Page:Ohnet - L’Âme de Pierre, Ollendorff, 1890.djvu/186

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Mais je m’entête et je persiste, quoique je sache parfaitement quelle sera la conclusion inévitable de tout ceci. Vous voyez qu’il n’est pas aisé de me faire de la morale, car je prends les devants et me blâme moi-même…. Abandonnez-moi, mon ami. Je ne vaux pas la peine que vous prendriez pour essayer de me sauver.

Davidoff l’avait écouté, le coeur serré, étudiant, avec une curiosité