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Page:Offenbach - Notes d un musicien en voyage 1877.djvu/288

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visages amis. Je sanglotais d’émotion ; pour un peu je me serais jeté à la nage, afin demeure fin à ce supplice de Tantale qui me montrait tout ce que je désirais au monde sans que je pusse l’étreindre dans mes bras.

Une heure après, nous étions amarrés et je redevins Offenbach en France.


FIN