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LETTRES DE FRÉDÉRIC OZANAM
Lyon. Ah ! que ne venez-vous ici pour que nous puissions causer encore ensemble de si chers intérêts Nous nous associerions à vos inquiétudes de père, comme vous avez pris part à toutes nos sollicitudes de famille ; nous dirions peu de mal du prochain, beaucoup de bien de la divine Providence qui a tant fait pour moi depuis un an, que je remercie de bien des choses, mais que je ne remercierai jamais assez de m’avoir donné un ami tel que vous.
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