Page:Ohnet - L’Âme de Pierre, Ollendorff, 1890.djvu/234

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— C’est égal, tu sais, Clémence, fit Duverney, les hommes qui se tuent par amour pour toi, se portent assez bien !

Clémence silencieuse, la tête inclinée, songeait. Elle rompit brusquement le silence et regardant ses convives avec des yeux diaboliques :

— Eh bien ! vous direz ce que vous voudrez de Pierre Laurier, s’écria-t-elle, mais de vous tous, il n’y en a pas un seul qui vaille ce garçon-là !… Maintenant, il est près de deux