Page:Ovide - Œuvres choisies (trad. Panckoucke), Les Amours, 1858.djvu/323

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ainsi que parfois la femme qui craint de se livrer à un honnête homme s’abandonne aux caresses d’un vil manant.

Une partie de ma tâche est achevée ; une autre me reste à remplir. Jetons ici l’ancre qui doit arrêter mon navire.