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Page:O’Neddy - Poésies posthumes, 1877.djvu/215

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Non, non, je ne saurais, sur mes rêves de feu,
Sur les pleurs de mon cœur, les fièvres de mon âme,
Souffrir d’autre regard que le regard de Dieu !…


FIN DU SECOND LIVRE DES SONNETS.