Page:Nouveau Larousse illustré, 1898, VII.djvu/715

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

on connalt quatorze especes, de T'Asie et de l'Austral SIDO - SIEGE 688 ville. In joua un role considérable durant l'insurrection polonaiso de 1831. SIEDLCE ou SIEDLETZ (0OUVERNEMENT DE), gouver- nement de la Russie occidentale (Pologne), limite au N. par les gouvernements de Lomza et de Grodno, à lE, par la Volhynie, au S. par les gouvernements de Lublin et de Radom, a l'o. par celui de Varsovie. Superf. 14.335 kilom. carr.; popul. 775.310 hab. Sol généralement très plat, sou- vent marécageux et médiocrement fertile, baigné par divers afduents de la Vistule, dont le Wieprz est le principal. Le gouvernement est à peu près exclusivement agricole (ce- réales, pommes de terre). L'industrie comprend surtout des brasseries, distilleries, minoteries, verreries, ete. SIEG (la), rivière de l'Allemagne occidentale, en West- phalie (Prusse rhénane). Elle part des monts du Sauerland. coule vers 1O., très sinueusement, dans une vallée riche en fer, baigne Siegen, Siegburg et gagne le Rhin, rive droite, un peu en aval de Bonn. Cours 130 kilom. SIEGBURG, ville d'Allemagne (Prusse [présid. de Co- logne), près de la Sieg, en amont du confluent de l'Agger: 10.850 hab. Ch.-I. du cercle de la Sieg. Grande manufacture d'armes. Fabrique de cigares. SIÈGE (si-ej- du lat. sedes, même sens) n. m. Meublo ou autre objet disposé pour qu'on puisse s'asseoir dessus: SIEGE de pierre. Partie d'une voiture od s'assied le cocher. - Place où s'assied un juge : Occuper le sitGR. I Lieu des séances : Le sikGE d'un tribunal. Juridiction des juges subalternes: SIEGE présidial. Juridiction ou fonction d'un évéque, d'un prélat: StkOR épiscopal. Ville ou réside un gouvernement: Saint-Pétersbourg est le SIRGK de l'empire russe. Lieu où une maison de commerce, une sociéié, a son principal établissement, son administration et sa comptabilité centrales. - Centre, milieu habituel ou particulièrement favora- ble: Le SIEGE de l'industrie. Fesses, fondement, anus: Bain de siEGR. - Dr. anc. Siège des monnaies, Juridictions subalternes qui connaissaient des abus et malversations en matiére de fabrication des monnaies et des ouvrages précieux. - Manèg. Partie un peu concave de la selle sur laquelle s'assied le cavalier. Faur siège, Partie basse de la selle constituée par des sangles et des doublures qui maintien- nent le siège de la selle en place sur le dos du cheval. - Mar. Siège d'une soupape, Partie tronconique sur la- quelle vient s'appliquer une soupape. - Milit. Opération militaire dont le but est de faire tomber une place fortitiée occupée par le défenseur entre les mains de l'assaillant qui s'établit devant cette place : Mettre le sikGE devant une ville. Lever le siège. Se dit quand l'armée assiégeante se retire sans s'être emparée Son fils, atreprises colosiales et protiges Bea Joason, qui luia cu tat ua po - Son fis RoatT, comte e Latn, ad ea , mees en 1477, servit aux Pays- Bas de 144 1814, sigra aa Parlemeat pour diverses cucariptioss, Prance ( 1 et devint, e 1, lord lieutenant d'Ir- lade, ais d dat demisiooner parce qa'on le trouvait trp ere. De sa femme, Dorothy Perey. il avait eu quiste eofants. parmi lesyuels le lameux Algernon Sidney es Erethe, la Sacharissa immortalisée par Waller. At oN Sidney ou Sydney, ls de Robert, comte de Leicester, patriote anglais, ne en 16t, mort a Londres magne la section de la symphyse pubienne. ADAM-KLIE Siebold, no et mort a Wurtzbourg (1775-1828), lai succeda. Nous citerons de lui : Sur l'enseignement pra- tique des neeouchements (1803); Instruction théordtico-pra- tigue ur l'art obalétrical (1803-1804): ete.- PiILIPPR- FLANÇOIS DE Siebold, voyageur et naturaliste allemand, petit-its de Charles-Gaspard et neveu d'Adam-Elie, né a Wartabourg en 1796, mort à Munich en 1866, entra au ser- vice de la Hollande et partit pour Java comme officier de sante. Eovoyé au Japon en is3 pour accompagner une ambassade bollandaise, il y demeura six ans (1823-1830). reunissant d'admirables collections d'histoire naturelle et d'etlinographie, qui sont actnellement au musée de Leyde. De retour aux Pays-Pas, il devint médecin de l'état-major genéral. Reparti en 1859 pour le Japon, il passa, en 1861, au service du taikoun, puis devint en 1862 adviseur près de la lieutenance générale de Java. On doit à Siebold, entre autres ouvrages, une importante Fauna (I833-18S1): Nippon (Leyde, 1s3e-1851); Flora Japonica 1835-1870); etc. Il acclimata en Europe l'arbrisseau a thé de Java.- CHARLES-THEODORE-ERNEST DE Siebold, phy- siologiste allemand, fils d'Adam-Elie, né à Wurtzbourg en 1804, mort à Munich en 1885, fut appelé à la chaire de physiologie, d'anatomie comparée et d'art vétérinaire de l'université d'Erlangen, d'où il passa en la même qua- lite aux universi- tés de Fribourg- en-Brisgau(1845) de Breslau 1850) et de Munich (1853): il fut chargé plus tard de la direction du cabinet de zoolo- gie et de zooto- mie de cette ville. 11 a étadié no- tamment la par- thénogénése. Son is RoatRT, comte st ambassadeut en Danenark (163), en . contribua, en 1, a la repressioa de la rébellion 4Telande, adopta, en 143, la cause da Parlement, devint geaveroear de Chichester et entra au Long parlement en 1. Il repeit du service actif en 1647 comme lieutenant geral de la cavalerie. Gouverneur de Douvres (164s), 1s partie, ea 1, de la commission chargée de jager Charles l",sy meatra oppose a Cromwell, qu'il prt bientot en haine, et se retira de la vie politique jusqa'en 1659. Nomme alers conseiller d'Etat, il ht partie de la commis- sian qui négocia la paix eatre le Danemark et la Suede. 1l sexila a la Restanration, et ne rentra en Angleterre qu'en 11. Naturelement fort suspect a la cour, il fut mpliqud, en 1ss, dans le complot de la Rye-Hlouse. Empri- son a la Tour, il fat conodamne a mort le 26 novembre et eécste. Siloey a laisse des ecrits remarquables, dont le plus conna ineoure euncering Gorernment (1698), a dte traluit plasieurs fois en français SIDO, ville du Japon (lle de Sikok (prov. de SaDouki). r une baie da Séto-Outai 5.50 hab. SIDOBRE, plateau granitique da Massif central, dans les Cévennes du Taro, dans là région des Ségalas, près de Castres, an S8, et immédiatement en contre-haut de l'Agout. Altitude moyease, 450 metres; 10 kilom. sur s. Prodigieux estassements de roches. SIDOINE APOLLINAIRE (Cafus Sullius), podte latin, na Lyon en 430, évéqoe de Clermont-Ferrand, mort en cette ville l'an 49. De boane famille, il recut à Lyon une forte education. En 450, il épousa Papianilla, fille d'Avitus, qui devint empereur. Sidoine fut alors préfet de Rome et ateer. lecrivit le panégyrique de son beau-pére. Après la mort d'Avitus il se retira dans sa ville natale et prononça le pangyrique de Majorien, qui le fit comte. L'empereur Anthemius le rappela a Rome en 407. Sidoine prononça escore le panégyrique de l'empereur, ce qui lui valut de nouvelles dignites. En 472, il ètait élevé malgré lui au sidge épiscopal de Clermont. Il se sépara alors de sa femme et se signala par une anlente charité. Enlevé de soa diocese par les Goths. il se tira d'affaire en compo- sant le panngyrique de lear roi Euric. La poésie de Si- doine Apollinaire, tout en nous transportant dans le monde nOuveau de la société barbare, est pleine de réminiscences classiques. Ilest raffine, spirituel. satirique, ironique obser- vateur du monde bizarre od il vit. Ses lettres sont pleines de details curieux sur l'histoire et les meurs du temps. SIDON (Tang-Tridon, marché au poisson, dans la Bible), ancienne villle de la Phénicie, sur la rive orientale de la Mediterranée. (Hab. Sidoniena, enner.) Klle possédait un doable port très bean (anjourd'hui comblé par les sables) et tres bien fortine. Sidon, ville principale des Phépicieps avaat que TyT, sa colonie, ne l'éclipsat, paralt à une cer- taine époque avoir en sous sa domination toute la Phénicie et, an temps des Juges, une partie de la Palestine. Plus tand, elle tomba au pouvoir de Tyr; a l'époque de Salma- nasar, elle fut conquise par les Assyriens et retrouva alors son antique splendeur: elle eut des rois particuliers sous les Babyloniens et les Perses. Dans l'expédition de Xerxès, elle foursit au monarque les meilleurs vaisseaux de la Sotte. Sous le régne d'Artaxerzes Ochus, elle prit part a la révolte de la Phénicie et de Chypre, mais fut livrèe par son propre roi Tennès; dans leur désespoir, les Sidoniens bealerest leur ville (351 av. J. C.), qui se releva pourtant de ses raines et se donna à Alexandre, anquel elle fournit des vaisseaur pour assiéger Tyr. Sa décadence s'achevya sous ls domination romaine. Aujourd'hui, sur l'emplace- ment de la auperbe eité, a Saida, quelques colonnes beisées et des fragments de mosalque rappellent seuls la mere des villes phéniciennes.Hippone, Carthage, Tyr étaient des calonies sidoniennes. SIORAC. personaage da Lutrin de Boilea, type du vieillard chicanear, et parodie du portrait de Nestor dans Homere. Préposd a la garde des chapes et des cires, c'est lai gui propose de replacer le fatal fatrin, lui dont la Dis- corde eprante les traits, lai eoin qui toumbe au milieu de la hataille ans pouls es sans haleine. SIDRE ou StDRA (GOLR De golfe de la Méditerranée, ur la edte septentrionale de l'Afrique. Cest, proprement, la Grande Syrte des anciens, qui s'ouvre entre le cap Mis- rata a lo. et le platean de Barca (Cyrénalque) a l'E. Le petis pert de Moukhtar en marque le food. Rivage bas et Sisole, ablesr, laguneux (surtout au S. de la petite ville de Misrata. Navigation insignifiante: quelques bateaux de piche aax éponges. Benghazi, Moukhtar, Zafran sont les priacipa points de refuge. Le djebel es-Soda n'ea- vole an golfe que de rares oueda temporaires. STERENGEBIRGE on SEPT-MONTAGNES, massif mon- tagsex de lAllemagne eccidentale, dans la région rhé- Bane, an cooduens du Rhin at de la Sieg. Il prolonge, dans sa direction genérale, le Westerwald, et comprend nne serie de pittoresques collines boisées de faible altitude ( m a Groase Elbergl, mais fort importante au point de vue geologique, par les phénomenes volcaniques dont la regios a die le thestre A Tepoque qua ternaire. Bean- coup de legeodes allemandes out pour theatre cette ré- gion Cest dans une grotte des Siebengebirge que Sieg- fried aurais derobe an dragon le trésor des Nielielungen. SIEBOLDIE (af, di) n. f. Zool. Genre de batra- ciens urodèles, de la famille des amphiumidés, comprenant une seule espèce pro- pre à la Chine et auJapon. (La sie- boldie géanto [megalobatrachus mazimus atteint plus de 1 mètre de long; lourde et trapue, munie de quatre membres courts, c'est le plus grand des batraciens actuellement vivants. Les Japonais l'appellent poiason enfant.) SIÈCLE (du lat. srculum) n. m. Espace de cent années : Viere un sikCLE. I Espace de cent ans, numérotés de 1 à 100, de 101 å 200, de 201 à 300, etc., en partant d'un terme fixe appelé ére : Le troisième sikCLE avant Jésus-Christ. Se dit absolument des espaces de cent années comptés à partir de la naissance de Jésus-Christ : Les philosophes du diz-septième SIRCLE. - Un demi-siècle, Cinquante ans. - Temps, époque, et particulièrement époque ayant un caractère qui la distingue : Il faut étre de son SIÈCLE. Par exagér. Temps très long: Sieboldie. de la place. u Journal de siège. V. la partie encyel. - Obstétr. Présentation du siège. Se dit lorsque l'enfant se présente à la vulve par les fesses, par opposition à la présentation de la tête ou sommet. - Techn. Siège à commettage, Assemblage de roues, montants, traverses, servant à commettre les cordages au-dessous de 8 centimètres de circonférence.g Siège d'ai- sances, Appareil que l'on installe dans les cabinets d'ai- sances et sur lequel on s'assied. I Siège à l'anglaise, Ma- çonnerie élevée au-dessus du sol des cabinets d'aisances et que recouvre un siège en bois au-dessous duquel se trouve une cuvette tronconique munie d'une soupape. - ALLUS. LITTER.: de la place, Jounal de So Prends un siége, Cinna.. Hémistiche d'un vers de Corneille dans Cinna (V, 1), C'est Auguste qui prononce ces paroles, lorsque, instruit de tous les détails de la conspiration tramée contre lui, il en fait ve- nir le chef devant lui. Dans l'application, ces mots se ré- pètent toujours avec une dignité et une emphase comiques. - ALLUS. HIST. : Mon siège est fait, réponse célèbre que fit l'abbé de Vertot à celui qui lui communiquait des détails intéressants concernant le siège de Rhodes, alors que sa relation était déja rédigée: J'en suis fàché, mais mon siége est fait. » Ce mot est passé en proverbe pour faire entendre qu'on persiste dans une idée, dans une résolution, malgre des conseils tardifs, dont on ne veut pas profiter. - ENCYCL. Archéol. Los anciens ont connu une grande variété de sièges, et leur goût du luxe se donnait carriêre dans cette partie de l'ameublement. Il en était ainsi déja chez les Orientaux et en Egypte. Chez les Grecs, depuis l'age homérique jusqu'à l'époque romaine, on peut rame- ner å trois types les diverses formes de sièges : le diphros, siège bas, facile à transporter, sans dossier, à quatre pieds perpendiculaires ou siège pliant à sangles entrelacées avec des pieds disposés en X; le klismos ou klintér, chaise semblable aux notres; le thronos, fauteuil à dossier. Le thronos était en général en bois; mais, dans les temples, dans les assemblées et lieux de réunion, dans les tribu- naux, dans les théâtres, où les places d'honneur étaient des fauteuils, le thronos était de marbre, souvent riche- ment sculpté, couvert de tapis et de coussins. Chez les Romains, la variété des formes est plus grande encore. Ils ont connu d'abord les mêmes types que les Grees : pliant avec pieds disposés en x siègo sans dossier sur quatre pieds verticaux ; chaise à dossier; fauteuil. On 'appelait sella tout siège sans dossier; cathedra, la chaise avec dossier; solium, le fauteuil monu- mental, réservé au maltre de maison, au chef de l'Etat, aux dieux dans les temples. Mentionnons encore la sella curulis ou chaise curule, siège plat, en ivoire ou en métal, sans dossier, monté sur des pieds recourbés et disposés en X, insigne des magistratures dites curules, consuls, proconsuls, préteurs, dictateur, édiles curules, etc.: le aubsellium, bane assez bas où s'asseyaient les magistrats populaires, tribuns, édiles plébéiens et, dans les tribu- naux, les juges et les avocats; les subsellia, sièges en gra- dins du théatro et du cirque, devant lesyuels étaient des fauteuils réservés; le bisellium, siège large et sans dos- sier des décurions et des augustales dans les municipes. Les sièges d'honneur étaient sculptés comme en Grèce. Au moyen åge, on se contenta d'abord d'imiter les sièges antiques, puis ceux de Byzance; ensuite, on en varia les formes, et l'on sculpta des escabeanx, deschaises.des banes, des fauteuils, des stalles, otc. Cet artindustriel n'a cesse de créer de belles euvres jusqu'a la tin du xViI siècle; et il est redevenu florissant de nos jours. V. MEUBLE, MOBILIER. Milit. L'art des sièges semble avoir été poussé assea loin dans l'antiquité classique. C'était proprement la po- lioreetique, oa se distingua Démétrius I Poliorcete, ot La douleur est un siécle, et la mort un moment. GRESSET- Dans le langage ascétique, Monde considéré au point de vue de ses vanités, de ses séductions : Pleurez sur rous qui virez encore dans le siiECLE. (Fléch.) 1.oc. div. Le siécle, L'époque présente : Les détrac- teurs du sikcLK. Le siécle de, L'époque illustrée par : LEs SIRCLES DE Léon X, DE Louis XIV Le grand siecle, Nom donné quelquefois, en France, à l'époque de Louis XIV. Les siecles futura, Les siècles, L'avenir, la postérité. Le siecle futur, Le siècle à renir, La vie future. I Les siécles les plus- reculés, Les siècles qui ont précédé de beaucoup lo notre. Dans tous les siècles des siècles, Tou- jours, dans toute l'éternité. - Hist. Les quatre yrands siècles, Expression désignant les siècles de Pericles, d'Auguste, de Leon X (ou des Mé- dicis), de Louis XIV, parce qu'en effet une foule de génies se sont rencontrés à ces moments de l'histoire. (On les a placés sous l'invocation de l'homme politique ou du sou- verain le plus en vue de chaque époque, et que l'on a considéré comme ayant exercé une grande influence sur ses contemporains. - Mythol. Chacun des quatre ages légendaires dont parlent Hésiode et d'autres poètes. V. AGE. - ALLUS. HIST.: Soldats, songez que du haut de ces pyramides quarante siecles vous contemplent, Mots céle- bres qui auraient été adressés par Bonaparte à l'armée d'Egypte en face des pyramides. Apres la prise d'Alexandrie (2 juill. 1798), Bonaparto fit prendre a ses soldats la route du Caire; ils traverse- rent le désert de Damanhour sous un ciel de feu, avec des fatigues et des privations de toute sorte. Après quelques escarmouches contre les mameluks, on arriva près des ruines de l'antique Memphis, et l'armée fut saisie d'admi- ration a la vue des pyramides de Giseh, que dorait l'éclat da soleil. Alors, Bonaparte, galopant devant les rangs de son armée, s' écria : Soldats, songez que du haut de ces pyramider quarante siècles vous contemplent!. Siècle (LE), journal politique quotidien, fondé en 1836 par une société qui comptait parmi ses membres: Armand Dutacq, premier rédacteur en chef: Ledru-Rollin, Louis Desnoyers, ete. En 1840, Louis Perrée en devint direc- teur, Ce fat lui l'organisateur du journal, qui devint sur- tout populaire sous le second Empire, avec Loonor Havin comme rédacteur en chef; ce fut sa période de plus grande prosperite. Parmi les principaux rédacteurs, on peut citer: Jules Simon, Jourde, François Deloncle, etc. Puis il eut pour directeur-rédactenr en chef Yves Guyot, avec J. Cor- nely comme principal redacteur; ceux-ci furent remplacés par de Lanessan, directeur politique, et Paul Desachy redacteur en chef (1903). SIEBEN HONSCHAFTEN, bosrg d'Allemagne (Prusse (presid. de Dusseldorf; 4.e hab. Papeterie; houille. SIEBERE S. f Genre d'ombelliferes, triba des cardea- cées, comprenant des herbes et des arbustes & feuilles entieres, a deurs groupées en ombelles terminales, on connalt quatorze espéces, de l'Asie et de l'Australie. Syn. de ALAIN, de AzoNELLs et de GTMNADENIE. SIEBOLD (Charles-Gaspand De), chirurgien allemand, Đe a Nideck (dache de Juliers) en 1737, mort a Wartabourg en 1807. Nommé en 1774 directeur de l'Ecole des sages- femmes de Wurtabourg, il pratiqua le premier en Alle- SIEDLCE ou SIÉDLETZ, ville de Russie (Pologne), ch.-1. de gouv.: 14.00 hab. Ch. de f. Varsovie-Moscou. Ch-L. de district. Chateau impérial. Eveché, bel hotel de