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Page:Opuscules de Saint Thomas d’Aquin, tome 2, 1857.djvu/320

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Voilà ce que nous avons écrit pour réfuter l’erreur que nous avons exposée, non par les enseignements de la foi, mais par les paroles et les raisonnements des philosophes. Que si quelqu’un, fier de son faux savoir, veut combattre ce que nous avons dit, qu’il ne nous attaque pas dans l’ombre, ni en présence d’enfants qui ne sont pas capables de décider des questions difficiles, mais qu’il lance, s’il en a le cou rage, un écrit dans le public, et il trouvera non seulement moi, qui suis le dernier de tous, mais beaucoup d’autres écrivains, nobles tenants de la vérité, qui sauront réfuter ses erreurs et éclairer son ignorance.

Fin du divin seizième Opuscule du bienheureux Thomas d’Aquin, sur l’unité de l’intellect, contre les disciples d’Averroës, qui prétendent qu’il n’y a qu’un seul intellect pour tous les hommes.