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et, comme pressé d’être seul avec Clémence, il dit :
— Adieu ! Pardonnez-moi encore…. Rassurez ma mère… et guérissez ma soeur…. Oh ! elle avant tout…. Pauvre petite !… Adieu !
Et, rapide, il s’élança vers le jardin où son impitoyable tyran l’attendait. Davidoff, dans la rue, s’éloigna à grands pas. Par une échappée sur la mer, il aperçut le yacht blanc qui, couronné de son panache de noire fumée, gagnait le large. Il se dit :
— Je suis libre, profitons-en.
Il se dirigea vers le bureau du télégraphe, prit une feuille de papier et, debout devant le guichet, il écrivit :