Aller au contenu

Page:Ovide - Les Amours, traduction Séguier, 1879.djvu/60

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
54
OVIDE

Oui, toujours que le myrte à ma tempe verdoie
Et qu’aux amants je sois sacré !
Vivant, sur vos talons la Calomnie aboie ;
Mort, votre nom est révéré.
Lors donc que du bûcher mon corps sera la proie,
Grâce à mes chants je revivrai !