Quand l’bonhomm’ revint du bois (bis)
Trouvit la quoue de son âne
Que le loup avait mangé !
Ah ! pauvre quoue !
Dont y n’rest’ plus qu’un p’tit bout,
Tu n’chass’ras plus le mouch’ron
La verdon, la verdondaine,
Tu n’chass’ras plus le mouch’ron
La verdon, la verdondon.
Quand l’bonhomm’ revint du bois (bis)
Trouvit l’échin’ de son âne
Que le loup avait mangé !
Ah ! pauvre échine !
Qui n’port’ra plus de farine
Du moulin à la maison
La verdon, la verdondaine,
Du moulin à la maison
La verdon, la verdondon.
Quand l’bonhomm’ revint du bois (bis)
Trouvit la têt’ de son âne
Que le loup avait mangé !
Ah ! pauvre tête !
Qui malgré tout son air bête
N’écoutait point les sermons
La verdon, la verdondaine,
N’écoutait point les sermons
La verdon, la verdondon.
Quand l’bonhomm’ revint du bois (bis)
Trouvit l’oreill’ de son âne
Que le loup avait mangé !
Ah ! pauvre oreille !
Qui n’avait pas sa pareille
De Guichen jusqu’à Baulon
La verdon, la verdondaine,
De Guichen jusqu’à Baulon
La verdon, la verdondon.