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NŒUD _ iOGARET

1>8. bur le peut doigt. - 59. Sur le pouce. - 60. Sur le pouce (î- temps)^ »"»< :" »"« >><»" :’« demplle » reitrtmité d’une ligne flie -

La corJe entière rend un son principal, et .ses parties des

Z ? %iZ^’"""’, ’^"’ "’ ""’""’ "^«"^ ’« Promieret e ren fient. Si les nœuds partagent la corde en n parties égales e son secondaire correspond à un nombre de vibrftiôos .fois plus grand que le son principal. Pour produire ar .flciellement des nœuds dans une corde vibran o on peut a d.v.ser, par la tranche d’un chevalet, au „ ème de sa longueur et mettre la plus petite partie en vibration la pb.s grande se partage spomanémont en (n - i) parties présentant (« _ 2) nœuds oquid.stants. L’immoh 1 té près ■me absolue de ces nœuds elt mise en évide™™ au moyen

tandis que, placés on tous autres points, ils seraient im mediatoment renverses. l’omis, us seraient im-

.„"T ’^'fl"’^ ." "''•*" "ftides vibrantes. Les vertres nrésenten les mêmes phénomènes de partage queles cordes co^nSel’îl if^T ™«/"^f«=«, plane hofizo’nTalt on ptut surface du si^lfirir ’ !,"«"’J' "^ répandant sur cette sunaco au sable nn, qui demeure aux points nodmv nn

tlT "" ’="^° « ""-^ ’°^ autres.’^On déto m"„i des dïn chevalelT’fr "h’""’" "" ’^ ’*'"^" parla tranebe

Ln "enTrf do sort"" ’" ^’T ’""’ ""--ai^emen’t^on ,ër un ventre, do sorte que, si Ion veut obtenir (h — n nœuds par exemple, ,1 faut diviser la verge en 2« + Y par ies

SnlPirtf^d’u „° ?1"’ * lexiémité’de+la’srcrd : Àr j ^.partir du point d encastrement. lyœucls des lames vibranles. Les lienes nod-ilns Ho<, l,m»o

vI"Z°ImI o"’"'"’"^ ^°"’ "’-'I"™"-" lèu s’fu fa"e fiS.= n ■ ^’" ^^ accumule. Ici ce sont des li.’nes en nî„ 1^"’ ■ ;’"""" immobiles ; ce sont des lignes nodales EhL^ P’".^" !"’ circulaires frottées sur furs tranches ail. °"’"'^’. "o" ’0 P’"5 ^«^-«nt des diamètres don ; la direction ne dépend que de la position du point où l’é

mais q°urtènd :n’, ff"".’- ’"^^"i""’^ ’=""« "s^hom^gène ; ^laqurèffre des li ?r ^"■"’î'"’"^ déterminées lorsque là

Sr ;si^a=ro-si^ïi^^,-tis^-

do mêmédans Tl^uHfHr P'^P°°<i«’-a'>'- " "en sera pas ome aans I étude des comètes ou par rapport à nous,

VI.

ffn,nn^, """"™<" ’l" ’» ’""e. Pour donuor une idée de 1 importance do ces influences, nous prendrons l’action de Jupiter sur une petite planète située à la distance 2,3 .-

e pôle do 1 orbite, et par conséquent le nœud, tounie d un mouvement tiniformo autour de celui do Jupiter, de façon que la révolution s’effectue en c.ooo ans Pour la

une, en même temps que se modifie l’obliquité do l’orbite, les nœuds ou la ligne des nœuds se .léplace d’un mouvement rétrograde, dont Tycho-Brahé avait donné une explication géométrique à laide d’une nutation, d’un

^.^iMrH ?" !" ■’ ? ’""^ ’^ i-otation. Une révolution complète de la ligne des nœuds s’effectue en 18 ans 2/3 avec un mouvement non entièrement uniforme et troublé par une petite oscillation périodique. r,~ ?.’^'"* ;. "’ ?"> arUcuIation (en parlant des végétauxl Dans 1 a,’/,c«/a(,„„, il y a solution de continuité & fibres qui ne sont qu apposées ; dans le nœud, les éléments organiques se continuent en se confondant.

t5^Î^’* '.™.r’"'V "■•dre militaire fondé par Louis do Tarente, roi de Nap es, en 1352, le jour de son mariage aiec Jeanne de ISaples. Cet ordre comprit soixante chevaliers, napolitains ou français ; leur insigne était un cordon ouvrage d or, de perles et de piorreSes. avec des nieuds rouges. Le pape Clément VI confirma cette institution, qui ne survécut pas d’ailleurs à son fondateur.

Nœux (CANAL DE) ou DE BouRG, branche du canal d Aire à la Basseo (bassin de lEscaut). Il a le même mouillage que celui-ci : 2 mètres, avec I",80 d’enfoncement. Longueur 2.1100 mètres Il communique avec les houillères de Nœux’ Mouvement très actif.

Nœux-les-mines, comm. du Pas-de-

Calais, arrond. et à 6 kilom. de Béthune, sur i"u°„af^"°°’ *’" ’a Lvs ; 7.771 hab. Mines de houille. Brasseries, distilleries.

NOFIRTOUMOU ou NOFRÉTOUM, nom

dun dieu égyptien, originaire de la basse Egypte, et qui paraît avoir été au début le fils de la déesse à tête de chatte Bastît, on à tête de lionne .Sakbrit, ce qui fait qu’il est assez souvent représenté lui-même avec une tête de lion. Il fut d’abord, ainsi que son nom 1 indique, une incarnation de l’Atoumou d Heliopolis, un Atouniou rajeuni ; on l’aftilia par la suite au Phtah de Memphis, quand ce dieu devint le mari de sa mère à tête de chatte ou de lionne, et il fut, avant Imouthês le dieu-flls de la triade mcmphite. Sa forme’ ordinaire est celle d’un homme armé du sabre recourbé et qui porte sur la tête une fleur de lotus épanouie, d’où jaillit une ti^e cornée ; il est représenté souvent debout sur un lion couché. NOPRIT reine d’Eg.ypte, femme d’Ousinasen II de la -I> dynastie. Elle avait consacré dans le grand Temple

Nofrit.

pnJt ^’"  ?"’ """"S donnons la reproduction,

niic.» Ht ?^^^°" °°"’ "’ P""*- ’» ’""■■do perruque de la déesse Hâthor ; ses yen.v étaient jadis incrustés. Un pectoral, au nom de son mari, couvre la naissance du cou et le plat de la poitrine comme pour montrer que les artistes egyptienssojouaient des matières les plus dures et ne reculaient pas devant la difiiculté d y graver les détails les plus ténus.

NOOAGDS (phuss) n. m. Genre de crustacés copépodes, de la famille des caligides, et dont l’espèce tvpe inoganus Laireilli ) vit sur les côtes "d Afrique.

NOGAÏQUE (li’) n. et adj. Se dit d’un Idiome qui appartient au groupe turc des langues ouralo-altaïqucs. Il est parlé par 50.000 individus environ. Cet idiome est très rapproché de celui des Kirghiz et des Karakalpakes.

NOGAÏS, population d’origine tatare qui, à la fin du xiif siècle, a fondé un grand empire sur les bords de la mer >oire. — Un, fne NoG»r.

— Encycl. Depuis 1783, les A’ogaJs sont tributaires de la Russie. Ils sont au

?rimêe ’IfA^^T’ ^^"^ ’* ’"<’ <’" ’^ P^-V^. notamment en 

Crimée, et dans les steppes qm s’étendent du Volga au Cau-

P«i, ?„1V°"r =""' ?" •*« «■""’« <" en Turquie. ^. ; ,1 , ’ ^^ coloraiion foncée, les Nogaïs purs orfrent des traits mongoliques ; mais, chez belucoup, le t™e pnmitu a été fortement altéré par des croisements et on en voit qui présentent un nez droit ou aquilin et des veux parfaitement horizontaux. Intelligents, sérieux, hospitaliers. Ils servent volontiers, en Asie centrale, d’intermédiaires entre les Russes et les populations locales, mais Is ne se montrent pas toujours d’Une honnêteté scrupuleuse. Ils aiment la vie nomade, sous la tente- il en est cependant, qui se construisent de petites maisons basses en argile avec un toit plat, et qui deviennent sédentaires et agriculteurs. Dans toutes leurs tribus, on rencontre une noblesse héréditaire. Beaucoup professent l’islamisme.

NOGAÏSK, ville de la Russie d’Europe (gonv. de Tanride , non loin do la mer d’Azov ; 4.000 liab.

NoGALES, comm. d’Espagne (Galice (prov. de Lugol)dans les montagnes d’où descend la Navia ; 4.600 hab.

NoGARA, comm. d’Italie (Vénétie [prov. de Véronel) :

4..’iS9 hab. ■■

Nogaret ; (Guillaume de), légiste et homme d’Etat, ne d une famille toulousaine vers le milieu du xill’ siècle, mort en 1313. Ses ennemis l’accusèrent doiro petit-fils d’un patarin. Professeur de droit à Montpellier, en 1291, juge-mage en la sénéchaussée de Beaucaire, en 1294, membre de la cour du roi à dater de 1296, et prenant une

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