Page:Ohnet - L’Âme de Pierre, Ollendorff, 1890.djvu/67

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des fleurs. Le temps était admirable, le bleu de la mer se confondait avec le bleu du ciel. Une brise délicieuse venait du large, chargée des senteurs salines. Les flots mouraient, frangés d’argent, au pied des rochers qui bordaient la petite baie silencieuse. Accompagné de sa mère, Jacques