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Malalas, p. 345,1. 12 — 19.
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Malalas, p.344,1. 20—23. lUÊ^kpIrtuif %tiftÊi$iku fuwtu^ ôfioiwç de xai To iepov
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lacune dans le texte actuel de Malalas; ils sont em- pruntés à la Chronique pascale (p. 303 D), dont 1 auteur avait sous les yeux un texte non encore abrégé; cf. du reste Malalas, p. 324, 1. i — 4. Dans Parménien le cod. Lambr. ajoute après q4"^^kmiu% le mot '^<«yt'9 qui manque dans Péd. de Venise, mais appartient certainement au texte primitif {xà ieçà fiovBv ixlsiaev). Nouvelle preuve, après celles déjà fournies à M. Norayr par l'étude des sources (•gî»*»»^ ikpj II, p. 39, 40, etc.;, que le cod. Lambr., malgré ses interpolations, peut cependant contenir de très- bonnes leçons.
Var. ^/Alt•. (Venise, 1865).
- ) Rétabli dans le texte d'après la Chron.
pasc. (p. 303 D), où il correspond au fXfipu/iimmlÊ de Moïse de Khoren. Laquelle des deux leçons mérite la préférence î C'est là une question fort difficile à élucider, et qui demanderait une étude spéciale. Le «célèbre Trilithon» dont il s'agit dans notre passage, est sans aucun doute le temple du Soleil à Hélio- polis, aujourd'hui Baalbek (Renan, Mission de
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