Page:Nouveau Larousse illustré, 1898, supplément.djvu/36

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

AI.VAHi :Z (Jl INTKUO

AMKIllCAMSMK

tlans ; TItnU, In Montivjnt noi/v, Frédètfonde. HAli, Met’ aidor, iei Muilrrt r/tantrurs, Attartt^, les Barbare». Entre temps, Alvan’X se pruduisuit

ik Lontires, uu tin’iàtri’ Cuvnii-Gardoii. «lans le ri-pcrioin- italien. Un dirU-riMi’i. i|iii Bt’lfva oDtro lui l’t radiiiiiiistruiiuu

do rOpi^ra, lui lit iiuitur co

thàfttrf ft a.’ef|iliT un oiifc ;autMUfiii pour rAiiu’Tiiiue, où

il fut aconMlli avL’C cnihou-

siasmc. I>o retour ou l-’raiM e,

il iloiina une si^rio • !<• r-’iTi’-soutjitloiis A r*’ :

où i) jrtua ’■< !’

puis iMiliii il r< I

Al.VARX :Z QuiNTCRO ^i-s

iVi-iTs .Seniuii i-i Joa<|uiul, autours <iraniaiii|ucs o^pai^nols

i-oittoinporains, nés tk l’trora

Iprov. do SiH’ Ue) , Sorariii eu

1871 et Joa>|iiin L>ii 1873. Ilsouuiinonctirent u st* faire oounaitre  Sévillo dans Icsdertiiércs années du xix* siècle, ei ne lanlèrenf pas à occuper une place disitnfjuée parmi les -i. i spagnols. Leur .euvrv est ruusi>iérable. Tarri los proprement . ilit.’s. il fnii- riMT ■ ! ■’ Ct • ’ P’ilio (190X) ; las/ r-pif.t /te yes {1903) ;

ri . ut dans lo satnete, le

Alvarez.

-dire dans les courts

ial iiariiviilicrimeut ompruDiès à la vie anii I (Uelnues uns sont des chels-d’œuvre : la Hej< ’ ircfiOfhs firopos, el Chn/itil/’i. los iiorraehoi, t.i Autfu Scrtidor, el Aial de anu,res, Manayta de sol, Aimnie»^ y ptinderttas, el Flechazoj etc. AlVASTON, hour ;; de la Grande-Bretagne (Angleterre ’comté cl fonun. do Derbv]) : 3.i00 hab. ♦alVÉOLAIRC a-lj. — Kncycl. Biol. Théorie ahi-olaire du ri//’-/»Mi"i(i. Kunsilor et Bùtscliii croient avoir démontr. ’ nuc la strtiLiuro lîvo du protoplasma se pressente S’ius lorriio d*alvi>oIes semblables à ceux des gâteaux de miel, polyt^driiiues et à angles plus ou moins arrondis et dans l’iniériour desiiuels est log :ée une gouttelette d’un lii|uido appelé chtjUma ; ce serait là la partie rêclloment active, les parois de l’alvéole étant proioplasmi- 4U0S ; les alvéoles d’ailleurs sont mobiles. On sait que Hûtsclili a pu imiter dune manière parfaite, à l’aide d’émulsions huileuses, l’aspect alvéolaire du cytoplasma lie certaines foraminifcres et même reproduire les mouvements que les alvéoles de ce cytoplasma exécutent. Cette théorie, toutcrois, est aujourd’hui peu en faveur. V. CVTni’I.ASMA.

AlvËS Francisco P, Rodrigues), homme politique brésilien. Dedans l’Ktat deSao PaulocD 18-ls. Il titses études de droit, )>uis débuta à Sao

Paulo comme avocat et jour-

naliste, et fut élu en 1872 député fonservalfur à l’Assemblée pro-

viuciale, puis, on 1881. à lAs-

>omblfO nationale. Il y prit une

part active au mouvement en

faveur de l’abolition de l’esclavago. Il était depuis (jueliiues

mois gouverneur de 1 Ktat de

8ao Panto. lorsque fut procla-

mée la Képubliiiuo, à laquelle

il adhéra, et dont il établit,

cunum- ministre des finances

du nrir. !> :il l’Ioriano, le promit ; I sénateur, puis

^ire des linan-

. il était enfin

de IKtat do

• * ses qualités

le sagesse et r, Alvès.

de toioraïK’u politiques lut va-

lurent ilétre appelé à présidence de la République en remplacement de Campos Salles, le 1" mars 1902. Alzon Emmanuel t>'), ecclésiastique français, né au Vi ;,’an Hn- I pi 1810, mort à Nîmes eu 1880. Il fut vicaire e*^" ^ de 1835 à I8S0. Fondateur, en 1850, de ’^ ’ des augustins de l’Assomption (v. as-’ ^"^’ i"ii^ d.-s nliirieiises ohiates do l’As-

      • "’ jation des augustînes

propagateur de l’ul-

■Jis l’épiscopat, lutta

■ ’ lis et la liberté do

  • ’- l’en&ei(ininnnt chré-

’"".’■ ■ . ...i.t-Françôis do Sales, qu il pa^sa en^uitv a M*’ do Èsegur. AmadOUR ’-inint ^-n lut. Amalvr], solitaire duQucrcv 1’" viv.iii. , Ml- siècle. Il bâtit, près do sa cHlulo. un lV à la

Rointe Vi. ,. devint .^••T’^ ;*». bienl-tl un i’<'rii ;i ;^._- célèbre. ^"^^^

— Fêle le to août.

de

de

du !

(rai

A M ^ ’■ ? * T

Vlmilo-Hilairo).

Dé .,

près do San-

cerr

1811. 11 fut

su<

réparateur de

rhr

_’r .le Frante

fi

..u lyé.- iit^

Clu..

[""’ iH travaux 8ur

jt* t dilatation dos

*’V - •■ • • "hités do liquides PI do vapijufh u ouiuratign ot dos points critiques, lois aci 6uis correîipoDdttni» , lois géuérales des chaleurs Aman-Jean.

spéciOques des Uuides, etc. Citons aussi ses intéressantes rccUorches sur l’élasticité des solides. Tous ces travaux ont été publiés dans les Comptes rendu» de l’Académie des sciences, los Annale» de chimie et physique, etc. AMALAT Un — de lar. amcl) n. m. Circonscription mari’ auR- dans’laqii’-'Ho un amcl exerce son autorité. AMANITOPSIDE u. m. Oenre de champignons de la famille des agariciuéos, comprenant les espèces qui étaient (lassées autrefois dans le genre antanite et sont caractérisées par leur pied dépourvu d’anneau. {Ij’timanito/tsidv u élut est une esjiéce comestible assez commune.) AmAN-JEAN (Kdmond-François), peintre franeais, né a Cliovry-Cossi ;:ny | Seine-et-Marne j en 18û0. Klève de l.ehmann à rKcolo des boaux-arts, il obtint une prcmiôro récompense en l«S3, puis alla

à Uuuie en 188j (bourse do

voyage). 11 eut une médaille

d’argent à l’Kxposition univer-

selle de 1S89 (Paris), el une médaille d’or à celle do 19oo. Cei

artiste s’est fait remarquer par

de très délicate portraits <lc

femme, exécutés dans des tons

sourds qui en soulignent en-

core l’intimité et le mystère :

Portrait de jeune femme (mu-

.sée du Luxembourg) : portrait

de jl/"’ S. Poncet (1901) ; de

,»/»• Juliette Sfyoml ; de - !/"« de La Uaume (1902). Autres por-

traits aux Salons do 1903 et 1904. Kn 1900, il exposait : la Femme

nu paon , la Confidence, l’At-

tente, deux portraits de femme,

et celui du sculpteur Dampt.

Aman-Jean s’est également

adonné à l’art décoratif, où il a déployé beaucoup de grâce et de charme : le Parc, carton ae tapisserie (1902J, m Coii/idence . )>anneau décoratif (Salon do 1904), etc. Amants de Sazy (li ;s}, comé’lie en trois actes, de Romain Coolus (Gymnase, 13 mars 1901). — Santierne, viveur ruiné, incapable de travail, est venu demander conseil

— en réalité protection — à Sazy, son ancienne maîtresse. Moyennant (|u’ il ne soit plus jamais question entre eux de la bagatelle, ce (jui sauve les apparences... en apparence, elle le prend comme secrétaire... homme de compagnie, et lui alloue do forts appoiniements. Santierne, alors, assiste aux évolutions des autres amants : M. Gogeron, le protecteur sérieux, sceptique, qui a l’air de se laisser prendre pour dupe ; des Bornettes, platonique soupirant, que cependaut l’on plumo ; Georges, entin l’amant de cœur. t)r, Santierne supporte mal ce dernier, et Sazy, à son tour, est jalouse, parce que Santierne a une intrigue avec Manette, la femme de chambre. Donc ils s’aiment encore. Aussi se remettent-ils ensemble. Est-ce qu’en réalité Santierne ne remplace pas Georges ?... Cependaut. pour sauver les apparences — encore ! — une revue américaine lui propose cinq mille dollars... de ses Mémoires. A citer, parmi les personnages secondii ires, lejeune frère de Sazy, quintessence d’enfant mal élevé, et sa mère, presbytérienne rigide, qui accepte les subsides de la cocotte. Cette étude de mauvaises mœurs, coneue avec un pessimisme réel, constitue une fort curieuse pièce. Peu démotion certes : le milieu s’y prêterait mal ; mais la singularité des caractèresct l’audace des situations fondamentales sont très heureusement voilées par le cliarme d’un dialogue travaillé peut-être à l’excès, mais toujours artistement nuan^’é, et où abondent de jolies trouvailles d’expression et d’observation psychologique. AMAROLTTE ou AMAROLYTES [tèss) n. m. Genre dinsectes coléoptères carnassiers, de la famille des dytiscidés, comprenant quelques esjièces nouvelles de r.-iniériquo du Sud. {ISamarnlytes percosioides est le tvpe de ces curieux insectes aquatiques voisins de nos liydroporus.) AMAROSCHESIS (ross-ké-ziss) n. m. Genre d’insectes coléopleres carnassiers, de la famille descarabidés, comptant une dizaine d’espèces propres à la région chinoise. {Le genre amaroschesis comprend des harpalinés dont les formes trapues rappellent celles des amares. L’espèco type est Vamaroschesis Yunnaïui, du Yunuan.) Amaury (Ernest-Félix Socquet, dit), acteur français, né à Paris en 1819. Elève du Conservatoire, il y obtint doux accessits de comédie el tragédie, et en sortant de l’écolo fut engagé à l’Odéon, où iPdébnta en S1, et qu’il n’a jamais quitté depuis. II se lit promptement remarquer dans l’emploi des jeunes premiers du répertoire classique, ce qui ne rcmpêchait nullement de se produire dans les ouvrages modernes, où il Ut nombre dheu.euses et intéressantes créations, notamment dans : /^euucoK/) {/e bruit pour rien. In Marchande de soitrires , le Capitaine Fracasse, /tichclieu, les Trois Glorieuses, te Vol de l’éléphant lAanc, ei’.

AMAXOPHOB1E (W — du gr. amaxa, char, ot phobos, crainte) n. f. Craiulo dos voitures. Amay, comm. do Belgique (prov. de Liège, arr. de Iluy’l. près de la Meuse ; 5.300 hab. Mines et carrièros. Conlisorie. sirops. Belle église Saint-Georges. "^Ambero Augnst Wilhelm Lobrccht), né à Berlin en 1»L’2. — Il y est mort en 1899.

Amble, ville do laGrandc-Brotagnc(AngIclerro[comté le .Noriliumberland]), sur la mer du Nord ; ?.975 hab. AMBLOSTOME {an, xtom’) n. f. Genre d’orchidées vantlées. comprenant dos horbes drossées, à très petites fleurs groupées en grappes. (Les espèces connues sont originaires au Mexique.)

AMBLYOCARÉNÉS [an) n. m. pi. Tribu d’arachnides .’iraiifides. .le la lamillo dos aviculariidés. renfermant los ircnres amlihjor.wenum, actïnoxin, damarchus, etc. — Un AMULYOCAitliNlJ.

AMBLYOCARENUM [an, rénomT n. m. Genre d’arachnides aranéide-». type tle la tribu dos flmWyocrtrf’/Ji^’s, comptant des espèces répandues sur l’hémisphère nord. (Les anibly ocarenumsBont des mygales de laillo médiocre, qui vivent dans un terrier clos par un orillce rigide. L’espèce type est l’rtmblyocarnium Watckrnarri, do la région méditerranéonuo. h’amblyocarvnunt tnlpn est propre aux Etals-Cuis.) 20

AMBLYTATUS [an, tuss. n. m. Genre de mammifères édemés, comprenant des formes fossiles dans le tertiaire de Palagonic.

AMBROÏNE [an] n. f. Matière isolante, analogue à lébonitc, formée dun mélange de matières isolantes qui, moulées sous pression à la température do 60". deviennent dures ot résistantes à la température ordinaire : /,’amiiKoïNR s’emploie comjne isolateur dnn les appareils électriques, en particulier dans la confection des dynamo» d haute tension, et des bâches d’accumulateurs. AmÉDÉE je bienheureux), duc de Savoie, né à Thonou en 1435, mort à Verceil en 1472. Fils de Louis II, il succéda à son i>êre en 1465. II avait épousé, à dix-sept ans. YoJamle, tille do Charles VII et sœur de Louis XL Sa cour fut un modèle de vertus. Il était pour les pauvres d’une générosité inépuisable et les recevait même dans son palais. 11 laissa en mourant la régence à sa fomme Yolande et, aant fait venir les principaux seigneurs de sa cour, il leur recommanda la jusii c, la religion et l’amour des pauvres. Il mourut à trente-sept ans. Innocent XI autorisasoQ culte dans les Etats du duc deSavoie. — Fête le 31 mars.

AMEL fin. arabe signif. gouverneur) n. m. Nom donné. au Maroc, aux gouverneurs de province. (L’amel est nommé par le sultan pour un temps indéterminé. Aucune condition dccapacité n’est rocjuise des candidats, mais les gouverneurs sont ordinairement choisis parmi les familles les plus riches et les plus influentes.) li On dit aussi ca((/(qâid,,. Amel (I^ouise-CIaudine Prontaut, dame Matrat, dite . comédienne française, née à Paris en 18i>9. Elève do Ré-U’uier au Conservatoire, elle y obtint un second prix de comédio en 1879, et le premier l’année suivante. Engagée à la Comédie-Française, elle y débuta en 1881 et, presque aussitôt, malgré son jeune âge, adopta l’emploi des caractères et des duègnes dans le répertoire classique. Elle créa un cenaiu nombre de rôles dans les pièces modernes : tes Uantzau, les Corbeaux, Mademoiselle du Viyenn, Denise, la Méuêre, Par le glaire, la lincheronne. Fidèle, l’Evasion, le Bandeau de Psyché, le Toi^’ent, l’Amour brode, la M’irtyre, etc. Elle épousa l’acteur Matrat, son ancien camarade du Conservatoire. Douée d’une jolie voix, elle eut l’idée de remettre en honneur et de faire connaître certaines chansons populaires, qu’elle sntdétailleravec beaucoup de grâce. Elle a obtenu ainsi de vifs succès, et elle a même publié sous ce titre : Chansons d’aïeules, un petit recueil de quelques-unes de ces chansons. AMÉLIE {U — du gr. a priv., et mélos, membre) n. f. Munsiruosité congénitale, qui consiste en l’absence des quatre membres.

AMÉLIEMarie-/lmé/i’e-Louise-Hélène). princesse d’Orléans, reine de Portug-al, née à Twickenham en 1R65, tille du prince Louis -Philippe,

comte de Paris, mort on 1894,

et d’Isabelle d’Orléans. Elle

épousa, à Lisbonne, en 1886,

le prince Carlos, devenu rot

en 1889 sous le nom de Car-

los I^ De ce mariage sont

nés : Louis-Philippe, prince

royal, duc de Bragance, né

à Lisbonne en 1887, et Ma-

nuel, duc de Béja, né à Lis-

bonne en 1889. A l’occasion

de ses fiançailles, le comte

ot la comtesse de Paris don-

nèrent, en leur hôtel de la

rue de Varennes (Paris), une

réception à la suite de la-

quelle furent votées les lois

d’exil contre les aînés des

familles ayant régné en

France. La reine Amélie a

fait en France, en 1903, un voyage au cours duquel elle érliangea avec l’Elysée des visites ofricicUes, et elle a reçu à Lisbonne, en 1905, le président Loubet. Américain (êlemknts d’une psychologie politique Df nxPLE), par Emile Boutmy (Paris. 1908). C’est une critique érudile et pénétrante de l’esprit public aux Etats-Unis. Les causes qui inclinent la population américaine à une façon d’être distincte ; les positions qu’elle a prises on face de ces grands phénomènes, ta patrie, l’autorité, la religion, voilà ce qu’analyse cet ouvrage avec une extrême précision.

L’attachement de l’Américain à la patrie n’est pas ce sentiment mystique, fait de .dévotion et d’abnégation, que Français ou Espagnols ont pour leur vieux et glorieux pays. Il procède dé vues nettement utilitaires : c’est l’inlérêi que ses bénéticiaircs portent à une maison de commerce riche et puissante.

L’Etal d’Europe a hérite de la majesté des dynasties de droit divin : il a le prestige de services rendus à la nationalité, dont il défend la frontière, à l’individu, auquel il octroie la liberté et l’égalité. Rien de tel aux Etats-Unis, on nul envahisseur ne menace le sol, où l’horamo naît indépendant. Le souverain, ici. c’est l’individu. La défiance que l’Etat d’Europe témoigne à l’individu, l’individu, au nouveau monde, la ressent à l’égard do l’Etat, n Dans les constitutions fédérales et locales, on a organisé délibérément l’incohérence et l’anarchie au sein do l’autorité. •

La brièveté do l’esprit américain «e reflète dans ses aperçus vers l’au-delà. La religion s’est dépouillée de tout appareil théologique, de toute élévation mystique. pour n être que l’auxiliaire de l’énergie quotidienne. L’esprit publie, vigoureux autant que simple, s’afiirm© par l’impérialisme. Infaination et convoiiise. tel est ce sentiment. Le désir d’expansion apparaît avec Monroë, (lui réserve le nouveau continent à iactîviié américaine ; il s’atteste dans la politique suivie près d’un siècle à l’égard do Cuh» ; il éclate du jour où il parait réalisable. L’impérialisme peut exercer une action centralisatrice sur les institutions de l’Union, mais lente et limitée. Il ne se traduit pas, comme en Europe, par la glorification de l’armée ou Vexaltation de la race.

  • AMÉRICANISME (nisxm’l n. m.— Hist. relig. Quelquefois,

dans un sens général, Penchant à admirer et A proposer à l’imitation les méthodes et les idées reçues aux Etats-Unis par un certain nombre de prêtres et d’évéques : L’admiration que certains professent pour les races anglo-saxon-I

^-’^0^^

W :"

■■^■.