Aller au contenu

Page:Orain - Au pays de Rennes.djvu/132

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
108
AU PAYS DE RENNES

Ma mère n’a pas pris fourche,
A pris bâton ;

bis.

Oh ! tout beau, tout beau, ma mère,
À la raison.
Empêchous les gens d’aimer,
Ma dondaine,
Les v’lez-vous garder d’aimer,
Ma dondé !


Oh ! tout beau, tout beau, ma mère,
À la raison ;

bis.

Vous frappez dessus les os,
Ils pourriront.
Empêchous les gens d’aimer,
Ma dondaine,
Les v’lez-vous garder d’aimer,
Ma dondé !


Vous frappez dessus les os,
Ils pourriront ;

bis.

Vous n’frappez point su le cœur,
l’z’amours sont !
Empêchous les gens d’aimer,
Ma dondaine,
Les v’lez-vous garder d’aimer,
Ma dondé !

Nous nous rendrons à la cathédrale par la porte Mordelaise ;