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BIBLIOGRAPHIE BIOGRAPHIQUE UNIVERSELLE

TOME PREMIER. A — M

(1 27390)

Propriété de l’éditeur. — Déposé conformément à la loi.

BIBLIOGRAPHIE

BIOGRAPHIQUE UNIVERSELLE.

DICTIONNAIRE DES OUVRAGES

RELATIFS

A L’HISTOIRE DE LA VIE PUBLIQUE ET PRIVÉE DES PERSONNAGES CÉLÈBRES DE TOUS LES TEMPS ET DE TOUTES LES NATIONS,

DEPUIS LE COMMENCEMENT DU MONDE JUSQU’À NOS JOURS :

CONTENANT :

1° LA DÉSIGNATION CHRONOLOGIQUE DE TOUTES LES MONOGRAPHIES BIOGRAPHIQUES ;

2° L’ÉNUMÉRATION DE LEURS DIVERSES ÉDITIONS, RÉIMPRESSIONS ET TRADUCTIONS ;

3° LES DATES EXACTES DE LA NAISSANCE ET DE LA MORT DES PERSONNAGES MENTIONNÉS ;

4° LA DATE DE L’AVÉNEMENT DES SOUVERAINS ET CELLE DU MARIAGE DES REINES ET DES PRINCESSES ;

5° L’INDICATION DES PORTRAITS JOINTS AUX OUVRAGES CITÉS ;

6° DES RENSEIGNEMENTS SUR LES BIBLIOTHÈQUES PUBLIQUES OU SE TROUVENT LES BIOGRAPHIES INDIQUÉES ;

7° DES NOTES HISTORIQUES ET LITTÉRAIRES SUR LES AUTEURS ET LES ÉCRITS CURIEUX,

SUR LES OUVRAGES CONDAMNÉS AU FEU, MIS A L’INDEX OU SAISIS PAR LA POLICE,

AINSI QUE SUR LES ÉCRITS COURONNÉS PAR LES ACADÉMIES ET LES SOCIÉTÉS SAVANTES,

ET SUR LES PAMPHLETS, LIBELLES, SATIRES, PASQUILLES, ETC.

ENRICHI DU

RÉPERTOIRE DES BIO-BIBLIOGRAPHIES

GÉNÉRALES, NATIONALES ET SPÉCIALES.

PAR

Edouard-Marie Oettinger.

TOME PREMIER.

A – M

(1- 27390)

BRUXELLES.

J. J. STIENON, IMPRIMEUR-ÉDITEUR,

FAUBOURG DE LOUVAIN, 10.

1854

PRÉFACE.

La première édition de cet ouvrage, renfermant 26,000 indications, a paru, il y a quatre ans, à Leipzig. Mon travail d’alors n’était qu’un modeste essai, qu’une première ébauche, qui laissait beaucoup à désirer au point de vue de l’immense quantité des matériaux à recueillir dans toutes les parties du domaine biographique.

Cependant, malgré les nombreuses omissions et les inexactitudes en matière de titres et de dates, cet essai même s’est frayé victorieusement son cbemin dans presque toutes les bibliothèques publiques de l’Europe. Sans le secours d’aucune coterie ni d’aucune réclame, il a rencontré, dans le monde scientifique qui s’occupe spécialement de cette branche de l’histoire littéraire, un accueil favorable et, chose assez rare dans de semblables entreprises ! plus d’appréciateurs indulgents que de critiques malveillants.

Tous d’abord ont été d’accord pour dire que j’avais entrepris une tâche neuve et éminemment utile 1.

M. Quérard, quoique un peu trop sévère, n’a pu se défendre de qualifier mon Dictionnaire de travail énorme 2.

Un des savants le plus haut placés, le général de Radowitz, ravi, hélas ! trop tôt à l’admiration de ses amis et aux sciences qui faisaient le bonheur de sa vie, daigna faire à mon travail l’honneur de l’appeler un glorieux fait d’étude et de persévérance allemande 3.

Un autre juge, non moins éclairé, non moins

1 Voir l’Indépendance belge du 29 septembic 1833.

2 Prospectus-spécimen de l’Encyclopédie du bibliothécaire, ouvrage jusqu’à ce jour encore à l’état d’embryon.

compétent que l’auteur de la France littéraire, admirait, plus que l’ouvrage lui-même, le courage et l’intrépidité qu’il avait fallu pour embrasser un projet d’une telle étendue, déclarant que trente vies d’homme bien remplies suffiraient à peine pour accomplir une tâche aussi colossale.

Aiguillonné par l’ardent désir de servir cette science que j’aime passionnément, j’eus donc, à moi seul, la hardiesse, je dirai la témérité, de continuer sans relâche cet ingrat labeur, qui depuis seize ans absorbe presque tout mon temps, épuise toutes mes ressources pécuniaires, pour m’approcher de plus en plus de ce but qui, comme le fanal désiré, encourage l’intrépide navigateur.

Grâce à cette inébranlable assiduité, j’ai réussi pendant les quatre dernières années, consacrées entièrement à de nouvelles recherches dans les grands dépôts littéraires de Dresde, Leipzig, Vienne, Copenhague, Paris et Bruxelles, à doubler presque le nombre des renseignements de la première édition.

Mais, malgré cette considérable augmentalion de matériaux consciencieusement recueillis, je suis bien loin de me faire illusion et de croire que ma tâche pénible soit entièrement accomplie, que cette nouvelle édition soit à l’abri de toute critique, qu’elle soit tout à fait complète.

Rien au monde, hélas ! n’est complet. Pourquoi demander à un pauvre bibliographe, qui

3 Eine That deutschen Fleisses und rühmlichster Ausdauer.

PREFACE.

n’a d’autrcs moyens que sa bonne volonté et son infatigable persévérance, qu’il fasse exception à la règle générale, surtout en ce qui concerne le rayon infini de la bibliographie universelle ?

On aura beau dire : « Voici une édition qui vous manque, une traduction qui est omise, voilà cent, deux cents, cinq cents ouvrages dont vous ignorez l’existence. » Tout en sentant ce qui me reste encore à faire et à refaire pour combler ces lacunes 1, pour rectifier de plus en plus ces défectuosités, j’ai la pleine conviction que jusqu’à ce jour il n’existe pas une seule Bibliographie spéciale plus complète que celle que j’offre aujourd’hui au public, entièrement refondue et minutieusement revue et corrigée.

L’utilité de mon œuvre est constatée par l’expérience et par les témoignages souvent trop flatteurs de MM. les bibliothécaires, qui, dans leurs occupations journalières, se servent de ce guide comme d’un fil d’Ariane, pour s’orienter plus facilement dans l’immense labyrinthe qui s’appelle Bibliographie, science que quelques critiques de bas étage se plaisent à poursuivre de leur dédain comme une des études les plus subordonnées de l’histoire littéraire.

Certes, on a souvent ravili les services que rend la bibliographie. Et cependant n’est-elle pas l’ange gardien, le génie tutélaire des trésors littéraires amassés depuis l’origine de la science ? C’est elle qui tire d’un oubli souvent injuste une foule d’auteurs et de productions des temps les plus reculés ; c’est elle qui exhume les Olim de tant de gloires, de tant de célébrités autrefois encensées, aujourd’hui ensevelies et totalement oubliées ; c’est elle qui, ressuscitant les siècles passés, a la sainte mission de donner un nouvel éclat aux auréoles pâlies, aux nindjes ternis par la poussière et les orages du temps.

La Bibliographie biographique, telle qu’elle est maintenant, peut cire considérée comme l’immense nécropole où reposent les intelligences, les sommités de tous les temps et de toutes les nations. Elle est, pour ainsi dire, le grand cimetière du Père Lachaise où la bio-

graphie a planté soit une croix de reconnaissance, soit une fleur en signe de pieux souvenir, arrosées des larmes des contemporains, vénérées de la postérité. Elle est le Panthéon resplendissant où se trouvent placés sur l’impérissable piédestal de l’Histoire les bustes et les noms de tous les coryphées de l’esprit humain ; bref, elle est le livre d’or de l’aristocratie intelligente des siècles anciens et modernes.

Un écrivain belge dont le nom m’échappe a qualifié la Biographie de sœur cadette de l’histoire. Il s’est trompé. Elle en est la mère nourricière. La Biographie est l’histoire des individus. Les individus sont les nerfs, les fibres, les organes musculaires de ce corps gigantesque qui s’appelle l’histoire universelle. Celle-là est le mobile secret de celle-ci. On ne peut écrire l’histoire universelle sans posséder la connaissance intime des biographies spéciales qui sont les mystérieux rouages de cette montre sans cesse en mouvement qu’on nomme l’univers. Avant d’étudier l’histoire de l’empire français, il faut étudier — ab ovo ad malum — la biographie du général Bonaparte.

Quant à la Bibliographie, c’est une science à part qui a, comme toute autre élude particulière, ses martyrs, ses apôtres, ses pontifes. L’un de ces derniers, feu le baron de Reiffenberg, a compris mieux que la plupart de ceux dont se compose la secte bibliognoste le but et l’utilité de cette profession. Une grande vérité, tombée de sa plume féconde, se résume en ces termes :

« La multiplication croissante du papier noirci a donné naissance à une science particulière : à la Bibliographie, dont le domaine est si vaste qu’on a été obligé de le diviser pour être en état de le mesurer. Règle générale : il ne peut réellement y avoir d’utile et de complet que les Bibliographies spéciales 2. »

Rien de plus incomplet, rien de plus inutile, rien de plus absurde qu’une soi-disant Bibliographie générale ! Celui qui sait apprécier toutes les dillicullés et les obstacles parfois

1 Voir le Supplément placé à la fin du second volume.

2 Messager des sciences et des arts de la Belgique, t. IV, p. 179.

PREFACE.

insurmontables qu’on rencontre pour remuer l’énorme masse des matériaux qu’embrasse une spécialité bibliographique, comprendra aisément l’impossibilitc d’une Bibliographie universelle. Celle-ci ne sera pour lui qu’un rêve insensé et ridicule !

En embrassant l’immense, l’inépuisable spécialilé de la biographie, je me suis borné à indiquer les monographies et les tirés à part extraits des Mémoires académiques et des Revues purement scientifiques. Les éloges et les notices biographiques, disséminés çà et là, soit en tête des œuvres complètes, soit dans les recueils encyclopédiques ou dans les colonnes des journaux, ont été rigoureusement exclus du plan de mon travail. Il fallait m’imposer cette limite pour ne pas trop agrandir le cadre de ce manuel.

En revanche on trouvera à la fin du second volume des augmentations très-essentielles qui avaient été tout à fait négligées dans la première édition, savoir, la bibliographie :

Des biographies générales de toutes les langues et de tous les pays ;

Des biographies nationales et locales ;

Des biographies spéciales.

Au nom de la science, j’ose réclamer de nouveau le bienveillant concours de MM. les bibliothécaires et des bibliophiles, et les inviter à bien vouloir me communiquer tout ce qui, malgré les recherches les plus scrupuleuses, a pu m’échapper 1. Je m’engage envers le public, ainsi que M. J. Stiénon, imprimeur éditeur à Bruxelles, devenu propriétaire de mon manuscrit, à ne jamais refondre cet ouvrage, mais à le tenir au courant des nouvelles publications et des additions ultérieures. Nous publierons de temps en temps, au fur et à mesure des nouvelles découvertes, un supplément destiné à compléter autant que possible le corps de ce manuel, qui, grâce à ces soins incessants, sera jugé digne, je l’espère, de servir de complément à tous les dictionnaires historiques, de répertoire indispensable aux bibliothèques publiques, aux académies, aux corporations littéraires et ecclésiastiques, aux amateurs de livres et à tous ceux qui ont la passion de recueillir des portraits et des autographes.

Il y aurait plus que de l’ingratitude à ne pas témoigner ici la plus vive et la plus sincère reconnaissance à tous ceux qui ont bien voulu m’entourer de leurs conseils et de leurs lumières pour maider à mieux atteindre le but de mes recherches.

Voici la liste des principaux protecteurs et collaborateurs envers lesquels je me sens obligé.

MM. Le général Joseph von Radowitz.

Le comle Henckel von Donnersmarck.

Le chevalier J. G. Neigebaur.

Le conseiller aulique Dr. Charles Falkenstein, ancien chef de la bibliothèque royale de Dresde.

Le conseiller aulique Dr. Gersdorf, préfet de la bibliothèque de l’Université de Leipzig.

Le docteur J. G. Graesse, bibliothécaire de Sa Majesté le roi de Saxe.

Le docteur Jules Pelzholdt, bibliolhécaire de S. A. R. le prince Jean de Saxe.

Le savant libraire Guillaume Engelmann, à Leipzig.

Le chevalier Jules Ravenel, l’un des conservateurs de la bibliothèque impériale de Paris.

M. Edmond de Manne, adjoint à la même bibliothèque.

M. Louis Barbier, conservateur-administrateur de la bibliothèque impériale du Louvre.

M. Gabriel Charavay, libraire et savant autographognoste à Paris.

M. le baron de Stassart, à Bruxelles.

Les docteurs Sigismond et Auguste Scheler, bibliothécaires de Sa Majesté le roi des Belges.

Le docteur Constantin Wurzbach, bibliothécaire au ministère de l’intérieur, à Vienne.

1 On est prié de faire. parvenir les nouvelles indications à M. .T. Stiénon, imprimeur, à Bruxelles.

2 Le premier supplément se trouve à la fin du second volume. Il contient tous les renseignements que nous avons recueillis pendant l’impression de l’ouvrage, ainsi que l’indication des nouvelles publications des années 1853 et 1854.

PRÉFACE.

MM. Ferdinand Mikowec, à Prague.

Le docteur Ernest Gustave Vogel, sous-bibliothécaire de Dresde.

Quant à l’article qui concerne l’Iconologie de la sainte Vierge (une des augmentations de la nouvelle édition), je dois un grand nombre d’additions au révérend père Lombards, de l’ordre des frères minimes à Bruxelles, et au révérend père Laurent Hecht, supérieur au couvent de Notre-Dame des Ermites (Marie-Einfiedeln).

Je ne puis clore la liste de cette illustre phalange de collaborateurs, sans m’acquitter d’une grande dette d’amitié et de bonne confraternité envers M. Auguste De Reume, capitaine d’artillerie à Bruxelles, modeste et laborieux bibliographe, à qui je dois la plupart des augmentations relatives à \a partie belge et lyonnaise et, en outre, une quantité de renseignements qui, grâce à sa bibliothèque riche et curieuse en matière de biographies, me sont souvent venus en aide pendant mon séjour à Bruxelles.

Encore quelques mots sur plusieurs abréviations dont je me suis servi.

(Bes.) signifie que les ouvrages accompagnés de cette indication se trouvent dans la Bibliothèque de Besançon.

(B.v.) — la bibliothèque de l’Académie royale de Belgique à Bruxelles.

(Cp.) — la bibliothèque royale de Copenhague.

(D.) — la bibliothèque royale de Dresde.

(L.) — la bibliothèque de l’Université de Leipzig.

(Ld.) — la bibliothèque de l’Université de Leyde.

(Lc.) — la bibliothèque impériale du Louvre à Paris.

(Oxf.) — la bibliothèque bodleïenne d’Oxford.

(P.) — la bibliothèque impériale de Paris.

Les dépôts publics où j’ai recueilli les matériaux, j’ai cru devoir les signaler tant dans l’intérêt des bibliothèques elles-mêmes, que dans l’intérêt de ceux qui veulent savoir où se trouvent les écrits indiqués dans ce manuel.

Les titres des ouvrages ont été fidèlement reproduits. Les auteurs cités entre parenthèses sont ceux qui, sur les titres, ont gardé l’anonyme.

Qu’il me soit permis de me justifier ici d’un reproche qui m’a été fait par M. Quérard.

Les membres des grandes familles historiques, dit-il, sont disséminés sous chacun de leurs prénoms !

Il entend par ces membres des grandes familles historiques les noms des princes souverains, qu’il faut chercher, il est vrai, sous leurs prénoms. Mais cette observation est au moins singulière. Je voudrais bien voir celui qui chercherait, par exemple, le nom de Frédéric le Grand, roi de Prusse, sous Prusse ou Hohenzollern, le nom de Henri IV, roi de France, sous Bourbon ou sous France, ou Léopold Ier, roi des Belges, sous Saxe-Cobourg. Il va sans dire que ce reproche n’a pu me déterminer à changer la classification adoptée par tous les dictionnaires biographiques. D’ailleurs, j’ai suivi consciencieusement l’ordre alphabétique tracé par la Biographie universelle de Michaud, ne perdant pas de vue que mon travail est destiné à faire suite à l’un des plus beaux monuments de la littérature française.

M’étant assez longuement expliqué sur le plan et le caractère de la Bibliographie biographique, je la soumets sans crainte à la bienveillance du public et à la censure des juges compétents. Je ne redoute pas la Critique. Qu’elle soit sévère, mais au moins qu’elle soit vraie et consciencieuse ! C’est tout ce que je désire.

Bruxelles, le 1er août 1854.

E. M. OETTINGER.

BIBLIOGRAPHIE BIOGRAPHIQUE.

A

Aba, surnommé Salomon, roi de Hongrie (1041 — 1044).

SCHWARZ (GOTTFRIED).

Samuel rex Hungariae, qui vulgo Aba audit, ex historico et simul numario monumento, tam nomini, quam populo restitutus, etc. Lemgov. 1761. 4.

PRAY (GEORG).

Dissertationes historico-criticae de SS. Salomone rege et Emerico duce Hungariae. Poson. 1774. 4.

Abad (Gil), prêtre espagnol.

Mayans y Siioar (Grcgorio). Vida de S. G. Abad. Valenc. 1724. 16.

Abano (Pietro d’), médecin-astrologue italien (1250 — 1316).

MAZZUCHELLI (GIOVANNI MARIA).

Notizie intorno alla vita di P. d’Abano. Venez. 1740. 12.

Abaris, philosophe scythe (vers 570 avant J. C).

ZAPF (CARI GOLLFRIED).

Dissertatio de Abaride. Lips. 1706. 4. (Lv.)

CELSIUS (OLAUS).

Abaris Hyperboreus, exercitio academico delineatus. Upsal. 1710. 8. (D.)

Abbadie (Jean).

Histoire curieuse de la vie du sieur J. Abbadie. la Haye. 1670. 12.

Abbot (George), archevêque de Cantorbéry (29 oct. 1562 — 5 août 1633).

RUSSELL (WILLIAM).

Life of G. Abbot. Oxf. 1777. 8.

Life of Dr. G. Abbot, lord archbishop of Canterbury, to which are added the lives of his two brothers, Dr. R. Abbot, lord bishop of Salisbury, and sir M. Abbot, knight, lord mayor of the city of London. Guildfort. 1797. 8. 4 port.

Abbt (Carl Friedrich), comédien allemand (vers 1740 — 1783).

Beiträge zur Lebensgeschichte des Schauspieldirectors (C. F.) Abbt. Frf. 1784. 8.

Abbt (Thomas), écrivain allemand (25 novembre 1738 — 3 novembre 1766),

NICOLAI (FRIEDRICH).

Ehrcngcdächtniss des Herrn T. Abbt Berl. et Stett. 1767. 4. (D.) — (En forme de lettre à J. G. Zimmermann et accomp. d’un portrait de T. Abbt.)

Abd el Kader, chef dcB Bédouins (vers 1807 — ...).

DEBAY (A...).

Biographie d’Abd-el-Kader et description pittoresque des populations d’Algérie et, en particulier, du pays des Kabyles. Par. 1815. 18.

LACROIX (A... DE).

Histoire de la vie politique et privée d’Abd-el-Kader. Par. 184a. 8. Trad. en allem. Grünberg. 1846. 8. Portrait.

BARESTE (EMILE).

Abd-el-Kader. Par. 1848. 8.

LAMÉNAIRE (N... N...).

Vie, aventures, combats, amours et prise d’Abd-el-Kader. Par. 1848. 8. Portrait. Vie d’Abd-el-Kader. Par. 1848. 8. Portrait.

PASCAL (LOUIS).

Histoire d’Abd-el-Kader, sa naissance, le merveilleux qui l’environne, etc. Par. 1848. 8.

RABAN (N... N...).

Histoire privée, politique et militaire d’Abd-el-Kader. Par. 1848. 8. Portrait. Abd-el-Kader, sein Leben und seine Thaten. Arnst. 1848. 8. Portrait.

1

Abdon, patron d’Arles sur Tech.

CHAMBEAU (PIERRE).

Vie des bienheureux martyrs Abdon et Sennen, patrons d’Arles sur Tech, suivie d’une notice sur la translation de leurs reliques à Arles, etc. Perpign. 1848. 12.

Abel (Mels Henrik), géomètre norvégien (25 août 1802 — 6 avril 1829),

HOLMBOE (BERNL MICHAEL).

Kort Fremstilling af N. H. Abels Liv og videnskabelige Virksomhed. Christiania. 1820. 8.