M eeri. Motifiay 1 la peine ,.i. feray- tout met effort, afin de me -ranger , ou pour obtenir ce que ie dofire. Mourir fur les coffres , mourir tu ifirablemene erj fuitiant la Cour. . .
- aulTi toft Meurt veau que vache ,
- o ne jeune perfoutu meurt aufe.toft .
- vous me faites Moui ir, volt eitt o Essfi. :141 de made :,
de la forte. ,i1 Meurt,L il en ;e e,itrémetteent, smoeeux. ,
- donner fur le Mourre,i..vn fouffierou ronegoarm‘joic.
Moufche. Voye ; à Mouche. -
- lamais tu n’accueilleras Moufre,i.iun’rfpognerseiamais
rien. . - il n’y a point de Zyloule ciel} tout ieu,ne fion impertinente du vulgaire den-touffe àMonfieut dont il fe fert , pour dire qu’il n’tli pet lefOin d’sppeller Monfieur vne periimne qui n’en merise pas le tiltye. la Moufle luy eft crclie,au goaer , n’.4 nomogé de longtemps., teleuer la Mouftache à,quelqu’vn , Te frapper au vifage., qu4nd vous auriez la Mouftache,encore mieux releuée , quand vous ferieplus piaffant ou plus mottuais que -posa n’efiet. , ’ces gens là ont la Mouflache bien releuée-,, i. ils font bien artrapti“ bien eflonno{ : .•
- de la Mouftarde apres le difner , vne cbofe hors
., tempi. . , s’amufer à la Moullarcle , s’Arrefier à ronefkofe de peu confequence ; paffer fon teiSP. sratilcmcog. s Siiij •
