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POLYSKQUE — POLYTROQUE

POLYSÈQUE (x’-fc’ — i)u priif. pof’j, et (lu pr. xélcos, lien clus^ n. m. Hot. Kruit compose do plusieurs logos distinctes.

POLYSÈTC (du prôf. poiy, et du lat. seta, soie) adj. Qui a beaucoup do longs poils somblablos ù des soies.

POLYSIALIEf/ï — du prôf. 7)0/1/. ot du Cfr. *irt/on, salive ) n. f. Mti’l. Salivauoii abondante.

POLYSIDÉRE -lu prt’f. poly, ot du gr. s’tdêroSy for) n. ni. Nom pur lequfl Daubréo désignait les météorites sporadosidercs rii-hcs on fer.

POLYSIGMA (du préf. polh ot do sigma) n. m. Vico ou artiiico du discours (|ui consiste à entasser dans la mémo pbrase un grand nombre do S.

— Encycl. Cette accumulation de S peut être un défaut do sivlo ; elle peut aussi servir à des clfets d’harmonie imitaiivo. Crsi ainsi que Virgile a dit, pour rendre le sifûemoni dos serpents :

Sib’Ua lambebnnt iinguii vibvantibui ora. Racine a dit de mémo :

Tour qui «ont ces «erpents qui «ifflent *ur vos têtes ?

POLYSILICATB D. m. Chlm. Sel dérivant do l’acide polstli <u|uc.

pOLYSiLiCiQUEadj. Chim. V. siliciqde.

POLYSIPHONIE in !) n. f. Bot. Genre do florldéos po/ysipfujtuècs, comprenant des algues des mers tempérées, à fronde compiiniéo, à ramilication dicholomo régulière.

P0LYSIPH’)NIÉE3 n. f. pi. Bot. Division des floridécs rhodumélées. qui comprend des algues difficiles à classer, car leur forme varie avec luge. — Une polysipuomék.

POLYSOG {sok’) n. m. Cbarruo & doux, trois ou quatre corps (coulre, soc et versoir), montés sur un m6mo bûti, et

Charrue polysoc.

faisant doux, trois ou quatre raies à. la fois, ce qui pormet do réaliser une économie de travail, il PI. Des polysocs.

— Adjocliv. : Dis charrues polysocs.

P0LY30MATIE ti ~- du préf. poly, et du gr. sôma, ntus, corpsj n. f. Méd. Corpulence excessive. (Peu us.)

POLYSOME (môme étymol. qu’à l’art, précéd.) n. m. Monstre qui a plusieurs corps.

P0LY30M1E [mt) n. f. Monstruosité des poljsomes.

POLYSOMIEN, ENNE (mi-in, en’) adj. Se dit dos monstres par ii<^i s.niiii’.

POLYSOMIQUE (miA") adj. Qui appartient à la polyso-

mu’.

POLYSPASTE [spassf — du préf. pohj, et du gr. spân, tirer) a<lj. Qui posscdo une grande force attractive. (Peu us.)

— n. m. Antiq. gr. et roni. Machine munîo do poulies et do cordes, qui servait à soulever des fardeaux, n Spécialcm. Moutle do bandage d’une machine de jet.

— Encycl. Le polt/sfiaite ou grue d’Archimôdo était une énorme machine tournante, do la nature des grues, qui servait ù. défendre les ports. Un fléau, terminé par une gritre, actionné par des fjoulios, s’abattait sur les navires ennemis, les enlevait, puis les laissait retomber.

POLY3PERCHON, général macédonien, un des lieutenants d’Alexandre, mort vers 300 av. J.-C. II servit d’abord dans l’armée do Philippe do Macédoine, suivit Alexandre en Asie, ot commanda la phalange ; mais il encourut la disgr&co du maître, et fut renvoyé en Macédoine, à la t*to du convoi des blessés (323). Après la mort du conquérant, il s’attacha ù. la fortune du régont Antipatros, qui. à son ht de mort, lui conlia la tutelle des deux rois Arrhidéo et Alexandre (319). Frustre dans ses ambitions, Cassandre, lils d Antipatros. se ligua avec Eumène contre le nouveau régont. Polysperchon chercha à se concilier les populaiions grecques o( occupa le Péloponèse ; mais sa II". ne fui b.’iitue par celle do Cassandre, qui s’empara do la Macédoine (318-317). Polysperchon l’en chassa au printemps suivant, puis fut vaincu do nouveau en Thcssalie otse relira dans le Pélopunùso (316). En 31 i, grâce à des secours rer/us d’Antigunc. il put reprendre l’olfensive. Ht iiroclamer roi ll^raklès, (ils d’Alexandre le Grand et do Barsino : on 310, il pénétra en Macédoine avec lo nouveau roi. Cassandro lui promit alors de lui laisser tout lo Péloponèse, s’il abandonnait la cause du prétendant. Polysperchon accepu», tU empoisonner Môraltlès ot retourna dans lo Hélopooèse (3oy). où il ne conserva, d’ailleurs, qu’une aiiiurité assez précaire.

POLYSPERMATIQUE adj. Bot. Syn. de polyspermr.

POLYSPERMC .y,ér>n’ — du préf. poli/, ot du gr. sperma) Romencej alj. Bot. Qui contient un grand nombre do semences.

P0LY8PERMIE (npèr’-mt — rad. poli/aperme) adj. Méd. Surabondancn do sperme.

— Bot. .Multiplicité des graines.

— Biol- Pènéïraiion dans l’œuf de doux ou do plusieurs spermatozoïdes. Syn. suariicoNnATiON.

— Encycl. Normalement, lœuf n’admet qu’un seul spermatozoïde, le premier, et repousse les autres par chiniiotaxie négative. Toutefois, d après Huckert, la p-hfSficrmie soraii normale chez les sélaciens ; un seul spermatozoïde sunil au proniirléus femelle, ot les autres no servent qu’à faciliter l’élaboration du vitellus nutritif, il on serait do mèrne, d’après Onpel, chez les reptiles ot peut-èiro les oiseaux. En employant divers toviqucs, en particulier le ehloral, les frères Ilerlwig sont parvenus À obtenir la polyspermie chez dos ^ires qui no l’admettent pas. I>a polyspermio aboutit le plus habituellement à une polygastrula. C’ost I origine dos monstres doubles.

POLYSPHÊRIDÉS { !<f’^) n. m. pi. Zool. Famille de rhizopodes radiMluirc ;, comprenant les genres actinomma, didymocijrtis et cromyomma. — Un poLYSPnÊuiDi’ ;.

POLYSPHÉRlTE («/"(’) n. f. Phosphate naturel de plomb, variété do i)yromorphito.

POLYSPORE (ipo ?"’ — du préf. poly, et de spore) adj. Bot. Qui rcufermo beaucoup de spores.

POLYSTACHYÉ, ÉE {stn-Ici — du préf. poly. Cl du grstakhus, v- ] adj. Bot. Qui a do nombreux épis.

POLYSTAURE [star’ — du préf. poly, et du gr. stauros, croix) n. m. l*ièce du costume des patriarches d’Orient, ainsi appelée parce qu’elle était parsemée do croix.

POLYSTÉLIE {sti’-ll — du préf. poly, et do stèle) n. f. Bot. Structure particulière de la tigo ou de la racine, caractérisée par l’oxistenco do stèles fusionnées dans la môme écorco. V. stèle, tigic.

POLYSTÉMONE [até — du préf. pobj, et du gr. stèmôn, élamino) .-nlj. Bot. Qui a beaucoup détamincs.

POLYSTIC [Stik’) ou POLYSTIKUM [sli-kom’) n. m. Bot. Genre do fougères, do la famille des polypodiacées, auquel on rattache souvent la fougère mâle.

POLYSTIGMÉ, ÉE {s(ir/h’ ~ du préf. poly, et de stigma, sttiriuaii’i ;id|. But. Qui a beaucoup do stigmates.

POLYSTOME {stom’ — du préf. poly, ot du gr. atoma, bouche) adj. Zool. Qui a un grand nombre de bouchos ou de suçoirs.

— Bot. Qui émet do nombreuses fibrilles. POLYSTOMIENS {sto-ynî-in) n. m. pi. Sous-ordre de vers

trenialodes, coiiipronant ceux qui possèdent deux ventouses en avant ot plusieurs ventouses en arrière, — Un

POLYSTOMIEN.

POLYSTYLE {stW — gr. polustuhs ; de polus, nombreux, et stiilos, colonne, style) adj. Archit. anc. Qui a beaucoup do colonnes : Temph polystylk.

— Bot. Q a plusieurs styles. POLYSULFURE n. m. Chim. V. sulfure. POLYSYLLABE (du pcétpoly, et de syllabe) adj. Gramm.

Syn. peu us. do POLYSYLLAUKJtUÎ.

’— II. m. Mot composé do plusieurs syllabes.

POLYSYLLABIE {ôl — rad. polysyllabe) n. f. Gramm. Multiplitiié des syllabes dans un mot.

POLYSYLLABIQUE (bik’ — du préf. poly, et de syllabe) adj. Gramm. Kormé de plusieurs syl’abes.

— Plivsiq. A’c/jo polysyllabique, Eciio qui répète plusieurs syllabes.

POLYSYLLABISME {bissm’) n. m. Ling. Système qui repose sur la multiplicité des syllabes dans les mots.

POLYSYLLOGISTIQUE {jiss-lik’) adj. Logiq. Qui renferme plusieurs syllogismes : Un raisontiejnent poly^syl-

LOI.ISTUJUE.

POLYSYNDÉTON (du préf. poly, et du gr. sunthélos, composé) n. m. Rliétor. Figure qui consiste à. répéter une conjonction au commencement de chacun des membres d’une phrase ou <ios termes d’une énuméraiion. h On dit parfois polysyndî^ti :, polysynthëton ou polysyntheti :.

— Encycl. Cette ligure a surtout pour résultat de pa^ raître multiplier les objets en les accumulant. C’est ainsi que Racine a dit, dans Estber :

On <^gorge ft la fois les enfants, les vieillards. Et la sri^iir Pf le frôi-e, El la mio et la mfrc.

POLYSYNODIE {dt — du préf. poly, et de synode) n. f. Nom donné par latdié do Saint-Pierre à un système d’administraiiou qui consiste à remplacer chaque ministre par un conseil : Le iUUjent tenta d’établir la polysynodie.

POLYSYNODIQUE (^/ ;7t*") adj. Qui a rapport à la polysynodie : Si/xfi^mo poLYSYNOiiiyun de goiO’ei’nejnent.

POLYSYNTHÉTIQUE {tik’ — du préf. poly, et de synthétique ) adj. Ling. Se dit d’une langue où les diverses parties de la phrase se confondent en une sorte de long composé, au moyen do syncopes et d’ellipses : Idiome poLYsYNTiiiÎTiQUE. Forme polysynthktiqde.

— Kncvcl. hcf.XwwQne^polysynthiHiques sont dites aussi holnplirnslu/ues. (V. ce mot.) Mais il y a deux variétés de langues holophrastiques : les incorporantes {v. ce mot) et les holuphrastiqucs proprement dites. L’incorporation a pour etfet de rattacher à la racine verbale d’une manière assez lâche, certains mots de la phrase, sans les altérer. Au contraire, dans le polysynthôlisme, il y a contraction, abréviation, fusion des mots’d'une phrase en un seul mol plus long : en algonquin, pilApé « jeune homme non marii’ » résulte de la composition syncopée des mots pi Isitt » chaste « et lênàpé « homme n. *La plupart dos langues américaines sont polysynthétiques. Cependant, on pont trouver des formes polysynthétiques dans beaucoup d’autres idiomes. Ainsi, en français, on entend souvent dire, dans la langue familière : ki’ksèksa ? au lieu de : qu’est-ce que c’est que cela ? De même, l’anglais lord = anglo-saxon klafweard U distributeur do pain >'.

POLYSYNTHÉTISME (tissm’) n. m. Caractère des langues polysyiitliéiinucs. V. ce mot.

POLYSYNTHÉTON n. f. Rllétor. V. POI.YSTNDÉTON.

POLYTECHNICIEN, ENNE (tèk’-ni-si-in, en’ — rad.polytechnie ) adj. Qui est habile dans plusieurs arts.

— n. m. Klèvo de l’Kcolc polvteclmique.

— Ency-cl. Tous les pulytertmiciens aptes au service militaire vont, dès leur sortie de l’KcoIc, ijasser une année dans l’armée, comme sous-lieutenants aartillerie ou du génie. Ceux qui sont alfectôs aux carrières civiles sont nommés sons-lieuionants de réserve ; les autres sont nommés sous-lieutenants au titre actif. Mais tous accomplissent une année de service dans les mémos conditions. Avant 1902, les sous-lieutenants au titre actif commençaient par aller passer deux années à l’Kcole d’application de Koniaineblcau, puis entraient au régiment ("omme lieutenants en second. Depuis 1902, co passage par l’Ecole do Fonminobleau n’a lieu qu’après l’année de régiment accomplie ot no dure qu’une année.

POLYTECHNIE UHc’-nl — du préf. po}y, et du gr. trkhn,, arti n. f, Didact. Etude qui dispose à aVouérir de l’habilelé «ians la pratique des dilférentsarts d application.

POLYTECHNIQUE {Ick-nik’ - rad. po/vïc/tnïe) adj. Qui concerne, qui embrasse plusieurs arts, plusieurs sciences.

Polytèle.

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— Ecole polytechnique. Ecole de l’ELit où l’on forme des élèves pour l’artillerie, le génie militaire et quelques autres branches de service public. V. KCOLE.

— Association polytechnique. V. ASSOCIATION.

POLYTÊLE OUPOLYTÉLIS

n. m. Genre d’oiseaux grimpeurs, famille des psittacidés, comprenant do jolies perruches d Australie. .

POLYTÉLITE n. f. Antimoniosulfuro naturel de cuivre , variété 1res argentifère de panubase.

POLYTHÉISME ( issm’ — du préf. l’oly, etdugr. théos, dieu) Philos. Sytèmo religieux qui admet une pluralité de dieux.

— Ency’cl. Lo polythéisme se présente sous trois formes principales : !"idoI£itrio ou culte des dieux personnitîés dans des images ; le sabéismo ou culte du feu et dos astres sans l’iriLermédiaire des emblèmes représentatifs ; le fétichisme ou adoration de tous les objets qui frappent l’imagination ou auxquels la superstition attache une puissance mystérieuse. 11 n’est pas rare que ces trois formes se trouvent intimement unies, il a dos origines multiples : la divinisation des forces naturelles, des morts, des animaux. Suivant lidiosyncrasio morale des peuples et leur aptitude poétique, il est plus ou moins pénétré de mythes, et les divinités ont un caractère plus ou moins peisonnel.

Il arrive, comme ce fut peut-être le cas pour l’Inde, que le polythéisme populaire prend son point de départ dans un panthéisme. Mais, plus souvent, c’ost le panihéisme philosophique qui se présente comme une juslihcation des croyances vulgaires. Les stoïciens ont vu dans celles-ci le symbole naïf de leur hylozoïsme. Mais les néoplatoniciens, allant beaucoup plus loin, ont fini par prendre la défense du polythéisme contre les progrès du christianisme. En général, par lo simple progrès do la réflexion, le polythéisme tend de lui-même vers le monothéisme. On commence par subordonner les dieux les uns aux autres. A la tête de la liiérarcbio divine est le j’ère des hommes et des dieux ; et ce dieu supérieur prend peu à peu une telle importance qu’il finit par être considéré comme le dieu unique : ainsi lo Zeus grec dans beaucoup de philoKo[>bes de l’antiquité.

POLYTHÉISTE {isst’) U. Personne qui professe le polythéisme.

— .djectiv. : Peuple polythéiste. POLYTHÉISTIQUE [Stik’) adj. Qui a rapport au polythéisme.

POLYTHÉLÉ, ÉE fdu préf. poly, et du gr. thih^, mamelon 1 aiij. Boi (jui a plusieurs ovaires dans cliai|uc tleur.

POLYTHÉLIE lî — rad. polythélé) n. f. Physiol. Existence anormale de plus do deux mamelons, non accompagnés de mamelles proprement dites.dans l’espèce humaine.

POLYTIMÈTE (lat. Polytimetiis), rivière de l’Asie ancienne, dans la Sogdiane, qui baignait Maracanda. Auj. lo Kohik.

POLYTME n. m. Genre d’oiseaux passereaux lénuirostres, de lu famille des trochilidés. comprenant des oiseauxmouches de l’Araériquo tropicale. (Lcspèeotype est remarquable par son magnifique plumage vert métallique, qui lui a fait donner le nom vulgaire d’émeraude.)

POLYTOME [du préf. poly. et du ^v. touiè, section) adj. r.itt. Qui est composé de plusieurs parties.

POLYTONE (du préf. pohj, et de ton) adj. Qui est varié de ton, qui n’est pas monotone. (Mot de Voltaire.)

POLYTRIC [trik’) n. m. Bot. Genre de bryacées acrocarpes. [Pol’/ti icdes boutiques oiiof ficinal, Syn. de ASVLu :iiv>i.

— Encycl. Lespotytrics (polytrichum ) sont des mousses à tige dressée, à pédicclle cylindrique, qui se renfle sous le sporange. On on connaît un grand nombre d’espèces, du monde entier. Le polytric commun se rencontre fréquemment en Franco, dans les lieux humides ; il est employé en infusion, comme sudorifique ; de môme le polytric furnmsum, des bois ombreux, comme apéritif.

POLYTRICÉ [sé], ÉE adj Bot. Qui ressemble ou qui se rapporte au polytric.

— n. f. pi. Tribu de mousses, ayant pour type le genre polytric. — Cne i>oLYTriiCKK.

POL YTRICHIE (kî — du préf. poly. et <lu gr. (hri.c. trikhos, cheveu) n. f. Méd. Siirabundance des cheveux.

POLYTROPE adj. Miner. Qui otfre le phénomène de la polvtropie.

-*- n. TU. Appareil imaginé par G. Sîre pour tenir lieu à la luis du gyroscope, do la balance gyroscopique, du culbuteur Hardy et de l’appareil do Bolinonl»erger.

POLYTROPHIE [fî — du préf. poly, et du gr. trophè, nourriiiiff) n. f. Nutrition trop active, qu’on observe dans le diabète, ou au début des maladies consomptives.

POLYTROPIE (/)i — du préf. puly. et «lu gr. tropot, directionj n. f. Phénomène offert par certains cristaux dont les lames successives ont leurs sections principales inclinées l’une sur l’autre, sous des angif’s difl’érenis.

— Bot. Genre de légumineuses, tribu des lotéos, comprenant des arbrisseaux du Cap.

POLYTROPIQUE {pik’) adj. Qui a rapport à la polylropie, qui présente le phénomène de la polytropie.

POLYTROQUE (trok’ — du préf. poly, ot du gr. trokhA, roue/ adj. Zool. Qui possède plusieurs zones ciliées autour du corps. (Se dit en parlant dos larves d’aDuélidcs polychèlcs. )

Piflviric : a. plcil mile ; i.pi«’dri’mellp :r, !Vuil jconc ; d, Truit mAr.