Page:Ohnet - L’Âme de Pierre, Ollendorff, 1890.djvu/45

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exquises exhalées par les arbres aux feuillages impérissables, par les plantes aux fleurs sans cesse renaissantes. De petits bateaux de pêche, venant de Beaulieu et allant à Monaco, croisent lentement au large et animent l’horizon de leur marche paresseuse. Le chemin de fer, qui passe