir digestif.)

EXSUDER (cA’-Jii — du lat. exsudare ; du préf. ex, et de sudarc, suer) v. n. Sortir par exsudation : le sang bxsuob quelquefois par les pores.

— v. a. Kmctirc par exsudation : Dans les inflammations, l’iris EXSDDB des produits albumineux. (A. Guépin.) U Emettre, laisser couler à travers ses parois, laisser suinter : Arbre qui exsude de la résine.

EXSUrrLATION lèk’-su-fla-si — du préf. ex, ot du lat. suffinre, souffler) n. f. Action de chasser on soufflant.

EXSUPERANTIUB, écrivain du vi’ ou du vît’ siècle apr. J.-C, autour d’un abrégé dos Histoires de Salluste : D^ .Marii, Upuii ac Sertorii bellis eivilibus, imprimé quelquefois a la suite des œuvres do Salluste (B&le, 1883).

ExSUPERANTinS, fonctionnaire romain, né à Poitiers, mort a Arles on tu : quelquefois confondu avec lo précédent. Ami de Rutilius et frère de Quiotilius, qui a était retiré à Bethléem pour vivre sous la direction do saint Jéréme, il devint préfet des Gaules, rétablit l’ordre co