Page:Nouveau Larousse illustré, 1898, supplément.djvu/640

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

COCCIDIEN

DECOPIM-T

sirs ot SCS Bvmpathies. Le nroniier aoto, lo meilleur, donne la seosalioii du vèniaule opt’ra-oomifjuo, avec sa vivacité, son mouvement, ses cli.purs dansés qui no manquent ni de verve ni d’alluro. Puis tout change, et lo rausicion semble se tourner vers lôcole nouvelle, mais sans la fraochise et sans l’audace nécessaires. Son œuvre reste iodéciso et sans conviction. Elle ne manque pas do talent, ninis elle manque de personnalité. L’orchestre, saçe, bien é<iullibré, laisse désirer plus de piquant et de relief.

COCCIDIEN kok’Si-iti-in) adj. Quiarapport aux coccidics.

COLOMB-BÉGHAR OU BéCHAR, petite oasis du Sahara al-îèrien, dans le Sud oranais, à 1 O. de la valli^e de la Zousfana. et au pied du djeliel Béchar. C’est, en 1901, lo point terminus de la voie ferrée qui doit relier Duvoyricr aux uHsis du louât.

GOLUMBANO :Bordallo Pinhciro), peintre portugais, né ù Lisbonne en 1857. Elève do l’Ecolo des beaux-arts de Lisbonne, il s’est consacré principalement au portrait. Ses OQVois à l’Exposition universelle de 1900 : Vins et fruits, Sfiint-Anloine de Lisbonne, la Tasse de thé, portraits des acteurs Hosn et Taborda, do Kça de Queiroz, d’Avnoso, Joao Barreirn, Coi’elfio, htnritjue de Vasconcellos, lui ont valu une niédaillo d’or.

Conseillers i^énéraux ^insigne dhs), plaquette due au statuaire Maillard et

destinée à servir de mé-

daille d’identité aux con-

seillers généraux du dé-

{•artement de la Seine.

^ plai|uette, de forme

ovale, est en vermeil et

présente do face un

ousto do République

coilTée du bonnet phry-

gien et à demi enve-

loppée par les plis d’un

drapeau qui retombent

sur les doux faisceaux

croisés de licteurs ser-

Tani de support au mé-

daillon. Une branche do

chêne et une branclio

de laurier encadrent la

figure, aux côtés de la-

quelle se détachent sur

le fond les mots :

« Conseil général. " La

partie supérieure est

occupée par un petit socle supportant une figurine de femme nue qui représente la Seine.

GONVERT I Claude-François), agronome et économiste frari’.-ais. né à Bnurf» (Ain) en 1819. Ancien élève de l’Ecole d’agriculture de la Saulsaie. ancien professeur d’économie rurale à l’Ecole nationale d’agriculture de Montpellier, et depuis isî>0 professeur en ces mêmes matières à l’Institut national agronomique, Convert s’est fait ai)précier du public agricole par sa connaissance de la vie rurale, la pondération et la sagesse de son esprit. Outre de nombreux articles consciencieux et documentés, on lui doit : Etudes d’économie mrale : la Propriété {constitution, estimation, administration [1885]) ; et les Entrepris’ s aijricoles : oft/anisation, direction (1890).

GORNAGLIA (Ernest), acteur français, né à Paris en 18 ;U. Après avoir «lébuté à l’ancien théâtre Saint-Marcel et à celui de Bellevilio, il parcourut la province pendant une douzaine d’années, ot en 1869 fut engagé au Vaudeville, où on le vit, eutre autres, dans un Afari qui voisine et dans VArlt’sienne. En 1880, il entra à l’Odéon, où il tint avec distinction l’emploi des tînanciers et des

S ères nobles. Outre les nombreuses créations qu’il a faites ans : la Maison des deux barbeaux, le Capitaine Fracasse, Juan de Àfanara. les Tniands, l’Anf/elus, Dixans après, etc., Cornaglia s’est distingué, dans le grand répertoire classique, ]iar la sûreté et la solidité do son jeu ; il s’est fait remarquer surtout dans le rôle de JJariolo du Barbier de Se v die.

Insigne des conseillers généraux

du département de la Seiae.

Corneille Tmcxcment X), érigé

sièmo centenaire

du poète, à Paris,

sur la place du Pan-

théon. Ce monument

fait pendant à celui

de Jean - Jacques

Rousseau, placé sur

le flanc sud de l’é-

difice : il a été inau-

curé le 27 mai 1906.

Il est dil ; la colla-

boration do l’archi-

tecte Il . Latour

et du statuaire Al-

lonard. Le Corneille

d’Allou :ird est un

boau morceau do

l’culptui e, simple,

viril, et d’une belle

•ilhouetle. Corneille,

debout , il’un geste

familier, retient un

pan do son manteau.

Au pied du soclo <^^spï

élevé, une figure de

bronze, la muse tra-

ffique du poète, sou-

ôve du bras gaucho

lo péplos à I ombro

duquel se dctacho

à l’occasion du troi-

Mo&umcQl de Corneille, h Paris.

«on énergique visage. Uno palme ot des attributs complètent heurcusenienl cet ensemble décoratif.

Corrlere délia Sera, uu des plus répandus parmi les journaux italu-iiv. publié À Milan ot tirant à environ ccnl nulle ey-mplaires. Fondé on 1876. il est aetuellement ainge p.’ir I„ TuuUi .^os opiuions répondent à celles do la bourgeoisie lombarde ot sont sagemout libérales.

Costa, nom sons lequel on désigne spécialement la band.- do i«,rrc qui court du N. au S., dans l’Amérique méridionale, entre lus bords do l’océan Paciibiiie et les premiers chaînons des Andes, mais seulement jus.prà une

altitude do 1.500 Â 2.000 mètres au-dessus du niveau delà mer. La Costa comprend donc, surtout en co qui concerne le Pérou (oii sa largeur varie entre lOO et lao kilom.) ot le Chili (qu’elle englobe tout ontier), la zone caractérisée par le manque do pluie et par un climat plus ou moins chaud, où les saisons sont à peine niarcjuées.

  • C0UNANI. — La décision arbitrale de la Suisse, rcnduo

A la requête du Brésil et do la France au sujet de la possession du territoire contesté du bassin do l’ôyapock, avait reconnu au Brésil la possession de co territoire ; mais la prise de possession par le gouvernement brésilien en avait été retardée, pour divers motifs, jusqu’en 1903. .V cette date, un syndicat se forma en Europe, nolainnient ù Paris, Londres et Madrid, pour l’exploitation de cette région. Un pseudo-gouvernement fut même constitué, distribuant des décorations et des concessions, créant des timbres-poste, etc., ce dont lo Brésil s’alarma ; diverses réclamations furent faites, notamment auprès des gouvernements anglais etesitagnol, et, pour couper court ù. toute tentative de flibusterie, des forces brésiliennes suffisantes ont occupé en juin 1905 la vallée de l’Oyapock, taudis que le gouvernement déclarait d’avance nulle et sans valeur toute concession de terre accordée sans son aveu dans le Counaiii. Mais la région n’en reste pas moins des plus troublées, habitée par un noyau d’aventuriers insoumis.

  • COURS n. m. — Encycl. iS’avig. Long coui’s. Depuis la

promulgation de la loi du 19 avril 1906, l’Islande, y com- [iris ses eaux territoriales, est considérée comme rentrant dans les limites du cabotage international.

    • COURSE n. f. — Comité consultatif des courses. Le décret

du 16 juillet 1906 a institué, auprès du ministre de l’agriculture et sous sa présidence, un comité consultatif permanent des courses, dont les membres sont nommés par le ministre. Ce comité donne son avis sur toutes les (pieslions se rapportant à l’institution même des courses et, d’une manière générale, à lélevage. Ses attributions ont été précisées par le décret du 4 décembre 1906.

GOUTURAT fLoK ?5-Alexandrej, philosophe français, né à Paris en 1863. Elève de l’Ecole normale supérieure (1887), agrégé de philosophie (1890), licencié en mathématiques, docteur es lettres (1896), il a été niaitre de conférences de philosophie à la faculté des lettres de Toulouse (1S95), remplaçant au Collège de France (1895- 1S96), chargé do cours à l’université do Caen (1898). C’est un des principaux rédacteurs de la « Revue de métaphysique et de morale ». Il s’est surtout occupé de la philosopliie des mathématiques et do l’application des mathématiques à la logique. Dans sa thèse française De l’infini mathématique (1896), il a défendu l’infini actuel de quantité contre les objections des néo-criticistes. Sa thèse latine a pour titre : De Platonicis jni/this. On lui doit en outre : lu Logique de Leibniz (1901) ; Opuscules et fragments inédits de Leibniz (1903) ; Histoire de lu lungue universelle len collaboration avec L. Leau, 1903 ; Extraits de cet ouvrage, 1904) ; l’Algèbre de la logique (1905). Il a publié avec Cadenat uno traduction annotée do VEssai sur les fondetnents de la géométrie, par Bertrand A. "V. Russell (1901) ; etc.

  • CraftY (Victor GiiRUZiiZ, connu sous le pseudonyme

de), dessinateur et littérateur français, né à Paris en 1840. — Il est mort à. Saint-Martin-de-Nigelles (Eure-et-Loir ) en 1906.

    • GraigiE iPearl Mary Teresa Richards, Mrs." !, plus

connue sous son pseudonyme de John Oliver Hobbes, femme de lettres américaine, née à Bostou en 1867. —

— Elle est morte à Londres en 1906.

    • GrÈTE. — Hist. La diplomatie internationale a eu de

nouveau à s’occuper de la Crète, aux mois de juillet et d’août 1906. La tranquillité, en effet, a cessé d’être assurée, surtout dans le nord de lîle. Le 16 septembre 1906, les puissances ont déclaré, dans une note collective à la Grèce, que les réformes qu’elles se proposaient d’apporter dans l’administration et la police de la Crète devaient, tians leur pensée, marquer uu pas de plus vers l’union des deux pays.

Le prince Georges décida au mois de septembre 190C de se démettre de ses fonctions de gouverneur de la Crète. Les puissances, en présence do la retraite du prince, accordèrent au roi de Grèce l’autorisation de désigner lo haut commissaire ou gouverneur qui succéderait au prince Georges, mais non do le nommer directement, comme s’il s’agissait d’une province de son royaume. Le haut commissaire, agréé par les puissances, Zaïmis, est fiailleurs d’accord à Athènes avec le parti de l’annexion. Sa nomination, sans porter atteinte au principe de la suzeraineté du sultan, constituait une concession de nature à désarmer en Crète, au moins momentanément, les partisans nonilireux de la réunion à la Grèce.

Grouzat (Jean), général français, né et mort à Montl’i'liier (1813-1879). Elève do l’Ecole polytecbnioue, il en M>rlit dans larme de l’artillerie, ot devint colonel en 1S61. Il était à la veille de passer au cadre de réserve, lorsque éclata la guerre de 1870. Nommé général de brigade, au titre auxiliaire, par le gouvernement do la Défense nationale, le 3 octobre, il eut ù. organiser et A discipliner lo 18’ corps d’armée. Mis à la tête du 20 corps (luehiues jours après, il opéra dans l’Est, réussit ;^ faire sa jonction devant Dijon avec les troupes deGaribaldi, mais dut bientùt retourner sur la Loire, et il attaqua, lo 28 novembre, les Prussiens devant Beanne-la Rolande. Après six jours de combats sanglants, il devait battre en retraite, ses troupes se trouvant dans le plus terrible dénuement. Après la conclusion de la paix, il n’exerça pas de commandement actif, mais collabora à dilférentes publications, iiutanimont au « Journal des sciences milit ;iires », et lit paraître : Datteries de guerre (1873) ; /»•.* Places fortes et camps retranchés (1873) ; le iO* corps à l’armée de la Loire (1873) ; etc. Il fut inutilement, on 1876. candidate la députation dans lo Rhône, avec un programme libérai.

GuBA. — llist. La jeune réjiubliquo cubaine. i|ui avait or ;.ranisé, on 1905, tous les éléments de son gouvernemeni, a disparu, en septembre-octobre 1906, supprimée par les Ktats-Unis, et après avoir moûlré son iucapacité absolue ù se gouverner normalement.

Le président élu, Kstrada Palma. ainsi que le vico-président Meiidez Capote, représentaient surtout les partis modérés do l’ile. Ils n’ont pas tardé j entrer en conflit avec les lil>éraux, qui, soutenus probablement en sous-

622

main par les Etats-Unis, ont demandé, en août 1906, l’annulation de l’élection présidentielle, et un amendement à la Constitution substituant au sull’rage universel, ponr la nomination du président, la méthode française.

Le général Guorrase mettait à la tète des libéraux, dans les provinces du sud de l’ile, soutenu parAlfredo îi^ayas, Florencès Villucndas, etc. Kn août, les insurgés s’emparaient de San Luis, d’Aguacaie, de Santa Cruz del None, etc . La révolte trouvait un terrain d’action tout préparé parmi les nombreux mécontents qu’avait faits la politique autoritaire d Estrada Palma. Bientut. l’ex-candidat libéral à la présidence, lo général Max José Miguel Gomez, so ralliait à la rébellion, et la désatfcction gagnait mémo la province de la Havane. Cependant, les révoltés négociaient presque ouvertement avec les Etats-Unis. Le général Gomez, d’ailleurs, s’était rendu en Amérique avant l’ouverture des hostilités, afin d’obtenir du gouvernement des Etats-Unis une itremière intervention destinée & assurer des garanties électorales aux libcFaux cubains.

En présence de la révolte, le gouvernement de la Havane se montra hésitant. Après avoir nié l’étendue du péril, puis refusé de négocier avec les rebelles, le président Estrada Palma dut faire aj>pel à des volontaires pour former une milice nationale d’infanterie et de cavalerie, chargée de coojtérer avec les forces gouvernementales au rétablissement de l’ordre. Mais, le 16 septembre, lo président Roosevelt faisait débarquer à la Havane les marins du croiseur Denver, dans l’éventualité d’un soulèvement de la capitale ou d’une attaque des insurgés. A ce moment, toutes les villes notables de la province de Santa Clara étaient aux mains de rinsurrection.Uu débarquement de marins américains avait lieu le même jour à Cienfuegos. Ces débarquements avaient eu lieu à la prière des consuls américains, mais avec le cousentement explicite du président Estrada Palma, incapable d’assurer le maintien de l’ordre. Le 15 septendire 1906, le président Roosevelt aftirmait le droit des Etjts-Unis de contrôler, aux termes de lamendement Plati. la gestion intérieure des atfaires cubaines, et il envoyait le secrétaire d’Etai do la guerre, Taft, en mission à l’a Havane, pour se renJre un compte exact de la situation. Taft était accompagné du général Funston et de renforts considérables.

Aussitôt arrivé, Taft déclara au président Palma que les Etats-Unis n’hésiteraient pas. pour assurer le rétablissement de l’ordre, à occuper militairement l’Ile. Devant cette déclaration, Estrada Palma nsolut d’abandonner le pouvoir, malgré les prières instantes de ses amis libéraux, et il fut suivi dans sa retraite [lar le ice-président Mendez Capote. Le 30 septembre Taft s’installait au palais du gouvernement, tandis que Roosevelt donnait l’ordre d’expédier une nouvelle division à la Havane ] our mettre à la raison les insurgés (|ui refuseraient de désarmer. Depuis lors, la mission de Taft, qui avait solennellement affirmé dans un discours les intentions pacifiques des Etats-Unis, a pris lin, et le secrétaire d’Etat â la guerre a été remplacé dans son poste de gouverneur provisoire, par Charles Maagon, précédemment gouverneur do la zone du canal de Panama, et les opérations du désarmement des insurgés se sout poursuivies saus incidents graves.

^GUMBERLAND (Ei’nest-Aufjnste, duc dk duc de Brunswick et de Lunebourg, héritier de la couronne de HanovrSt né à Hanovre en 1845. — En septembre 1906, lorsque s’est ouverte la succession de Brunswick, par suite de la mort liu régent que la Prusse avait choisi, le prince Albert de llolienzoUern fv. BrunswickI. le duc de Cumberland montra, vis-à-vis delà Prusse, des dispositions peu conciliantes. La diète du duché ayant sug« ;éré la possibilité d’un rapprochement entre les Hoheuzollern et la maison do Cumberland, le prince de Bulow, chancelier, déclara que l’altitude passée d’Ernest-.A.uguste rendait impossible son avènement au duché : le duc de Cumberland, alors, écrivit à l’empereur d’Allemagne uno lettre, où il déclarait renoncer à la succession au profit de sou fils aîné ; mais il no s’engageait en rien au sujet du Hanovre, et Guillaume II, comme il était naturel, refusa la proposition.

CURRY [keur-ré — mot angl., du tamoul A*<iri) n. m,

V. CARI, au t. IL

CYNOPHAGIE {jî — du gr. kuôn, kunoSf chien, et phw Oem, manger) n. f. Usage de la viande de chien comme ahmcnt : La cynoï’hagie se développe en Allemagne.

D

DagrON (/^cnfï-Prudent-Patrice), chimiste français, né à Beauvoir (Sartlio) en 1819. mort à Paris en 1900. II perfectionna eu photographie la préparation du coUodion au chlorure d’argent, lui donnant une finesse et une transparence qui permit d’obtenir des réductions microscopiques inconnues jusqu’alors. Pendant lo siège do Paris (1870-1871). il partit dans le ballon le yicpce, atterrit à Vitry-le-François dans les lignes prussiennes, d’où il s’échappa pour aller organiser à Tours, puis à Bordeaux, lo service postal par pigeons voyageurs : grâce & la pellicule légère et transparente qui contenait la réduction do seize pages in-folio, il put envoyer ù. Paris assiégé los 150.000 dépêches qu’on lui confia. Il inventa depuis le télémètre, qui permet ù l’officier d’avoir sur lui, sous uu petit volume, les cartes à grande échelle de l’Europe centrale. Enfin, la chimie industrielle lui doit nombre d’inventions ou de perfectionnements (papiers autograpbiqucs, encres, teintures, etc.).

    • DalnY. — Le gouvernement japonais a décidé d’ouvrir

Dalny au commerce de toutes les nations A partir du l" septembre 1906. et aussi d’en faire un port libre on co qui concerne les importations et les exnortations venues de la province du Kouang-Toung, cest-à-diro du territoire de la péninsule du Ltao-Toung (qui a été céd6 à bail en tant que ces oxporiations passeront par le port do Dalny. H a également décidé de permettre aux vaisseaux de toutes les nations de faire du eomnierce et de la navigation entre Dalny et les poris ouverts du .lapon ù partir du 1" septembre 1906.

  • DaVITT iMichaél), homme politi(iuc irlandais, né à

Straide iMayo) en 1846. — Il est mort en 1906. 11 a laissé des ouvrages sur les questions irlandaises et sur les Boers.

  • DeCOPPET (Auguste-LouisV ministre prolestant, né A

Pans en 1836. — H est mort ii Etretat eu 1906. Eu 1903, il