Page:Ollivier - L’Empire libéral, tome 17.djvu/622

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§ 9. — La proposition de Kératry est soutenue par Jules Favre. — Insolences de la gauche ; Thiers empêche la Chambre de suivre les conseils d’union de Buffet. Il est nommé au comité de défense. Les députés irréconciliables craignent que Palikao ne songe à un coup d’État. — Palikao s’en défend. Sa mesure maladroite envers Trochu 
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§ 10. — La gauche devient de plus en plus maîtresse du terrain. — On demande ouvertement la Révolution. — Velléités de répression de Duvernois. — Il n’est pas suivi. — Condescendance déplorable de Trochu 
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§ 11. — Habileté de Thiers à préparer le coup. Il déblatère contre la marche de Mac-Mahon qu’il aurait pu empêcher. — Son rôle au conseil de défense. — On apprend le désastre de Sedan. — Accueil que J. Simon, J. Favre, J. Ferry font à la nouvelle 
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CHAPITRE X
LES DERNIÈRES CONVULSIONS
§ 1. — Implacabilité de la haine révolutionnaire 
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§ 2. — Impéritie du gouvernement de la Régence 
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§ 3. — L’Impératrice invoque le secours de Trochu et celui de Thiers. — Les députés de la gauche veulent que la déchéance soit prononcée par la Chambre elle-même et non par la Révolution. — Schneider les seconde. — Une séance de nuit est organisée 
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§ 4. — La foule envahit les abords du Palais Bourbon. — Gambetta s’efforce de la contenir. — Jules Favre propose la déchéance. — Pinard seul proteste. — Les ministres vont se coucher. — Ils estiment toute résistance impossible. — Les révolutionnaires veillent 
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§ 5. — Trochu propose à l’Impératrice de se retire à l’Élysée. — Soumain prend quelques dispositions de défense insuffisantes. — Tout est fait « très en l’air » 
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