Page:Osmont - Le Mouvements symboliste, 1917.djvu/151

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Par ([iit'l i;i\chis surestliôtiqnc Ces êtres- là sont adorables.

Justeiiieiit une nous appelle

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Perdue (où? dansée terrain vai^MiC:*), Un souvenir d'amour! dil-elle.

Ces ètres-là sont adorables!

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Il a pris là un dégoût elTroyahle de la femme qui l'a conduit, le long des eaux amères, jusqu'à la réalité merveilleuse de son amour ; mais pouvait-il l'espérer, lorsqu'il aspirait à la chasteté et qu'il écrivait, à la

louange du roi Louis de Bavière :

Il était un roi de Thulé

Immaculé Qui, loin des jupes et des choses, Pleurait sur les métempsychoses

Des lys en roses

AV^^viA-v4A^

Et

(|uels palais

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Et le roi lamente la même peine qui attriste le poète, et il regarde leau dolente oii le cygne, plus blanc qu'aucune neige d Alpe, lui a ramené Parsifal du fond des légendes mystiques, puis

Il dit, et, le Voile étendu,

Tout éperdu, Vers les coraux et les naufra^^^es, Le roi raillé des doux corsages

Beau comme un Mage

Est descendu.