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qui permet d’uliliser une surface de voilure bien plus considérable. Les bricks et trois-mâts carrds sont nés do cette conception. ^cito

En combinant lesdoux gréoments, auriquc et carré, on a obtenu des navires préseniaut les qualiit-s de ces deuv

SZ ?„’ ;^ n- ^"" ;’^*’ ;" ■’ ™""’"«’ manœuvres rolativemon t simples D après la dimension et le nombre do mâts des bâtiments, on obtint le brick-goélette, le trois-mâi.s-barquo, le quatrc-mals-barquo, les clippers américains, avec divi^ sion p us ou moins grande des vergues, pour réduire chacune des voilos carrées et en faciliter la mameuvre.

— IMone du „aru-e. L’étude complète du navire à la mer est longue et difncile, car les e/forls auxquels il est soumis sont presque aussi complexes que les dangers du’il f’r.’^j euvisage les conditions d’équilibre et de sta-P. Jinl î^-’"^’" ’^°"=’"î ; ""« ’•■=■"1» I» déplacement et

, t r. ■ i ", "^^."' ’"^ mesures et les variations do la s abilitedans les divers cas particuliers, l’action du roulis ot du tangage et 1 olTot du gouvernail. C’est uno des brandies le.s plus délicates et les plus importantes de la science do 1 ingénieur ei rlu marin,

— Dr. Les namrps sont soumis à des droits d’entrée et do séjour dans les ports. A la sortie, ils doivent être pourviLs do certaines pièces justiHant la nationalité et la propriété du navire, la composition do l’équipage et celle du cliargoment, ainsi que l’état .sanitaire du làtimcnt

l.os navires sont considérés comme meiMesaa point do vue légal i mais à raison de leur importance, ils éc/iappent à certaines règles qui régissent les meubles. La propriété ne disparaît pas par simple tradition : la saisie et la vente sont soumises â dos règles spéciales, enlin les navires sont, comme les immeubles, susceptibles abypotliè.me ,,«7 ;.. ■ ’"""■" ^* condition juridique internationale des H«wm9, qu. peuyen apparlenu-à des nationalités diverses, varie suivant qu ,1 s agit de navires do guerre ou de navires de commerce, do navires se trouvant en pleine me ou dans les eaux territoriales d’un Etat étranger

1» .avves en pleine mer. Les navires de guerre ou do commerce qui se trouvent en pleine mer sont sous la iur^ diction de 1 Etat dont ils portent le pavillon

raLVrfV^/M^^ ;""''"’"T’ •^"’■'»’ ™<’" et eaux littorales d un Etat L-tmnrjer. Le principe est que ces navires qui représentent l’Etat auquel ils appart ?ennent, restent sous la souveraineté de cet Etat ; ils sont inviolables et les personnes qui les montent sont o.xemptes de la juridic tion civilo et criminelle du pays oii ils mouillent

3 i r,resde commerce dam les ports, rades et eaux Utlorates dan Etat étranger. Les navires de commerce à la différence des navires de guerre, no font pas partie le a puissance publique do l’Etat dont ils portent L nav fo , Néanmoins, ils se rattachent à cet Etat par la façon dont leur équipage est composé. La jurisprudence ang ?a,se et à H inrTr,"’"'r’ ri"’ navire marchands sonrsoum’s vienne,, ^n ’"■■’■"’ '^î’ P.^^’" •’^"’^ ’«^ 1’°"^ d-’li’el ils viennent mouiller. La jurisprudence française fiit une

e lés erfli- ; ’"' ^^ ^^ discipline intérionre du navire et les conflits, même entre gens do l’équina<ve sont sou misa la juridiction de l’Etal du pavillo’n forlqùeU t ?auquil ité du port n’est pas compromise ou que son secours

U ÎÙr^.lfei’io’i.’T'*’ '" "l""’^ <"’ ™ ’^*=*’ "=* tombent sous ,■’, o "’"' " t’"^’^ <"^ ^e, trouve le navire ■1 H^-gles spéciales A certains navires. Les navires oui n appartenant pas à la marine militaire, ont àZrd des souverains étrangers ou des envoyés diplomatiques et oui IT, f^.’"^,’ !"™™’ affectés au service’de ces Lersonnes sont assimilés aux navires de guerre. Il en est do m ?mè des navires qui transportent des troupes, sous le comnîa , dément d’officiers do la marine militaire. ïl en es^^uu"-’ ment dos navires employés au service postal ; certaines

rsr, ;ro^rn !rt1^„l’ÎSr°"’«^»’^ reconnues^’par dOs^rJu^^^L^

dZt.’""’,""’ 'J" ’""■ ? " ^l’erre et de commerce en temps Xr/tZ 1 V’""’ '"" ’■'"" belligérant ou dansce^el LL^fvl"""- ^"^ principes du droit de la guerre et de la neutralité soumettent à des règles particulières l’entrée des navires dans les eaux étrangères ’"-"""^^ ’ ^°"^^ La condition juridique des navires, en temps de oair ei

de 1 Institut de droit international voté à Copenha-uo et à La Haye, en isin et en 1898. poun^o"" et

19M*T""® *"’"""’ ""’• ’"^"’ institué par saint Louis en en • Zf r ?r""’"'T ’1 P| ;in<^iP='"^^'>igneurs q" 1 prT lZ,J,fI, r croisade de Tunis, ii Ordrï appelé aussi en n«i ■^’^°" 1 -i’-'l’"»’"t<’s d, .Sa,nt-.-,coas créé sion H, ; c^^nT ’" ’■'" ’*" ’^■’P'"’^' Cl’a'-les de Duras.àî’occls on du couronnement de sa femme, la reine llirt ûentt

1 ?è4°Zsa"ntBasiîe’="l^"’,""’ ""’ «’-«"’ -lïuus à mvir» t’,- Basile. Sa décoration consistait en un

Ijav.re dor, suspendu à une chaîne formée de coquill^ès

jAlle^r<

!?,’•/• ^■" ’""•  """■a "lans la chapelle du roi do 

Hollande ot retourna à Pans, après la réunion de ce pavs à la l-raiicc. On lui doit différentes œuvres pour violon "et violoncelli.’. ’

Navotas ou Nabotas, ville d’Océanie, dans l’île do Mimir,.A • ! 1 ■’ ' ;i"liPP"ics au bord do la baie do manille. Ch.-l. lie pueblo ; 12.000 hab.

NAVRANCE [eranss) n. f. Chose navrante ; état d’une

pcrsuMiio navrée : Les faces impassiljles des Parisiens caiiieiii di-s angoisses, des joies, des navrances. {P. Adam.)

NAVRANT Irrai,), ANTE [rad. narrer] adj. Qui cause une vive afUiction : Un spectacle .navrant.

NAVBER(dol’anc. hautallom. imnu« ;allom,mod.nar6e, cicatrice) v. a. Aflliger profondément : Le spectacle des misères humaines .navre Idme. (Guizot.)

— Signifiait primitivement Blesser.

— Faire, ù la serpe, une ontaillo dans uno latte tordue ann ue la redresser.

NAVUCE imiss, n. f. Nom vulgaire de la moutarde.

NAW-MU n m. Arbre chinois dont le bois est incorruptiblt, et sert â la conslruction dos tombeaux impériaux.

tIAXIASIksi-ass) n. m. Pierre qu’on tirait de N’axes ou ivaxia et d Arménie, et dont les anciens se sorvaieat pour l.olir les pierres liiies. Il On dit aussi naxium.

I Naxien, ENNE ;ksi-in, in), personne néo à Naxos, ou qui habite 1 ,1e ou l’une des villes de ce nom. -Les Naxiens. Il On dit aussi Naxiote. - Adjectiv. : Productions naxiennes.

F^f^°^i- ^^° "" ’f**"^’ "« grecque de la mer de svi’^ f’"' ""portante du groupe des Cvdados.au S.-E. rL ïv^ ’■""■’• ’*■"* ’s ;!"""- carr. ; pop. 12.000 hab. enviroi ( ;<«,e„,,, ennes.) De forme à pou près circulaire (les anciens I avaient surnommée la Aonrfe [. Strongyle . ’l l’ilo est essentiolleraont montagneuse, avec plusieurs niass fs granitiques (mont Zia, 1.007 m.), counés de va""ées riantes r.ll^Zrtf,^"""’^"^- "S""' 8«nad,ers. oliviers, vgnes ! î^s .n-l^^’T^T" !’•' ’"" "^""^’^'^ «n émeri, soie vins, coton, huiles, bestiaux et peaux. Los carrières dô marbre blanc, jadis célèbres, no sont plus guère explokéos Villes principales : .aTos, capitale ; banormo, PoUmidès Apollona, Saint-Jean-Triangaia ; etc. ’^"’-'miats,

Naxos, habitée au xi- siècle par des Carions, reçut une

InTi’.VZTT : "u"’^'^ ■’"'•" ’"""""^ ■"• Andros ei Pares au VI ^leclc lut alliée, puis soumise à Athènes, et entra dans la confédération do Délos. La victoire d’.KgosPotamos la donna a„x Spartiates, et elle entra en mémo

S d ?)He„’i*’A*"’. ''i" ’"'"P’ ?" ’■"’"="-• P’"' dans l’em ii^"i^ n V ^^’"'^ ’a.Priso do Coustantinople par les Zvtl’- "«,’."™a avec les îles voisines un duché^assal fian^ f^«« ; dÇ’onu par les maisons de Sanudo et de Crispe in.I’ ! h ■",■•■ ’o :''P< ;"snie fit accepter à ses baCitants la domination du sultan Sélim II. Après la guerre de 1 Indépendance, elle devint, avec Pares, Antiparos, Strafeylo, Pantro, etc., une éparchie du nome des Cyclades.

, Najcos, ville de Grèce, dans l’île homonyme dont ollo est J agglomération principale, à l’extrémité nord -ouest do la plaine de Livadie ; 2.800 h. environ. Petit port assez actif. Restes du palais des anciens ducs de IWrchipel, détruit en 1535

par le corsaire Barberousse. Résidence d’un métroDoli tam grec et d’un archevêque catholique. ’«etropoli

Naxos. ville grecque de Sicile, fondée par des Chai

ci’e^r :t"q ;l’o^ ’^"^ " ’^^ ^^--^ ^ --^^<^-^’t^^^l

l’on fixe à la II* olympiade (736 av. J.-C). Elle s’élevait non loin do l’emplacement actuel du petit village do Schisso. Denys de Syracuse détruisit la ville en 366, et

ses habitants durent se réfugier sur le mont Tauros et v batir Tauromeuiuni. V. Taou.mixe. ^auiu» oi y

usHé T-hez"* ! ’"'^° "■ ™- I"^f«n«’nt do musique à vont, peuples orientaux ,

Monnaie de Naxos (Archipel).

Télradrachme de Naxos (Sicile). ;

tiFX-nii.r.it— ,ir-

SE

Il éla.l un petit na--vi— re. Il é-la,t

peu na --vi-re Qu, n’avait ja-ja-ja- mais

Nay.

na-vi-guèpu, n’avait ja-ja-ja-mals navl-gûé"

< ;.ah^*I ??^v^f (Guillaume-Julien, dit), musicien franchès’t ? e diwLZ •"■. ? ’f ’ n.>ortà Parisen Isii. Chef d’orfa Ci éitécritt.K 1 ’^^"’"^"^"î («3), puis du théâtre de ou ,e(„„1-^"r’/* ’" musique de divers ouvrages ; VOrane ’-'« ou*"e* roiiLP’f r’"" !" (’" ?3) ; fe. HoTmeurs fun’èle lombcau des sans-culottes, drame lyrique

VI.

et particulièrement en Egypte.

— Encycl. Le n«y est une sorte de flûte, formée d’un simple tuyau de roseau percé de sept ""’•"eo a un

trous : SIX d’un côté, un seul de " tre. L’extrémité du tuyau, servai bouche, est faite de "corne, et vent mobile. —

’N'av „i 1 j j Etendue du nay.

JN AY, ch.-l. de deux cantons ( Basse. s-Pyrenées’i arrond. et à 18 kiloiu. de Pau. sur le Gave de t-au ; 3.670 hab. Fabrique de bérets, de ceintures et de tricots de laine. Eglise du xv siècle. Maison de la reine Jeanne d Albret. - Le canton de l’Est a 15 comm. et IS.oil hab. : celui de 1 Ouest lo comm. et 18.772 hab.

NA’JTA (na-ia — mot ar., signif. frère) n. m. Nom que les Kabyles donnent à ceux avec qui ils ont contracté uno alliance intime et indissoluble.

NA’irAGARB, petite principauté radjpoute de l’Inde orientale ^Orlssal, au S. du cours inférieur du Mahanadî entre le Khandpara au N., le Ranpour â l’E., le Daspallà à 1 O. Superl. 1.523 kilom. carr. ; pop. 114.620 hab.

Nayarit, nom d’un ancien pays du Mexique, compris

NAVIRE - .NAZIRÉAT

dan^Tif iII’h^ Ï" ’"• ^"^î""’ '^’^'""’ de matières étrangères, dans un lit d ardoise, ii Veine supérieure de houille.

....■"^^^^^^ <’=",’■ •’^'"=’"••«’1. rhéteur gallo-romain du

u atTribuo"n, ? /" "" "■*■ ^"" ;»r"/"^ rff <’o„S, ?; ’n lui attribue un Paneg,jri,,ue de la victoire de Constantin sur Maxence (313). .Sa fille l’égalait, d.t-on, en élo<iu","cé NAZARÉATn. m. Hist. hcbr. V. nazieéat.

re^if*^*"^^",’ ^""^ ’"*■’■'•’ "’■'■ personne néo à Nazareth, ou qui habite ce pays. - Le, Nazarkuss.

— ^uriiom donne à Jésus par les juifs

— Adjectiv. : Ugende .vazarkknsk. „ "a ,, ’"t- •*■"’ "’c nar-aréenne, Ecole moderne de neinturo %lho„T^r’ '■<’P™^«ntce par Overbeck, Schadow Voit fo SaTisiï„rn’"ér ""’ f’"'-’èrent à Rome la Confrérie uo San Isidoro, et qm, par un efTort comparable à celui Jf P’^,’ :'"apl’aéliies en Angleterre, tentèrent de fa^ro re vivre 1 Idéalisme naïf des peintres italiens dos i^v- et xv siècle.s (f.iolto Kra Angelico, Pérugin, etc „ t„mh^» I"*’" ^ ^^’ '°’" donné aux premiers chrétiens Il Membre d uno secte chrétienne de Jérusalem oui alliaii

lo inosaïsme ù la doctrine évangélique. forienpieuô aussi NAZARR1STK.S.) » Se dit encorl, p2ur naz ?rÊkn. ’^'^ „7 ■'"^^- ■ ’*'• """p’ L" nom de .azarMn était dans L°l ?’"1P.7"’"'," ^if’lcs de notre ère, employé à kfoU SÔnJ ,,J ^^’ "S’i" <=iir,’5tiens. Les premiers s’en servaient pour désigner Jésus-Christ lui même et, en général, tous

fudéV’c'hrv^"""’™ ’"'■,’- ?" ""^""d’ lappliquaien Vdës ÂI,. ; ’"■"’ """"^ éloignés de l’ortliodjxie que les

Pères lu n^^x "’ ; "T."-’^"’- ’""’ "i^ P^’ '«^ P’o°>i"S j-oros au nombre des hérétiques.

NAZARÉISME (rrf-w.,m’) n. m. Doctrine des nazaréens ou nazaréistes. V. nazaréen.

NAZABÉISTE n. m. Hist. relig. V. nazaeée.v.

for’îi^.^^T >'" 7 ’■i" ’"V, ""/■"• """■• par assimilation de lorme avec lo nom de la ville de .azaretli) n. m. Pop. Nez.

Nazareth ou En-nacira ou Nasra, ville de la Turquie d’Asio (Palestine), dans la Galilée kuN de a plane dEsdraolon, et à la source d’un polit affluent du Nahr-el-Mokrat ; 7.50o hab. environ, musulmans grocsorthodoxes grecs-un.s, latins, maronites et mémo protestants répartis on trois quartiers principaux. Evéché bit e’fni’ ?’" ^r’=" ’^•athodralode l’Anionciation (xvi,. s), menl ^"’"^"’Plfcemont d’une basilique édifiée ancienno-U vi i"^ limpératrice d’Orient Hélène. Les environs do la ville produisent 1 huile. le vin, un tabac renommé.

i>azareth a du tonte son importance aux souvenirs reli-S ^^h’"' ;^"’" ",""’ '^■’■" C« fnt "n effet, jusqu’au baptême do Jésus, a résidence de la Sainte fàmilli, et on y montre encore la maison de Josei.h. Au temps des croisa-ScvVb ^^f r^’^u"’ " Nazareth "le siège de^évécM do

e,7i25o’^ K /"■.""iP"-^^"’ ?"’ """ ’^'^ï-t néanmoins, en 1250, la visite de saint Louis, avant d’être détruite

lo fh^r» ," T’^ ; P" ’" ’""dan d’Egypte Bibars Boii^ doukhar. Relovée de ses ruines par des moines franciscains, â la fin du XVI,. siècle, elle a bénéficié depurs ?ors

Fi T7r" ;i,7,’","",’ ?""r *" ’" population ch/étienne. Ku 1799, Junot et Murât battirent dans les environs uno petite armée turque. - Le peintre Gros a reprodui Ue tomhat de Aa.-amA (1803) [Musée de Nantes). ^

Nazareth (coxorkoations et associations de). On en 3^ ^ 11""* Prjnc’Pales : f les Dames de Nazareth, instinin ^l’J ^’"""f. ? « "n 18-20. Elles font dos vœux, mais ne portent pas 1 habit religieux ; elles se vouent à l’éducation des pentes filles pauvres et à l’assistance des cnfanis abandonnes) ; 2- la Société des dames de .azareth, fondée Muî rIm’ ? ; ?" !>" ;;• P="’ '^ duchesse de Doudeauville, ri^ ■ ] "’ "’ '° ^ **"*-’"• J’^'"’" fEllo a pour but la direction des pensionnats déjeunes filles. Cette congrégation possède une maison à Nazareth, en Galilée, depuis 1853 i- .o’ ?' *"," ? " ’" ^"’"'e famille de Nazarelh. établi© rt"J !c A ."n " d’ocèse de Toulouse, pour la direction des écoles de filles. [La maison mère est au Plan [Haute-Garonnel ; le costume consiste en uno large robe noire avec col de toi’/e r ’=""’""’■• "no "^O’^e blanche et un petit

r^.^^f^f^J"’,, "’""’• de Belgique (Flandre-Orient.

[arroi.d. de Gaadl) ; 4.913 hab. Dentelles, tabac.

Nazareth, ville des Etats-Unis du Brésil (Etat do Pernambuco) ; 15.000 hab. Industrie sucrière. «" ""

Nazareth, yille du Brésil (Etat de Bahia), sur lo Jaguaripe ; 8.000 hab. Commerce de manioc.

NAZARIEN (ri-iul n. m. .Membre d’une secte mahométane, qui croit que Dieu s’est uni corporellement à Ali.

1 „^*^^’- ’■l-" " ^lo^’ino (Ktat de Durango), sur les bords du no .^azas ; 6.525 hab. Mines d’argent.

Nazas, torrent du Mexique, descendant de la sierra M.idie. arrosant une vallée de l’Etat de Durango et se jetant dans la lagune del Muerto (Etat de Coahuila) ; 600 Êilon !:

NAZE n. f. Se dit pour nasse, dans certaines provinces.

NAZEL n. m. Archéol. Syn. de nasal.

^.,^^^^^% : "’""■"■ d’Indre-et-Loire, arrond. et à .0 kilom. <le Tours, au-dessus de la Cisso, affluent do la Loire ; 1.211 hab. Vins blancs.

Nazianze, ancienne ville de l’Asie Mineure (Cappadocei, patrie de saint Grégoire de Nazianze. NAZIE n. f. Bot. Syn. de lappago ou bardanettk. I na^f^j"^"^ "■ f- Pê'='>. Lieu où l’on tend des nazes ou

"i^^^^, " ; i ?’ '" ?"’■ souveraine de Perse, il A Constanti-

I nople. Chef d un département ministériel, n Fonctionnaire

musulman, dont le rôle répond à peu près à celui de "ou-

vcrneur d’un grand district, ii Dans l’inde. Présent que

I on est tenu de faire aux personnes chez qui l’on se rend en visite, et que les courtisans faisaient chaque matin à leur souverain. — En Judée, on appelait nazir celui ou celle qui avait été l’objet de la consécration dite naziréat.

NAZIREAT (ré-a) n. m. Condition de nazirécn ou nazir.

II Temps pendant lequel ou restait dans cette condition. (On dit aussi nazark.t.)

— Encycl. D’après la loi do Moïse (jVomires, VJ, i-an, un Israélite pouvait se consacrer à Dieu pour une période dont il fi.xait lui-même la durée. Cette consécration était appelée ;ia :iréa/,et l’homme ou la femme qui en avait été

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