Page:Ohnet - L’Âme de Pierre, Ollendorff, 1890.djvu/132

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

ivresse, de ses supplications et de ses désirs, il voulut se détourner de celle qu’il pressait si ardemment, alors qu’elle était inconnue. Il n’accepta pas d’obéir au mort, il ne consentit pas à être l’exécuteur de ses posthumes caprices. Il reprit un peu de courage, de sang-froid et de résolution ;