\\l'\' ritiii'mi' _ WERTIIFÏR
v .‘I' >lr‘ ‘ lil‘ll .Il-< 1| 1" ‘ - in“. .i. 1 H t'” 1 ‘1‘ll'.lnl \ .1 . .r. M 1-s- .1 r_ t'i,1i' un
‘t'll’ll: i
- r' i v- v -' ’1' "‘r. FJIII-Il.’ i. t. l 1 1. i .s '
“in n nl‘ It'—TOU mei-rcunou. 1.1:" tu i‘imm A i . J .«i -I in". sur lu‘vlil.qirt' .lti
il 's i ' il i' ' w “t i-i » .imincrvu i‘lfnllgr‘l' WI’UY‘WOIYN. 1 H "l I mil. prnv iltlutarin . a “a > M -1 l‘t a. " .u fi i mi 1.5l. i'li.-l. Ilill'lulnn
Won-morne 1x 1;: 1 Stunhmh
Warrant l'har'r- l"ri‘rlorir "lllllllllf‘ allemand. ni" il {mu » m. ni. me’f A l-‘rri’wr; en [tu] Il vo_\a.;i‘u :111 nm li l umm- nievn -1uu "llJmIIl'N‘n tl \lllllt'\'il.'\ll|. vu n rmwir'u en \lÏPlll1gliI‘.lNl Il Mi‘rça la mmlrrinn. .n 1:4 I, lelrvtriir In Sue lilillwll A na vnnr en qualili‘ .la premier melri'in et l-v Iii‘v 'teiir vlvs Iiiiui'l il“ l"rt‘yv t‘a-r; l’anni 1M iiuvrig—n de \\I‘lIUr‘l. ll‘ Il‘lll peul-(Nm on cuit coran- cuntulio est son ri-i'uml \ll‘ [trqu Iur l ill- la”! Ju ami-i . i'i-tt dana ri- litre qu'il a .bmintré .1 tim- façon remarquable le priiii'llin des pro- i-irtmu- 14 mi 'u ri "Ll‘lll la l-Il qui porte son nom.
7 [.4 i. \\ v-;r' \ .nnua
Wanu. 1.x pull . compositeur d'origine tchèque. “A a \r_».n nn lut. naturalne Français en lläî‘. Violo— I mm», .‘tief lurv'lioslrn dam dureront: théâtres et ron- rartq. il a rnnipou de. mélodies: lr I'rlif lllcu et lr I'nxii ÏIQ .44 "rififi-lut." la cantate France cf ltnlir (tsar); in ûpûm la l'Aær-ilirr .vnpvfll .lloutfes. test); la. qunn .4. u rvun .iiniie. la“ . le ballet la Cour d’Amour iitiii- rt ‘laotr—s Muet; représentés en Angleterre : . onir- 4 Anale. .ïmu un "Il ilmpmii. .\'olrv roumain. etc.
wm' Etiennw. homme d'Etat hongrois. ni‘ vers me. mon en un. Juge mpn‘me. membre influent dos dIOWÇ, 1l fut nomme palatin en 15:3. :\-l\'(‘l"nlll'0 irrécou— riluhle Je la maison de llaluhonrg. ll joli] un rûio pré- nombril“ aprm la victoire de Soliman le Magnifique a
"Mes ISIU. l"e-t. en edet. sur sa proposition quo Jean lapolvu lot proclamé roi «le llongrie 15:6) et que la poli— “1'10 hongroise frit orientée vers l'alliance turque. Après la mon In hwlyai 1500 .\\'vrboay demeura le conseiller du n veuve Isabelle. illle de Sinsmond de Polognn; il eut nnl' grande part a la remise i e llnile aux Turcs 1‘ 1561) Il fut Minute. le sultan. )u e supréme des 'usti- fiables de: tribunaux ottomans. .\ ais il exi‘ita de ortes ont-mies cbel les allies et fut emprisonne par ordre du parti. il- Huile. Werhony est surtout célèbre ar le véri— tel-le monument de la légulalion hengrotse u il a édifié: Triwlilnni upu jlfll tounludtnarii incly I rcgni' [lun- ganl BU).
wnflm. 00mm. de Belgique fprov. de Brabant
arninul -lo lointain, . au confluent du Denier avec la l‘ylo; l ll‘ lul-
Wncuut. n'omm. de Boutique >Flandrc—Orc1dentale lamm 1. de flumu‘le 1. 1.5!: bah. Cordages.
Wmao. 'lll" d'Allcmagne «rov. de Saxe icorcle de lui/han . sur la Pleine. IÎJM hab. lndustne textile.
Wranu-ut-naa-nnnn. ville d'.\llcn1agne (Prusse j'use] il» lmuel'lorf 1. sur la Rulir; 9.500 ha '. Fabriques a 'lnp, nuage de la lame.
Wanu, ville .1 Nia-maque Prnsse 'présid. de Pots- dam . mr une Ili- du la "aval, d'un hah.
WBDIR minute. t'nm'tt' mu. général prussien. né a Ëi‘hlimsirrg l'mtav nrmvitalm en 1ms. mort au château .1. imite... pros -ln Heluarrl. en lit-17. Il insista comme volontaire a la campagne il!“ Russes dans le Cancan. en 1H} un Linotnium gmmnl en Ilññ. il reçut en 11170 le i-ummaninmnni du ruq.‘ il llt\‘l‘l!1\lfllnl‘n( do Strasbourg a: mm l. vil n lia-g" mi—innruhli— nier. plus du décision qxn iiumaniw “un la rapitulatmn, Il reçut le com-
6
m... mimi lu lt' r nm. cuir: en Ffi'lnf'lli“("|mlù en '.' .u.»;r i li p.1. .-i combattit in lii'lll corps vie trou-
p‘ w 11‘ a pu marin.“ h \ la tunnel!" de l nrrn'l'm il"
. n 1. .i ‘il|'il rn n-vmizn \"‘l‘l ili-H‘uri. rut haitu n
i ur- z unv mais rennu à Ilonrliaks dans ses - ‘ ‘ -1r Vll'ffl‘. il rnnitnatiila Jusqu'en
w > t iv .irlu'nne
‘ WENV'UIIL 13- . \..nniugtie l‘rll\ll\ ‘priwiil.
. .
... .-. i... nu)- Furg-‘n et ai'ii-rii-s
wrurrmt't . 111J \e dit v1 nn Nage - n H 5- "‘Ifl‘ ilu svvtnme ‘ ‘ ' "t 3:. twin nuleui's r1 Ii‘ . .
i.
Kri . . . lAlll e. l l 7‘ l \ - 'l lll 01 Â I1 i | I i 1 v - imt in ., l‘ ...., v. .1 ,. .421 \I - w ,vi- u- l" “m. v 1-" nue ;" 'a ir m‘t i '1' .v ‘ l aH-n. Un“. {un {m g ' u 1‘ 1
chotuao "mir. i. ,1 y t tIi: - Annuml In l! s tut-:1 .l‘ . . .. v
-l in: i i llf'nlllliil il in n: ni 1
drimi' immune Ui' 14," Î... . nyvitn 1» '41"! ‘1ri;-irt. m. ilratno .i V1 ' r aniin u-i p n nm par) »\ /.i I nain . ‘ il yl'Cl r ni. . .ln il reçut. Ï-IVIJ-qul v -'i11' 1 n 1 1 . plus ÏV‘HIIF1HIIIIF. mm 1|“ in: irvi mini il «- pli-r de 11m, le r'hlf'lpldn de l.) rationalitn viiirvvt'n'w
et desnmuv‘ vertu lln" vm .iutirn. en llulte mit prvrv'r' - iivme le l ailrninustratmn tviealmu- llan-rnpm en 11:11-, inu— peminvi olîertn [grt'haylo—sJean.par.1it rapivlrmrni m i-u. P'lll'irl". n.- nom-n ile un anciens :irni- par ‘In n ruelles ulir‘s. ilev-nl tain tllfl‘v‘lfinf du ur-'lii\r| nurvflomnnm Pendant planeurs anam. ll louul‘l‘ une vigoureuse cam-
“1..
i nm.-
i
. .:.«v,.i in -‘f'Ui' di- ltljillll‘ on faveur des juifs . .. . . . J... .-i-: . 1.: Jllt" inii ll‘uuxœ‘ll‘lo' .. . .. .i h'l‘,‘ v.l l-Illilu' Il .‘i lame des drames . 1 n 11.1"! Il une lllhllll‘üllull ilelicnte et pou-u du lurnu'; parnii son meilleures
un. . i. t. un v .in Ilill't‘t'lll/l'. Ir liiiiii/iicl de Jan l u ,‘l n—n l hum: Initrmlir/iii'r; Mt'. “'Eflnl L0 r mon lll‘ liilli-ni. ira/w. défense. et
i . ‘ 1mn pie. liidoiiiiiiii- que l'iinti-nr d‘un fait dum- .‘ n ]I|_\ nil fi ln "Il'llllll‘ lle t’t‘ luit iill aux ayants ,uiir w soustraire A la vengeance privée.
i hl Le montant du Il't‘l'yl'lll variait selon la con- I ..... .1.‘ In \ii'llllll‘; on Il‘llnll l'unlplü illl sexe. ilo l' e. .- i.l rare. de ln l'onction. du ilcgrtl llt' liberté. Dans 08
luis linrlinrt‘s. de iiomhri-iix articles sont consacrés a ces
ill'il't. la ltll itomheite naiitorisait pas la composition en
«rude meurtre. Le itvsti-nie des compositions se déve-
loppa sous l'influence ile l‘l'îgliso et devnit le droit commun.
Watt]... \’llll‘ d'Allemngne (Prusse [préau]. d‘Arnsbergj). .1 la source du Salahach; 5.500 hab. Salines.
Wanulor (MALADIE DK). Le purpura hémorragique.
Wnnummcaau. ville d'Allemagne (Prusso [ ré- SlIl. de [lusaeldorl‘ihaur un potitaftluentdu Rhin;13.500 iab. Fahrication de tissus.
WBRNDL (FUSIL). Nom de la première arme a char- gement par la culasse. adoptée par l'armée autrichienne en “167. puis modifiée en 187A.
— n. ni. : L'n wsaan.
meS. village d'Allomagne (Prusse [présitL d'Arns- bergn. il la source d'un tributaire de la Blenne; 8.500 hnb. Mines de houille. Métallurgie.
WERNBR (Joseph). peintre et miniaturiste suisse. né ut mort a Berne (16117-1710). Il fut appelé à Versailles par Lotus XIV. dont il lit plusieurs fais le portrait. se lia «l'amitié avec le poéte Quinault et pei il. pour lui deàpe- lites toiles charmantes. parmi lest uel es on cite : les u- ru. Iliune. Flore. la Mort de Diion, etc. Louis XIV lui avait donné le titre de - peintre du roi - ; mais les intri— gues de Le Brun provoquèrent. son départ.
WBRKBR Abraham Gottlob). minéraloniste allemand. né a Wehraufi lautc—Lusaee)cn1150. mortàîkesdc en 1817. Professeur a 'école des mines de Freybcrg. en Saxe (1709). il est célèbre par son ouvrage sur les Cm'aclèrea (les mi— m‘mux. qui fait époque dans l'histoire de la minéralogie.
arce qn il introduisit dans cette science une méthode qui l.ll manquait.
WBRNBR (Frédéric—Louis-Zacharie). auteur dramati- que nllcniand. né à Kœnigshurg en 1768. mort a Vienne en 1823. Après une jeunesse orageuse. il accepta pour vivre une tri-s modeste place dans l'administration prus— sienne on Pologne. puis devint secrétaire du ministre Schriotler. à Berlin (1803). L'échec de sa pièce. les Fils de la ealldc. 1e dégoùta de Borlin ct. dès lors. il mena une vie errante z on le trouve tour à tour a Vienne. à Weimar. en Suisse. en Italie. A Rome. il se convertit au catholicisme
11110). puis entra au séminaire d'Ascliafl'enhonrg et reçut es ordres. A Vienne. ou il s'établit ensuite. il obtint un grand succès connue prédicateur. Déssajeunosse. il avait montre titi goût très vif pour le théâtre. Nommons, parmi ses œuvres: le l"ilii de la vallée petit-1803). drame en douze actes. divisé en deux parties : es Tem li'crs à Ch pre et [ri Frère: de lit Croix; la Croix sur les orils de la l altique (1800). dont le ersonnage principal est un spectre; Merlin Lui/{cr ou la (,onu’rraliun de la orce (1807). ot'- l'auteur a ii-nu titi peu en bride son (peut u macabre et du surna— turi-l; Alti'la (1803 : Won Il. reine des Sarm m (1810); suinte t‘um‘yonile 1815); hi Mère des Miicclin t‘es (1820); i-niin. une ieco en un acte. le Vingl-qunlre février (1810). prulnlypo i u drnmo fataliste en Allemagne.
WERNBR (Charles). peintre allemand. né à Woimnr en isoa. mort à Leipzig en 1301. Il commença ses études en IS‘M a l'académie de Leipzi". sous la direction de Sclinnrr. et. en 1828. se rendit à hïunich. Il partit en 1833 pnur I‘ltalie. on il séjourna jusqu'en 11153 et u'il explore dans toutes les directions. ainsi que la Sici e. ll visita ensuite l'lispagne et en rapporta. entre autres œuvres. une magnifique aquarelle représentant la Cour des Lions l’t l'.lllmmbm. En 1862. il partit pour l'Orient. parcourut l'ligypte. la Syrie et la Palestine. et y recueillit une ample moisson d'esquisses. i ni lni ont surtout servi à publier un grand ont-rago- illnslr :Jfirwmlem et ln Terre suinte (lEGG- 14437). En lsnî. il entreprit un nouveau grand voyage. consacre principalement a visiter les pays du Ni]. tes aquarelles sont remarquables par l'éclat et la force du l "loris.
Wammn if'horles;. historien allemand. né à llafner- lllll'll llusso-Àulrll‘lln) on 1x21. mort a Vienne en 1888. ll prot’i-ssn a l'université de Vienne a partir de 11170 et devmt. en lui. conseiller au ministère des cultes et de l'instruc— lllill publique. Nous citernes de lui :S‘ninl Thomin d'Aqiii'n rua" ; Iliituire ile la littérature npuloyt‘lique et olémt‘r/uc ilr l‘l ilw’ulnqic rhrérirnnc (11161-1807); Hiuoirc e la Ilie'o- l/..,i.' nilIiulii/iic ilrpuir le concile de Trente (181117) ; Syulènie .i 4 Ilu w r/irr‘lii'nne 1181114): Alcui'n cl non nidclcllaîé); Ger- Iœr/ i '.\nrillur, l'lz'gliiz et In Science de son lenipt (18711); I i vulnihilur ilr lu fin du moyen ili/e Vlan-11187); la Philo— ...pim- 1/..I.r.inn .Iu xix' m-rlc 1831—1586);otc.
i . n :1 ni. liane In droit germanique et en France
thmn lihsahi-th Bunsrnxnisnna. connue sous le i‘wu lHlI}!Il|‘ du E. . rnmnnnere allemande. née à Berlin n .1 1- 1- 15.1111 se lll connnitro en publiant dans la Charmilic 4 ...wul:iulm . des romans qui se distinguent par un réel i“ .r l: rumeur t'l un dialogue vif et souvent s irituel. l 1- ) v ..I.'lll'.l(ll‘ soit œuvres sont: un Ili‘ron iIe n lume .- . .' Ilrnnrmn : .1 l'iiulrl; l‘hnfnrs brun-5115751; linclln l' mir un liant pré: «1mn; l'ËI/lllll! (188|); Exilé cf
in: . nt uim comédie : Superalifion.
VJ‘l'FlNER \i.1n-iiw-\le.tantlrc mi. peintre allemand.
i ‘ «litvl nilnr on 194:1. ll duimin en illustrant Srhnifnl. cl se rendit ensuite à Paris. H . 1 1. . d‘un! pour le l"rmilmmiu et les I’Mu- . I A. H ,. u. . .lo srlii-ifnliinoî..l'-Inlta'lio11868 a
.‘H ir‘ '.
l“ 'w 'r 1‘ I' urnprllr ilc SrrkinI/rn. du même au- 'Wr ‘ - » n'w. 1-1r le mnsl-e de Kit-l. de peindre "’“W' “I I \\"l'1|“l' :illa rejoindre le quartier 81‘“me . inw ullumaiule ol resta en France jusqu'à la
‘ trevou- un dénouement fatal. Enfin. Werther parti, a
ÏS :ï
lin des hostilités. En un. il fut nommé professeur et n lire du l'académie ilo Berlin: en tan. directeur de la u académie. Peintre oftlciol de la cour. Werner a exécuté une série du compositions lii-ioriquea. d'un aspect décoratif. mais froid; ce sont: la Praclniiialiuli de l'empire il Ferraille: 51877 [clilitenu royal de Borlinl; e elil-Miirt‘rlnil de .llollke i1 butinant: frise en mo— aalque représentant le: Agu ilc la oie (maison Pringslieim. n Ber- lin): Luth" dam Ifl famille; la l"cola ; Lutte et unification de l'Al- lemnpnc; etc.
wmtuu‘ra (uér') u. 1'. Nom 1’
v.
or lequel on désigne en minéra- ogie un genre de minéraux et une espèce minérale.
— Excvcn. Le nre mernérilc comprend des silicates d'origine métamorphique ayant pour forme primitive le même prisme quadra- tique. avec pro riétés optiques pres ue semb ah es. On a parfois grou loa wernéri sous es noms do acapoli'tec et de parent net. Les - ‘ _ ï pales espèces de ce euro sont: ieernérile, méiont'te, i ' comëmnite, human li'li'lc, wollmlonile, etc.
L'espèce wernérite. dont le poids spécifique oscille I . 2.03 a 2.79 et la dureté de 5 a 6. est un silicate n i d'alumine et de chaux. qui raye le verre et fait feu 1 le bri net; fusible au chalumeau. elle est at née. m t difilci ement. r les acides. La wernérite auii éclat ; treux. quelque ois gras. d'autres fois comme émaillé.
Wnrtmcxn (Chrétien). poète allemand. né en ' n 1 dans la seconde moitié du xvit' siècle. mort enl'lzo. Il I ' des voyages en France. dans les Pays-Bas. en Anglete 7‘ fut secrétaire d'ambassade à Londres. perdit cette ai n . tien à la suite d'intrigues dirigées contre lui. et devi ’ enfin conseiller d'Etat au servtce du Danemark et -r dont en France. Outre un poème héroïque. Hum Site (1701). Weruicke n'a laissé que des épigrammes. ui son -‘ tantôt des madrigaux. adressés surtout a une uche mecltlembourgeoise. tantôt des sntires. dirigées le n; souvent contre les fades auteurs de bergerie: ou l'on I il des imitatenrs de Loliensteiu. '
Wnniuoznonn. ville d‘Allem ne Prusse [présid. - ‘ Magdebourgj). ch.—l. de cercle. sur a olzesume. amuon : de la Bode.au pied nord du Hart; 10.500 hab.
WBRRA (la). rivière de l‘Allem ne centrale. en x <. . Prussc. Hanovre. Elle part de la orét do Tharinge. du. Kieferle (872 111.). baigne Eisfeld. Hildburgbausen. Mei- ningen. Salzungen. Nacha. Berka. Kreuzbur . Esclave ,_ Witzenbausen et rencontre. a Mllnden. la lda. et ' deux rivières réunies forment le Weser. Cours 259 kilom.
WERRO. ville de Russie (gouv. de Livonie); 4.200 hab' Chu]. de district. '
Wgn'rnmu. ville d'Alleniagno ( r.-i1uché de Badei [cercle de MosbachD. au confluent de la auber et de Nain; 3.600 hab. Forge et fonderie de fer; gypse. Vignobles.
WER'I'BEIANNITE (vèr'-ie-ma-m't') n. t'. Sulfate naturel basique d'alumine.
Werther (Las Sourrmncas ou sauna). célèbre roman épistolaire de Gœthe (1774). — Le jeune Wertlier devient amoureux d'une jeune fille vertueuse. Charlotte ou Lotte). promise à un autre. Tous deux se cachent a passion qu‘ils ont l'un pour l'autre. Wertber a'éloxgue pour ne pu. voir le mariage qui se prépare. Il revxent cependangait- prés des deux époux et vit dans leur intimité. Mats bien- tôt la contrainte règne entre les trois personnages. War- ther prend la vie en dégoût et se tue avec un pistolet
u‘il a emprunté à son rival. On trouve dans ce roman liniluence de Richardson. de Goldsmith et de Jnl. Roue-J seau. mais la matière en est empruntée aux seuvenirn; crsonnels de l'auteur. En mai 1772. Gœlbe I'éprlt de
harlotte Bufl'. fille du bailli de Wetalar. ll apprit seule—î ment plus toi-d qu'elle était fiancée i1 J.-Tli. Kestner. cen- seiller de la légation de Hanovre. Gœthe ressentit pour Charlotte une Vive inclination contre laquelle il latta vain nement. Le 11 septembre au matin. il artitsuia revenir ersenne et prit congé par lettre de estner et e Char- otte. 1l continua néanmoins d'écrire il celle-ci les lettre! les plus tendres. même après son mariage avec Kystes! (l avr. 1773). Le- poète ne songes a tirer un parti litté- raire de son aventure sentimentale qu'en septembre 177! et il rédigea son roman en six semaines (févr.-marl l'I'u). 11 emprunta la matière de son œuvre en majeure partie ses souvenirs personnels. mais la conclusion (le suicide du héros) lui fut fournie ar la triste fla d'un jeune homme de Wetzlar. nommé èrusalem. survenue peu aprél son propre départ. Le Werlher de Gœthe eut une nemé hreuse postérité littéraire : lien! do Chateaubriand. l. Peintre de Selzbourg de Nodior. Oberman de Sénat)- cour. etc. Il n‘eut pas moins d'influence dans lavie réal] . s'il est vrai que l'exem le du héros de Gœthe fut l'occa— sion de nombreux suici es.
Werther drame l rit ue en uatre actes. parole. d'Edouard B au. Paul li illict et G. arimann.niiist_que_d J. Massenet. représenté a l'Opéra-Comique le ta jln'l 1893. Le livret. adroitement tiré du chef-d'œuvre de: Gœthe. ofl're. dans les doux premiers actes. un nié n v, -‘ de pittoresque. de gaieté et d émotion. avec la Jolie ace de Charlotte donnant adéjennor aux enfants. avecj'am sante leçon de solfége donnée par le vieux bailli a —. enfants. avec l'érpisodo du départ pour le bal. pull op l‘invocation de \\ erther il la nature. très largement trau par le musicien. et son beau duo si ému avec Charlo à dans lequel tous deux expriment très heureusement l i sentiments secrets dont ils sont animés. 1A troisième vol élargir la situation et devient tout à fait pathétique. av_e > . un éclair (lf‘ gaieté ilonné'par la présence rapidede Sophie. La scène de la lecture. r Sophie restée seule. des lettres de Wcrther. est a ni hle. avec sa déclamation sobre et émouvante. soulignée par les dessins haletant! d'un orchestre qui vient a'outer encore il l'émotion et Il rendre plus poignante. 1. entrée de Werther et son non veau duo avec Lharlotic. duo plein (l'élan et de passion. vient porter cette émotion é. son comble en laissant e
Weraer.
